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27 Nov 2006, 15:30

j'espère qu'il va y avoir une bronca de l'année !!! pour des personnes comme lui pas de minute de silence !!!

27 Nov 2006, 15:43

Julien Quemener. Le meilleur ami
du supporter décédé, présent avec lui
jeudi soir, raconte son parcours



Image


Quel était le véritable visage de Julien
Quemener supporter parisien
de 25 ans tué par un policier, jeudi
soir, porte de Saint-Cloud à Paris ? Le
membre des Boulogne Boys, considéré
comme un proche des milieux hooligans
par la police, n’est pas le garçon que
connaissent ses amis de Savigny-sur-
Orge, la ville de l’Essonne dont il est originaire.
« Fanatique de foot », oui, mais « supergentil,
superserviable » et surtout, « ce
n’était pas un facho » pour son meilleur
ami, Alexandre, agent immobilier à la recherche
d’un emploi, qui l’a connu « à la
crèche ». « Il ne s’est jamais inscrit sur les
listes électorales, il se fout de la politique,
il ne regardait même pas les Guignols de
l’info, nous raconte-t-il. La réputation de
la tribune Boulogne a pris le dessus. Le
premier que j’ai prévenu après avoir appris
son décès, c’est son pote Jérôme, avec
qui on allait au stade jusqu’à l’année dernière.
C’est un Antillais, comme le policier
qui a tiré ! Il sera là, avec nous, à son
enterrement. »


D’autres amis d’enfance de Julien
étaient réunis, hier midi, autour d’un
café, à L’Escale, un bar-tabac où ils ont
leurs habitudes, à Savigny. Dans le petit
groupe multicolore, on trouve Pascal,
amateur de boxe, mais aussi Salim, qui
était à la maternelle avec lui, ou encore
Mickaël, d’origine guadeloupéenne, qui
l’a connu au collège… « Il faut arrêter. Ce
n’était pas un trouble-fête », lance Mickaël.
« Moi, personnellement, je ne le vois pas
crier “sale nègre” ou “sale juif ” », poursuit
Salim.


Alors que faisait Julien, en compagnie
d’Alexandre, jeudi soir, dans la tribune
basse R2 de Boulogne, le fief des
« indépendants », la frange la plus incontrôlable
des ultras parisiens? « On est arrivé
au match à la dernière minute, poursuit
Alexandre. En première mi-temps, on
était en tribune haute mais il y avait trop
de monde. On est descendu en R2 en seconde
période. C’est seulement la
deuxième fois, depuis quatre ans et notre
premier abonnement au PSG, que l’on
suit un match à cet endroit. » L’appartenance
de Julien aux « Boys », dont il possédait
la carte, et leur choix de la tribune
Boulogne ? « Au départ, on avait voulu
s’abonner à Auteuil, chez les Authentiks,
mais il n’y avait plus de place. Alors on est
allé à Boulogne, où l’abonnement, en plus,
était deux fois moins cher. C’est clair, j’ai
déjà entendu Julien insulter quand on
perd, mais jamais de façon raciste. L’an
dernier, il s’était acheté un blouson en
cuir mais il n’avait pas de bombers, de
DocMartens ou de treillis. Il mettait des
écharpes mais jamais de maillots, il trouvait
que cela ne lui allait pas. Je ne l’ai jamais
vu se battre. Et je peux vous dire que
j’ai vu 95% des matches avec lui. »


Pourtant jeudi soir, Julien Quemener
a bien été aspiré dans la meute haineuse
lancée contre Antoine Granomort, le policier
qui tentait de protéger Yanniv Hazout,
le supporter de l’Hapoël Tel-Aviv.
Alexandre était avec Julien « jusqu’à
quelques secondes avant qu’il ne meure ».
Déjà, la sortie de stade a été mouvementée:
« Il y avait des bagarres, des charges
de CRS, ça courait, des groupes se défaisaient
et se reformaient. J’ai vu Julien
courir, j’ai vu le troupeau autour du policier
et j’ai entendu le coup de feu. » Le tir
du policier a traversé le corps d’un autre
supporter de la tribune Boulogne, Mounir
Douchaer, surnommé « Francis » chez
les ultras, grièvement blessé au thorax et
au poumon. Puis la balle s’est logée dans
le cœur de Julien, qui décédera une
grosse demi-heure plus tard. « Comme je
l’avais perdu de vue, j’ai essayé de l’appeler
plusieurs fois mais il était sur messagerie.
Après, elle a rapidement saturé. » Il
faut dire que, après le match, Julien devait
rester à Paris et se rendre chez une
amie, près de la place d’Italie, alors
qu’Alexandre, venu en train, avait prévu
de rentrer. Cette amie lui a aussi laissé de
nombreux messages sur son téléphone
portable, également inquiète de ne pas le
voir arriver…


