06 Juil 2006, 09:04
flashylami a écrit:pascalouch, pas d'accord avec toi
regarde avec l'OM
ca va faire 14 ans sans titre et on est toujours derriere
Psychoboy91 a écrit:D'un autre coté, c'est le public français qui est comme ca, un public créé avec 1998, et qui a comme reference que la victoire.
06 Juil 2006, 09:07
06 Juil 2006, 09:24
ça cest parce qu'ona marqué en 1er.Si on avait été mené ,tu en aurais vu de vertes et de pas mures.peezee a écrit:Contrairement à ce qu'on pouvait craindre, ils n'ont pas pourri le match,
06 Juil 2006, 09:26
06 Juil 2006, 09:27
Scolari a écrit:Un 13 porte-malheur! Vaincu avec le Portugal après douze matches sans défaite en Coupe du monde (7 avec le Brésil, 5 avec le Portugal), Luiz Felipe Scolari a réagi mercredi soir sur le site de la Coupe du monde de la Fifa après l'élimination du Portugal: "Je ne crois pas que la France était meilleure, c'était équilibré, mais je crois qu'un match nul qui se serait achevé aux tirs au but aurait été plus juste. Si l'Italie ne fait pas attention, la France prendra le dessus. Ce sont deux équipes de force égale, mais c'est vrai, les Français ont d'énormes aptitudes. Regardez Ronaldo, il a très bien joué, mais la France ne lui a donné que trop peu de possibilités de s'exprimer. Il n'y a pas de déception, l'équipe a été à la hauteur.".
06 Juil 2006, 09:30
mais je crois qu'un match nul qui se serait achevé aux tirs au but aurait été plus juste
06 Juil 2006, 09:32
06 Juil 2006, 09:36
06 Juil 2006, 09:40
06 Juil 2006, 09:51
peezee a écrit:Bon, le tour des ritals pour terminer.
Bah si on juge sur les deux 1/2 finales, on est mal, sérieux...
Ouais mais oualà, les matches se suivent et ne se ressemblent pas du tout. L'expérience de notre côté encore une fois, mais aussi un ascendant psychologique certain, qu'on a pu vérifier 3 fois de suite contre l'Espagne, le Brazil, et le Portugal!
Ca, plus un bloc défensif grave imperméable - et ça devrait pouvoir le faire. Let's hope...
06 Juil 2006, 09:55
cagade de Barthez
06 Juil 2006, 09:56
06 Juil 2006, 09:58
Les grandes villes de France ont exulté mercredi soir au dernier coup de sifflet du match Portugal-France (0-1) expédiant les Bleus en finale du Mondial-2006 de football, mais les célébrations ont été endeuillées par la mort d'un homme à Paris et entachées par des incidents.L'événement
Le calme est revenu jeudi aux alentours de 03H45 sur les Champs-Elysées à Paris où de légers incidents y ont éclaté plus tôt, a constaté l'AFP.
L'avenue a été rouverte progressivement à la circulation à partir de 02H20, a indiqué la préfecture de police de Paris, en précisant qu'elle communiquerait jeudi le nombre d'interpellations effectuées dans la nuit de mercredi à jeudi.
Au plus fort de la fête, quelque 500.000 personnes étaient en liesse à Paris, dont l'essentiel sur l'avenue des Champs-Elysées, où de légers incidents ont éclaté dans la nuit au moment où la plupart des supporteurs rentraient chez eux.
Un homme est mort en chutant du toit du métro à la station Opéra, dans le centre, sans que les circonstances exactes de ce drame n'aient été dévoilées.
Une autre personne, dont l'état exact n'a pas été précisé, a été blessée à l'arme blanche dans le sud de la capitale à la sortie du stade Charléty où le match venait d'être diffusé sur écran géant. Des bagarres entre groupes de jeunes et des tirs tendus de fumigènes étaient survenues à l'occasion de cette diffusion.
Cinq autres personnes ont été blessées après le match, dont deux grièvement, quand un motard a perdu le contrôle de son engin dans le XIIIème arrondissement.
Déprédations, bagarres et échauffourées, notamment entre jeunes et forces de l'ordre, ont également été relevées dans les centres de Lyon et de Marseille.
A Lyon, des jeunes ont entravé la circulation des voitures, secouant celles-ci, n'hésitant pas à ouvrir et dévaliser les coffres des véhicules, voire à s'en prendre physiquement aux conducteurs ou aux passagers.
