Modérateur: Modérateurs
sur RMC on dirait il va ce suicider le supp parisien
il est en détresse
etienne92200 a écrit:Tiens seydou keita a marqué ......
Que deviens son ex compère ? coulibaly, je crois ? en L2 ?
2 jeunes lancés sous courbis, je crois ...... non ?
Master Of Puppets a écrit:Le PSG s'est quand même vu refusé un but totalement valable et 5 minutes plus tard, un penalty aurait pu être sifflé sur Pedro (aurait pu si on applique le réglement du football qui dit précisément que balançer un joueur adverse dans sa surface de réparation c'est penalty). C'est pas la première fois cette saison, j'ai d'ailleurs pas le souvenir d'une seule décision avantageuse prononcé pour nous cette saison
Bref on aurait pu/on aurait du mener 2-0, alors certes ça n'excuse pas tout car notre équipe a arrêté de jouer après le but bordelais mais bon on a une équipe composé de joueurs sous anti-dépresseurs faut pas s'attendre à ce que les mecs se rebellent dans une situatio.n d'injustice.
On a des fiottes et en plus de ça on fait tout pour les fiottisé encore plus alors faut pas s'etonner.
Les bordelais sorte leur gros kiki bleu marine et au lieu de sortir à notre tour les notres, on préfère se retourner et se pencher en avant en criant "SANS VASELINE" !
ma douleur m'eggare pardon
Donibrasco a écrit:avouons quand même que c'est trés banda... l'agitation et la débandade parisienne!
sillicate a écrit:Effectivement, ça fait bizarre quelqu'un qui parle de tactique à un niveau élevé quand on est habitué aux analyses mènesiennes ou téléfootiennes.
Foot - L1 : Cayzac : «Pas question de changer»
Sous les sifflets du Parc des Princes, le Paris-SG a concédé sa quatrième défaite à domicile (0-2) face à Bordeaux sur des buts de Wendel (28e) et Laslandes (85e). Avec 16 points après 14 journées, le club parisien réalise le plus mauvais début de saison de son histoire. Alain Cayzac admet une «crise de confiance» mais le président du Paris-SG rejette d'avance l'idée de donner satisfaction aux «Lacombe, démission» entendus une nouvelle fois dans les travées du Parc. Le véhicule de l'entraîneur parisien a été pris à partie par une quinzaine de supporters à la sortie du stade.
« Alain Cayzac, quel est votre sentiment au soir de ce nouveau revers du Paris-SG à domicile ?
Si je vous disais que je suis satisfait, vous voudriez m'enfermer. Non, je suis très déçu. Je vis le moment le plus difficile depuis ma nomination à la tête du club. Je suis d'autant plus déçu qu'il y avait ce soir le quinzième anniversaire des Supras d'Auteuil. Au Parc des Princes, nous ne sommes plus dans notre jardin, l'équipe a du mal à s'y exprimer. Plus que la qualité du jeu, c'est l'inconstance des joueurs qui m'inquiète le plus. Dès que Bordeaux a marqué, ils ont joué la peur au ventre. Ce n'est pas la première fois cette saison que nous sommes incapables de réagir après avoir pris un but. Il y a une vraie crise de confiance.
Une crise de confiance ou une crise tout court ? Le Paris-SG réalise la plus mauvaise entame de son histoire...
Appelez cela comme vous voulez. Notre premier tiers de saison est plus que moyen. Mais je dis tout de suite qu'il n'est pas question de changer d'entraîneur. Je déteste le concept de bouc-émissaire. Je préfère m'inspirer des exemples de clubs qui ont maintenu leur confiance à leur entraîneur et qui s'en sont sortis. Je comprends la déception des supporters. Mais je ne connais pas d'entraîneur du PSG dont le public n'ait pas demandé la tête à un moment ou à un autre. La responsabilité est collective et c'est ensemble que nous en sortirons.
Comment ?
Quand on prend un coup sur la carafe comme ce soir, il faut repartir au combat. Dès dimanche, je vais parler aux joueurs et à l'entraîneur. Mon boulot va consister à évacuer le stress et à mobiliser les énergies. Je suis persuadé qu'on peut y arriver. Notre contre-performance de ce soir est rattrapable. Nous avons la chance de rejouer très vite, dès jeudi en Coupe d'Europe et dimanche prochain contre Nantes. On va pouvoir évaluer la capacité de réaction des hommes. C'est dans ces moments là que l'on voit les costauds.
La solution passera-t-elle aussi par le mercato ?
On peut envisager des décisions. Mais on ne va pas tout chambouler. Ce n'est ni souhaitable ni possible. Mais au vu de la deuxième mi-temps, je constate un déficit de performance. »
Guy Lacombe (entraîneur du PSG)
Je suis ravi que le président me maintienne sa confiance. Je faisais tout et je ferai tout pour être à la hauteur et relever le challenge que l'on me propose. Ce n'est pas quand on est dans la difficulté que l'on peut laisser tout le monde. Démissionner ne résoudrait pas le problème. On est au pied du mur, j'espère que l'on va relever la tête. Moi, je me battrai jusqu'au bout. Je fais mon métier du mieux que je peux. Il y a eu des périodes fastes avec moi à la tête du PSG. Je ne vais pas lâcher au moment où c'est difficile. J'ai l'habitude de me battre et je vais mettre en oeuvre tout mon potentiel pour relancer cette équipe. Il n'y a pas de cassure. Mais quand on regarde le début de saison, on n'est pas verni. Les joueurs lisent les journaux. Il n y a qu'à Paris que l'on voit des choses pareilles et les joueurs peuvent être touchés. On va prendre le taureau par les cornes et aller de l'avant. C'est une période difficile mais on ne va pas tout balayer. On est sur la bonne voie.
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