Prévenus par la police vendredi matin,
à 7 heures, de la mort de Julien, ses
parents tentent toujours de comprendre
ce qui s’est passé. Et l’éventuelle part
d’ombre de leur fils. Les yeux rougis par
les pleurs, sa mère évoquait vendredi un
garçon « calme et sans problème ». « Il y a
du bon, il y a du mauvais », soufflait-elle
brièvement, hier au téléphone, sans vouloir
en dire plus. Julien avait été interpellé
juste avant la finale de Coupe de
France PSG-Châteauroux, le 29 mai 2004,
pour introduction de fumigènes, dissimulés
dans son sac. Il a également été cité
par la police dans quelques affaires de petite
délinquance, dont une histoire d’incendie
volontaire, toujours avec Alexandre.
« L’enquête a démontré qu’on n’y
était pour rien, quelqu’un d’autre a été
condamné », répond celui-ci. Son copain
Salim l’avait croisé une dernière fois dans
Savigny, en début de semaine. Dégoûté par
la défaite face à Bordeaux (0-2), il y a huit
jours, et agacé par un « gazage » policier à
la lacrymo juste avant la rencontre, Julien
lui avait alors dit qu’il ne souhaitait plus
se rendre au Parc des Princes…
Alban Traquet


Source: Le JDD

27 Nov 2006, 15:53

le vengeur a écrit:Alors que faisait Julien, en compagnie
d’Alexandre, jeudi soir, dans la tribune
basse R2 de Boulogne, le fief des
« indépendants », la frange la plus incontrôlable
des ultras parisiens? « On est arrivé
au match à la dernière minute, poursuit
Alexandre. En première mi-temps, on
était en tribune haute mais il y avait trop
de monde. On est descendu en R2 en seconde
période. C’est seulement la
deuxième fois, depuis quatre ans et notre
premier abonnement au PSG, que l’on
suit un match à cet endroit. » L’appartenance
de Julien aux « Boys », dont il possédait
la carte, et leur choix de la tribune
Boulogne ? « Au départ, on avait voulu
s’abonner à Auteuil, chez les Authentiks,
mais il n’y avait plus de place. Alors on est
allé à Boulogne, où l’abonnement, en plus,
était deux fois moins cher. C’est clair, j’ai
déjà entendu Julien insulter quand on
perd, mais jamais de façon raciste. L’an
dernier, il s’était acheté un blouson en
cuir mais il n’avait pas de bombers, de
DocMartens ou de treillis.
Il mettait des
écharpes mais jamais de maillots, il trouvait
que cela ne lui allait pas. Je ne l’ai jamais
vu se battre. Et je peux vous dire que
j’ai vu 95% des matches avec lui. »


Oh! le joli préjugé! :roll:

Pourtant jeudi soir, Julien Quemener
a bien été aspiré dans la meute haineuse
lancée contre Antoine Granomort, le policier
qui tentait de protéger Yanniv Hazout,
le supporter de l’Hapoël Tel-Aviv.
Alexandre était avec Julien « jusqu’à
quelques secondes avant qu’il ne meure ».
Déjà, la sortie de stade a été mouvementée:
« Il y avait des bagarres, des charges
de CRS, ça courait, des groupes se défaisaient
et se reformaient. J’ai vu Julien
courir, j’ai vu le troupeau autour du policier
et j’ai entendu le coup de feu. » Le tir
du policier a traversé le corps d’un autre
supporter de la tribune Boulogne, Mounir
Douchaer, surnommé « Francis » chez
les ultras, grièvement blessé au thorax et
au poumon. Puis la balle s’est logée dans
le cœur de Julien, qui décédera une
grosse demi-heure plus tard. « Comme je
l’avais perdu de vue, j’ai essayé de l’appeler
plusieurs fois mais il était sur messagerie.
Après, elle a rapidement saturé. » Il
faut dire que, après le match, Julien devait
rester à Paris et se rendre chez une
amie, près de la place d’Italie, alors
qu’Alexandre, venu en train, avait prévu
de rentrer. Cette amie lui a aussi laissé de
nombreux messages sur son téléphone
portable, également inquiète de ne pas le
voir arriver…



On en revient à la même question, que faisait-il là?