Quelques bagarres entre automobilistes et piétons ont éclaté dans la foule, certains conducteurs n'hésitant pas à forcer le passage, quitte à bousculer des fêtards se trouvant sur leur chemin.
Pourtant, la soirée avait bien débuté. A Paris, sortant des bars et restaurants ou arrivant spontanément des quatre coins de la capitale, les supporteurs français, ivres de joie, klaxonnaient, dansaient et chantaient en choeur, fiers de la victoire de leurs héros.
Non loin de l'avenue symbolique, une immense clameur s'est élevée des jardins de l'Assemblée nationale où des députés de tous bords s'étaient réunis.
A Marseille, environ 2000 personnes s'étaient rassemblées sur le Vieux-Port devant un écran géant pour voir le match. Il y étaient 5000 à la fin juste avant les incidents qui ont conduit à une vingtaine d'interpellations. Juste après le coup de sifflet final, des spectateurs ont chanté l'hymne de la victoire de 98 "I will survive", d'autres s'accrochaient aux panneaux indicateurs ou passaient des coups de téléphone.
Dans un autre quartier du centre de Marseille, où les bars étaient bondés, les cloches de l'église Notre-Dame-du-Mont ont sonné pour célébrer la victoire des Bleus.
Liesse également à Lyon place Bellecour où la municipalité de Lyon avait renoncé à installer un écran géant par crainte de "mouvements de foule". L'affluence compacte scandait tour à tour des "Zizou, Zizou !" et des "on est en finale, on est en finale !" avec force drapeaux, maillots de Zidane ou de Ribéry, des fumigènes et même un cracheur de feu.
A Toulouse, ils étaient 15.000 place du Capitole à vibrer aux exploits des hommes de Raymond Domenech. Quelques minutes après la fin du match, quelques gouttes de pluie ont commencé à tomber au milieu des lueurs de feux de Bengale, alors que la foule se dispersait lentement et que les terrasses des cafés faisaient le plein de clients célébrant la victoire française.
A Lille, la pluie est arrivée presque en même temps que le coup de sifflet final. Pas de quoi doucher totalement l'enthousiasme des supporters des Bleus, mais la fête paraissait moins folle qu'après Brésil-France. Devant les écrans géants installés un peu à l'écart du centre-ville, 12.000 supporters ont suivi le match, avant que les plus courageux ne continuent la fête sur la Grand Place.
Devant les écrans géants d'un jardin public de Boulogne-sur-Mer, c'est Franck Ribéry, le "margat" (enfant) de la ville, qui était notamment acclamé. Bridée dans ses encouragements par la domination portugaise jusqu'au penalty obtenu par Henry et transformé par Zidane, la foule -9000 personnes selon la mairie-, massée devant quatre écrans géants, a poussé sa première clameur à l'ouverture du score puis a vrombi à chaque occasion française.
© 2006 AFP
06 Juil 2006, 10:02
06 Juil 2006, 10:02
Je ne serais pas étonné qu'il y ait eu des consignes aux arbitres avant les demi-finales sur le thème "allez-y molo sur les cartons". La FIFA n'avait pas intérêt à proposer une finale entre coiffeurs... Cela dit, ce ne serait pas idiot : sévérité générale pendant la compétition pour l'exemplarité, puis pédale douce en demi.
Je ne sais pas trop comment interpréter les propos de Zidane qui font tant plaisir à Flashy (on va gagner pour les vrais supps, pas les cons qui nous encouragent maintenant que ça baigne). Des propos excessifs ont été tenus, sans doute, dans les médias et ailleurs. Mais ZZ veut-il dire qu'on ne peut pas critiquer l'équipe et les choix du sélectionneurs ? De même que les supps de l'OM du site sont souvent plus que virulents ; c'est le principe du "qui aime bien châtie bien"...
06 Juil 2006, 10:04
06 Juil 2006, 10:05
Des bagarres entre groupes de jeunes et des tirs tendus de fumigènes étaient survenues à l'occasion de cette diffusion.
06 Juil 2006, 10:05
06 Juil 2006, 10:18
06 Juil 2006, 10:18
el loco a écrit:flashylami, moi aussi j'ai adoré la dernière phrase de Zidane mais je le trouve un peu dur avec lui même, même s'il est arrivé en cours de route face à l'Irlande je serais heureux pour lui si la France gagne