10 Mar 2006, 18:40
svinzinho a écrit:abble a écrit:milan est passé par miracle, lyon a ses chances
4-1 un miracle?
de tte facon, Sheva et Kaka vont donner le tournis à Muller
10 Mar 2006, 18:45
svinzinho a écrit:abble a écrit:milan est passé par miracle, lyon a ses chances
4-1 un miracle?
de tte facon, Sheva et Kaka vont donner le tournis à Muller
10 Mar 2006, 18:48
10 Mar 2006, 19:41
10 Mar 2006, 19:42
10 Mar 2006, 19:45
Calvin92 a écrit:bien fait
10 Mar 2006, 19:48
10 Mar 2006, 21:11
10 Mar 2006, 21:26
10 Mar 2006, 21:35
10 Mar 2006, 22:29
11 Mar 2006, 03:12
Dégonage collatéral
Aussi bizarre que cela puisse paraître, une grande partie des amoureux du ballon rond de l'hexagone se réjouit du tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des Champions. Il ne faut pourtant pas se tromper dans l'analyse. La perspective de voir enfin une grande affiche de coupe d'Europe à Gerland, celle contre le Real ne comptant que pour du beurre, n'y est pour rien. Il faut y voir ici un anti-lyonnisme primaire.
Le Milan AC, vieille connaissance marseillaise, va étriller l'Olympique Lyonnais et ce, pour le bonheur d'un grand nombre. Jamais une grande équipe française (nier serait grotesque) n'avait suscité auparavant pareil dégoût. Les épopées européennes de Saint-Étienne, de l'OM, du PSG et même plus récemment de Monaco (club presque pas français) avaient réellement fédéré la France du Football. Pour l'OL, c'est différent. On a beau entendre dans tous les canards de France et de Navarre que sa cote de popularité remonte à vitesse grand V, avec statistiques en tous genres à l'appui (ventes de maillots, fréquentation du stade etc...), il n'empêche que l'on a du mal à y croire.
Alors quelles sont les raisons de ce véritable désamour ? Les gones sont pourtant en passe de réaliser une performance historique, à savoir remporter cinq titres de championnats consécutifs, ce qu'aucun club, ne fut-ce Marseille ou Saint-Etienne, n'avait réussi. La faute à qui ? A son géniteur, le président Jean Michel Aulas. Il a bâti un club à son image : terne, calculateur, prétentieux et sans âme. La méthode est certes payante, pour preuve les résultats font plus que suivre, mais elle ne fait rêver personne. On s'identifie difficilement à Lyon, il n'y a pas de personnalités assez charismatiques pour faire vibrer les gamins dans les cours de récré comme le faisaient jadis la bande à Curkovic, Waddle, Boli et autres Georges Weah. Et ça, ça ne s'achète ni se travaille. Cela doit venir du cœur et de l'esprit, ce que le patron de la CEGID est loin de comprendre. En somme, gagner c'est bien, mais avec le style de Lyon ça craint.
So Foot
11 Mar 2006, 06:53
warziso a écrit:s'ils passent ils se tapent le barca c'est ca ?
11 Mar 2006, 08:27
Thorgal a écrit:Dégonage collatéral
Aussi bizarre que cela puisse paraître, une grande partie des amoureux du ballon rond de l'hexagone se réjouit du tirage au sort des quarts de finale de la Ligue des Champions. Il ne faut pourtant pas se tromper dans l'analyse. La perspective de voir enfin une grande affiche de coupe d'Europe à Gerland, celle contre le Real ne comptant que pour du beurre, n'y est pour rien. Il faut y voir ici un anti-lyonnisme primaire.
Le Milan AC, vieille connaissance marseillaise, va étriller l'Olympique Lyonnais et ce, pour le bonheur d'un grand nombre. Jamais une grande équipe française (nier serait grotesque) n'avait suscité auparavant pareil dégoût. Les épopées européennes de Saint-Étienne, de l'OM, du PSG et même plus récemment de Monaco (club presque pas français) avaient réellement fédéré la France du Football. Pour l'OL, c'est différent. On a beau entendre dans tous les canards de France et de Navarre que sa cote de popularité remonte à vitesse grand V, avec statistiques en tous genres à l'appui (ventes de maillots, fréquentation du stade etc...), il n'empêche que l'on a du mal à y croire.
Alors quelles sont les raisons de ce véritable désamour ? Les gones sont pourtant en passe de réaliser une performance historique, à savoir remporter cinq titres de championnats consécutifs, ce qu'aucun club, ne fut-ce Marseille ou Saint-Etienne, n'avait réussi. La faute à qui ? A son géniteur, le président Jean Michel Aulas. Il a bâti un club à son image : terne, calculateur, prétentieux et sans âme. La méthode est certes payante, pour preuve les résultats font plus que suivre, mais elle ne fait rêver personne. On s'identifie difficilement à Lyon, il n'y a pas de personnalités assez charismatiques pour faire vibrer les gamins dans les cours de récré comme le faisaient jadis la bande à Curkovic, Waddle, Boli et autres Georges Weah. Et ça, ça ne s'achète ni se travaille. Cela doit venir du cœur et de l'esprit, ce que le patron de la CEGID est loin de comprendre. En somme, gagner c'est bien, mais avec le style de Lyon ça craint.
le dernier paragraphe est assez pertinent. Au niveau de l'image médiatique du club, il leur manque des joueurs charismatiques
11 Mar 2006, 08:44
svinzinho a écrit:abble a écrit:milan est passé par miracle, lyon a ses chances
4-1 un miracle?
de tte facon, Sheva et Kaka vont donner le tournis à Muller
11 Mar 2006, 12:30
11 Mar 2006, 12:38
11 Mar 2006, 12:48
11 Mar 2006, 12:53
11 Mar 2006, 12:54
gob a écrit:d'ou sort cet article ?