27 Nov 2006, 16:00

y'as des nons dits dans les décla de ses proches (qui de toute façon ne vont que dédouaner le gars en question)

par exemple
sa mère évoquait vendredi un
garçon « calme et sans problème ». « Il y a
du bon, il y a du mauvais », soufflait-elle
brièvement, hier au téléphone, sans vouloir
en dire plus.



Alors que faisait Julien, en compagnie
d’Alexandre, jeudi soir, dans la tribune
basse R2 de Boulogne, le fief des
« indépendants », la frange la plus incontrôlable
des ultras parisiens? « On est arrivé
au match à la dernière minute, poursuit
Alexandre. En première mi-temps, on
était en tribune haute mais il y avait trop
de monde. On est descendu en R2 en seconde
période. C’est seulement la
deuxième fois, depuis quatre ans et notre
premier abonnement au PSG, que l’on
suit un match à cet endroit. »



ça je n'y crois pas une seconde. Les gars ils arrivent en retard donc ils vont se mettre bien devant avec les facho :lol:
quand t(arrivent en retard au stade tu te mets sur les cotés ou en haut, pas avec les actifs, et encore moins au milieu de fachos

27 Nov 2006, 16:04

la femme de l autre a écrit:
On en revient à la même question, que faisait-il là?


ça tu ne le sauras jamais, casser la tête d'un mec (version la plus répandue), curiosité mal placée en suivant un groupe etc ...

le problème c'est que les témoins qui se trouvaient à coté de lui ne vont pas aller voir les flics pour ne pas se trouver au trou....
Modifié en dernier par Rafael le 27 Nov 2006, 16:05, modifié 1 fois.

27 Nov 2006, 16:04

le vengeur a écrit:
Julien Quemener. Le meilleur ami
du supporter décédé, présent avec lui
jeudi soir, raconte son parcours



Image


Quel était le véritable visage de Julien
Quemener supporter parisien
de 25 ans tué par un policier, jeudi
soir, porte de Saint-Cloud à Paris ? Le
membre des Boulogne Boys, considéré
comme un proche des milieux hooligans
par la police, n’est pas le garçon que
connaissent ses amis de Savigny-sur-
Orge, la ville de l’Essonne dont il est originaire.
« Fanatique de foot », oui, mais « supergentil,
superserviable » et surtout, « ce
n’était pas un facho » pour son meilleur
ami, Alexandre, agent immobilier à la recherche
d’un emploi, qui l’a connu « à la
crèche ». « Il ne s’est jamais inscrit sur les
listes électorales, il se fout de la politique,
il ne regardait même pas les Guignols de
l’info
, nous raconte-t-il. La réputation de
la tribune Boulogne a pris le dessus. Le
premier que j’ai prévenu après avoir appris
son décès, c’est son pote Jérôme, avec
qui on allait au stade jusqu’à l’année dernière.
C’est un Antillais, comme le policier
qui a tiré ! Il sera là, avec nous, à son
enterrement. »


D’autres amis d’enfance de Julien
étaient réunis, hier midi, autour d’un
café, à L’Escale, un bar-tabac où ils ont
leurs habitudes, à Savigny. Dans le petit
groupe multicolore, on trouve Pascal,
amateur de boxe, mais aussi Salim, qui
était à la maternelle avec lui, ou encore
Mickaël, d’origine guadeloupéenne, qui
l’a connu au collège… « Il faut arrêter. Ce
n’était pas un trouble-fête », lance Mickaël.
« Moi, personnellement, je ne le vois pas
crier “sale nègre” ou “sale juif ” », poursuit
Salim.



