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Rafael a écrit:j'vais me faire incendié mais bon : Ce que dit Cazadamont ne change en rien le fond du problème, y'a eu désinformation sur son cas mais c'est tout ! Au niveau sécurité il le dit lui même, il n'a pas le droit de faire partie de la commission , donc il n'a jamais eu le droit , cette année ou les autres années ! Seul la préfecture décide ! Lui il est venu réclamé 400 places en plus parce que le parcage (rouge) marseillais contient 1400 places (je pensais 1300 mais bon osf) .
Si cette année comme tous les ans la préfecture dit que c'est ok, pourquoi ce caca nerveux ?
Rafael a écrit:j'vais me faire incendié mais bon : Ce que dit Cazadamont ne change en rien le fond du problème, y'a eu désinformation sur son cas mais c'est tout ! Au niveau sécurité il le dit lui même, il n'a pas le droit de faire partie de la commission , donc il n'a jamais eu le droit , cette année ou les autres années ! Seul la préfecture décide ! Lui il est venu réclamé 400 places en plus parce que le parcage (rouge) marseillais contient 1400 places (je pensais 1300 mais bon osf) .
Si cette année comme tous les ans la préfecture dit que c'est ok, pourquoi ce caca nerveux ?
LE JOURNALISME SANS QUESTION
E. M. - lundi 6 mars 2006
Dans la position de l'entreprise lésée, Canal+ a surtout souligné ses propres contradictions, et montré l'abandon de toute forme de journalisme sur son antenne, lors de la venue de Pape Diouf et Pierre Blayau sur le plateau de Jour de Foot…
"L'affaire" PSG-OM a une nouvelle fois souligné le ridicule des médias, Canal+ en tête, lorsqu'ils persistent à faire de cette rencontre une affiche exceptionnelle. En quoi ce match de dinosaures en voie d'extinction est-il plus un "clasico" que le Saint-Étienne-Nantes qui s'est justement retrouvé en prime time dimanche soir, suite à la reprogrammation de Paris-Marseille? Un match qui a comporté en dix minutes plus de jeu et d'occasions que l'intégralité de PSG-OM... Et qu'est-ce qui a empêché la chaîne cryptée de boycotter à son tour cette mascarade en refusant de la diffuser? Une telle décision aurait pourtant crédibilisé les déclarations scandalisées d'Alexandre Bompard, directeur des sports de la chaîne…
Comme cette comédie n'était en soi pas suffisante, Canal+ nous a fait le plaisir d'en organiser un épisode surréaliste samedi soir lors de Jour de Foot, dont les invités furent successivement Pierre Blayau et Pape Diouf. Successivement, puisque de toute évidence, un débat direct n'a pas été possible, pour des raisons que l'on ignore puisque la chaîne cryptée n'a pas daigné les communiquer. Peut-être les deux protagonistes ne souhaitaient-ils pas que des parcelles de vérité émergent d'une confrontation. Ce simple fait suffit à démontrer le niveau d'indigence de ceux qui dirigent le football et les clubs français.
Le pire aura été l'attitude affligeante, au point d'en être incompréhensible, de l'animateur Lionel Rosso, qui s'est contenté de poser (plusieurs fois) des questions d'ordre complètement général, qui ont amené des réponses évasives et sans intérêt, s'épargnant d'apporter la moindre contradiction ou une simple réplique à ses invités. À croire qu'il ne connaissait strictement rien du dossier… Bilan : le téléspectateur qui voulait se faire une opinion n'a strictement rien appris, et celui qui avait déjà arrêté la sienne a pu tranquillement rester sur ses positions.
Le lendemain, sur le plateau de Téléfoot, Thierry Gilardi a eu comparativement le mérite de placer Pape Diouf devant certaines de ses contradictions. Si maintenant, TF1 donne des leçons de journalisme à Canal+…
Le lendemain, sur le plateau de Téléfoot, Thierry Gilardi a eu comparativement le mérite de placer Pape Diouf devant certaines de ses contradictions. Si maintenant, TF1 donne des leçons de journalisme à Canal+…
Le pire aura été l'attitude affligeante, au point d'en être incompréhensible, de l'animateur Lionel Rosso, qui s'est contenté de poser (plusieurs fois) des questions d'ordre complètement général, qui ont amené des réponses évasives et sans intérêt, s'épargnant d'apporter la moindre contradiction ou une simple réplique à ses invités. À croire qu'il ne connaissait strictement rien du dossier… Bilan : le téléspectateur qui voulait se faire une opinion n'a strictement rien appris, et celui qui avait déjà arrêté la sienne a pu tranquillement rester sur ses positions.
Le lendemain, sur le plateau de Téléfoot, Thierry Gilardi a eu comparativement le mérite de placer Pape Diouf devant certaines de ses contradictions. Si maintenant, TF1 donne des leçons de journalisme à Canal+…
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