Source: Le JDD


a car si on ne regarde pas les guignoles de l'info c'est une preuve qu'on ne s'interesse pas a la politique et qu'on est pas facho ? #-o


et donc son meilleur pote est pris en photo parmis les fafs a limite faire le saltu nazi et cotoie a tout les matchs les fafs des BB et il traine avec un groupe de black et de beure la semaine ?
je sais pas vous mais je me vois mal avoir mon meilleur pote facho et trainer avec lui tout le temps et a coté trainer avec d'autres potes noir et arabe. c'est paradoxale non ?

et meme s'il n'ets pas facho (c'est posisble hein :) ). que faisait il dans une course poursuite de ce genre et dans les premieres lignes :roll: ?

il pensait que c'était uen course a pied il a voulu participer ? il est tres curieux ?

27 Nov 2006, 16:05

on ne saura jamais la vérité

27 Nov 2006, 16:07

la femme de l autre a écrit:
le vengeur a écrit:Alors que faisait Julien, en compagnie
d’Alexandre, jeudi soir, dans la tribune
basse R2 de Boulogne, le fief des
« indépendants », la frange la plus incontrôlable
des ultras parisiens? « On est arrivé
au match à la dernière minute, poursuit
Alexandre. En première mi-temps, on
était en tribune haute mais il y avait trop
de monde. On est descendu en R2 en seconde
période. C’est seulement la
deuxième fois, depuis quatre ans et notre
premier abonnement au PSG, que l’on
suit un match à cet endroit. » L’appartenance
de Julien aux « Boys », dont il possédait
la carte, et leur choix de la tribune
Boulogne ? « Au départ, on avait voulu
s’abonner à Auteuil, chez les Authentiks,
mais il n’y avait plus de place. Alors on est
allé à Boulogne, où l’abonnement, en plus,
était deux fois moins cher. C’est clair, j’ai
déjà entendu Julien insulter quand on
perd, mais jamais de façon raciste. L’an
dernier, il s’était acheté un blouson en
cuir mais il n’avait pas de bombers, de
DocMartens ou de treillis.
Il mettait des
écharpes mais jamais de maillots, il trouvait
que cela ne lui allait pas. Je ne l’ai jamais
vu se battre. Et je peux vous dire que
j’ai vu 95% des matches avec lui. »


Oh! le joli préjugé! :roll:

Pourtant jeudi soir, Julien Quemener
a bien été aspiré dans la meute haineuse
lancée contre Antoine Granomort, le policier
qui tentait de protéger Yanniv Hazout,
le supporter de l’Hapoël Tel-Aviv.
Alexandre était avec Julien « jusqu’à
quelques secondes avant qu’il ne meure ».
Déjà, la sortie de stade a été mouvementée:
« Il y avait des bagarres, des charges
de CRS, ça courait, des groupes se défaisaient
et se reformaient. J’ai vu Julien
courir, j’ai vu le troupeau autour du policier
et j’ai entendu le coup de feu. » Le tir
du policier a traversé le corps d’un autre
supporter de la tribune Boulogne, Mounir
Douchaer, surnommé « Francis » chez
les ultras, grièvement blessé au thorax et
au poumon. Puis la balle s’est logée dans
le cœur de Julien, qui décédera une
grosse demi-heure plus tard. « Comme je
l’avais perdu de vue, j’ai essayé de l’appeler
plusieurs fois mais il était sur messagerie.
Après, elle a rapidement saturé. » Il
faut dire que, après le match, Julien devait
rester à Paris et se rendre chez une
amie, près de la place d’Italie, alors
qu’Alexandre, venu en train, avait prévu
de rentrer. Cette amie lui a aussi laissé de
nombreux messages sur son téléphone
portable, également inquiète de ne pas le
voir arriver…



On en revient à la même question, que faisait-il là?


Se battre normalement. Personellement je doute qu'il était raciste, encore moins nazi, et encore moins qu'il voulait tuer qui que ce soit.

Et çà confirme ce que je dis depuis le debut.

Cet accident aurait arriver dans de nombreux endroit selon moi. Les contacts, il y en partout, meme à marseille. Là çà a mal tourné et on connait la suite. Et comme au Parc il y a des racistes radicaux. Et cela confirme les temoignages qui me faisaient douter.

Certaines "figures" du Parc disaient que aucun types connus de la tribune de Boulogne étaient sur les lieux.


Moi je pense qu'il y a eu branchage, çà en a enerver certains, et c'est parti en couille. Cà n'escuse rien, mais ce qui disent les medias est tout de meme tres different.

J'espere sincerement que l'on connaitra la verité sur tout çà.

27 Nov 2006, 16:11

le soucis, c'est la tournure médiatique que ca prend :shock:

27 Nov 2006, 16:17

Dejan13 a écrit:Dyser, oui je suis d'accord un mort c'est un mort,bon ou mauvais il est mort maintenant....Alors qu'on lui foutte la paix.


Ben voui ... à quand un jour férié pour fêter la naissance d'Hitler ? Il est mort alors ça devient quelqu'un de bien c'est évident, qu'est-ce qu'on est con. :roll:

27 Nov 2006, 16:20

sonny a écrit:
le vengeur a écrit:
Julien Quemener. Le meilleur ami
du supporter décédé, présent avec lui
jeudi soir, raconte son parcours



Image


Quel était le véritable visage de Julien
Quemener supporter parisien
de 25 ans tué par un policier, jeudi
soir, porte de Saint-Cloud à Paris ? Le
membre des Boulogne Boys, considéré
comme un proche des milieux hooligans
par la police, n’est pas le garçon que
connaissent ses amis de Savigny-sur-
Orge, la ville de l’Essonne dont il est originaire.
« Fanatique de foot », oui, mais « supergentil,
superserviable » et surtout, « ce
n’était pas un facho » pour son meilleur
ami, Alexandre, agent immobilier à la recherche
d’un emploi, qui l’a connu « à la
crèche ». « Il ne s’est jamais inscrit sur les
listes électorales, il se fout de la politique,
il ne regardait même pas les Guignols de
l’info
, nous raconte-t-il. La réputation de
la tribune Boulogne a pris le dessus. Le
premier que j’ai prévenu après avoir appris
son décès, c’est son pote Jérôme, avec
qui on allait au stade jusqu’à l’année dernière.
C’est un Antillais, comme le policier
qui a tiré ! Il sera là, avec nous, à son
enterrement. »


D’autres amis d’enfance de Julien
étaient réunis, hier midi, autour d’un
café, à L’Escale, un bar-tabac où ils ont
leurs habitudes, à Savigny. Dans le petit
groupe multicolore, on trouve Pascal,
amateur de boxe, mais aussi Salim, qui
était à la maternelle avec lui, ou encore
Mickaël, d’origine guadeloupéenne, qui
l’a connu au collège… « Il faut arrêter. Ce
n’était pas un trouble-fête », lance Mickaël.
« Moi, personnellement, je ne le vois pas
crier “sale nègre” ou “sale juif ” », poursuit
Salim.



Source: Le JDD


a car si on ne regarde pas les guignoles de l'info c'est une preuve qu'on ne s'interesse pas a la politique et qu'on est pas facho ? #-o


et donc son meilleur pote est pris en photo parmis les fafs a limite faire le saltu nazi et cotoie a tout les matchs les fafs des BB et il traine avec un groupe de black et de beure la semaine ?
je sais pas vous mais je me vois mal avoir mon meilleur pote facho et trainer avec lui tout le temps et a coté trainer avec d'autres potes noir et arabe. c'est paradoxale non ?

et meme s'il n'ets pas facho (c'est posisble hein :) ). que faisait il dans une course poursuite de ce genre et dans les premieres lignes :roll: ?

il pensait que c'était uen course a pied il a voulu participer ? il est tres curieux ?



Je suis bien placé qu'avoir des amis rebeu ou black ne disculpe en rien d'être un gros fachos...

Je suis rebeu...

"Si ils étaient tous comme toi... " Si je ne l'ai pas entendu des dizaines de fois, je l'ai jamais entendu...

"Les rebeus foutent le bordel partout où ils passent, c'est des cherches-merdes, c'est des sauvages... ah! si ils etaient tous comme toi..."

Au lieu de me considerer comme un contre-exemple, ils me consideraient comme une exception... c'est la demonstration de la xenophobie aveugle qui refuse de comprendre que generaliser c'est se tromper....

Tout ça pour dire que faire la liste de ses amis non-blanc n'est en aucun cas une preuve pour moi...

Il y a d'autres trucs qui me paraissent pour le moins suspect dans le recit... mais je dois filer.... :mrgreen:

27 Nov 2006, 16:20

hijodelsol a écrit:le soucis, c'est la tournure médiatique que ca prend :shock:


les médias ont un pouvoir sur la populasse c'est :shock:

27 Nov 2006, 16:21

Dyser a écrit:
sonny a écrit:j'espere que les VRAIS sups du parc vont pas baisser leur slip lors de la minute de silence


Je vais encore m'attirer les foudres mais je m'en fou:

J'ai TOUJOURS respecté les minutes de silence que ce soit pour la memoire des gens décédés que par respect de la famille.

Ses parents sont deja dans un situation tres difficile, alors que leur fils soit siffler par les gars du Parc serait... Eux n'ont rien demandés.


En tout cas, si la minute de silence est sifflée, çà va une nouvelle fois fouttre la merde, mais severe. On parle de la mort de quelqu'un là.

Moi je la respecterai, rien que par respect pour sa famille.


On a pas demandé de siffler, pour moi je respecte pas la minute pour ces types. Et encore moins j'en ferai pas !

27 Nov 2006, 16:23

la femme de l autre a écrit:On en revient à la même question, que faisait-il là?


+1

Exactement, on en dépeindrait presque un tableau de gentil tout plein. Quand tu n'appartiens pas à ces groupes, quand tu ne partage pas leur actions etc. TU NE VAS PAS AVEC EUX.

Il n'aurait pas pris la balle...

27 Nov 2006, 16:28

Jester a écrit:
la femme de l autre a écrit:On en revient à la même question, que faisait-il là?


+1

Exactement, on en dépeindrait presque un tableau de gentil tout plein. Quand tu n'appartiens pas à ces groupes, quand tu ne partage pas leur actions etc. TU NE VAS PAS AVEC EUX.

Il n'aurait pas pris la balle...


au delà de l'opinion politique du type ce que je retiens c'est que n'importe quel passant aurait pu se prendre la balle du policier

27 Nov 2006, 16:33

el loco a écrit:
Jester a écrit:
la femme de l autre a écrit:On en revient à la même question, que faisait-il là?


+1

Exactement, on en dépeindrait presque un tableau de gentil tout plein. Quand tu n'appartiens pas à ces groupes, quand tu ne partage pas leur actions etc. TU NE VAS PAS AVEC EUX.

Il n'aurait pas pris la balle...


au delà de l'opinion politique du type ce que je retiens c'est que n'importe quel passant aurait pu se prendre la balle du policier


je suis passant, je vois un groupe de 100 personnes courire apres un autre et/ou le frapper, je vais pas me mettre au milieu comme ca pour le fun. :roll:

27 Nov 2006, 16:38

el loco... comme sonny, je vois plein de mecs un peu énervés, j'reste pas à côté :roll:

27 Nov 2006, 16:38

le plus zarb c'ets qu'une arme qui est utilisée par un policier des transports (donc pas l'armée ni un crs ou un commando) puisse traverser un mec et en tuer un autre derriere.

c'est pas un peu trop pour un ce genre de flic qui n'est pas impliqué dans de gros trucs ? (jsuis pas expert en arme a feu ni en balistique mais c'ets un peu beaucoup non ?)

27 Nov 2006, 16:40

sonny, tout simplement parce qu'il a tiré a bout portant et que le poumon, ben c'ets de l'air ....

27 Nov 2006, 16:42

sonny a écrit:
el loco a écrit:
Jester a écrit:
la femme de l autre a écrit:On en revient à la même question, que faisait-il là?


+1

Exactement, on en dépeindrait presque un tableau de gentil tout plein. Quand tu n'appartiens pas à ces groupes, quand tu ne partage pas leur actions etc. TU NE VAS PAS AVEC EUX.

Il n'aurait pas pris la balle...


au delà de l'opinion politique du type ce que je retiens c'est que n'importe quel passant aurait pu se prendre la balle du policier


je suis passant, je vois un groupe de 100 personnes courire apres un autre et/ou le frapper, je vais pas me mettre au milieu comme ca pour le fun. :roll:


pas besoin de te mettre au millieu pour te prendre une balle perdu, il suffit juste d'avoir la malchance d'être là au mauvais moment
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