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Di Maggio a écrit:Pancho11 a écrit:surtout que Meité n'est pas allé en CFA2 hier...
A ce sujet je n'ai pas compris l'objectif de sa mise à disposition de la CFA2 ! Dans la Provence, ils parlaient de "lui permettre de reprendre le rythme"...Putain le mec vient de faire la CAN, d'aller jusqu'en finale et il a besoin de..."rythme" ???.....
Di Maggio a écrit:Pancho11 a écrit:surtout que Meité n'est pas allé en CFA2 hier...
A ce sujet je n'ai pas compris l'objectif de sa mise à disposition de la CFA2 ! Dans la Provence, ils parlaient de "lui permettre de reprendre le rythme"...Putain le mec vient de faire la CAN, d'aller jusqu'en finale et il a besoin de..."rythme" ???.....
Pancho11 a écrit:Di Maggio a écrit:Pancho11 a écrit:surtout que Meité n'est pas allé en CFA2 hier...
A ce sujet je n'ai pas compris l'objectif de sa mise à disposition de la CFA2 ! Dans la Provence, ils parlaient de "lui permettre de reprendre le rythme"...Putain le mec vient de faire la CAN, d'aller jusqu'en finale et il a besoin de..."rythme" ???.....
A la CAN il a fait 180 minutes soit meme pas la moitié de la compétition...
C'était sa chance, il devait faire un match en CFA2 pour se préparer pour Bolton
LECHAMPIONNATdeFrance a découvert Renato Civelli dimanche dernier, lorsque le jeune défenseur argentin a remplacé Bostjan Cesar, sévèrement touché dans un choc frontal, lors de la défaite de Marseille à Metz (0-1). Les jeunes filles apprécient déjà sa gueule d’ange et les supporters marseillais, qui l’ont vu évoluer pendant ses 51 premières
minutes de Ligue 1, lui trouvent déjà un potentiel intéressant. À tel point
qu’ils l’ont élu meilleur joueur de l’équipe sur le site officiel du club. Dans
un contexte plutôt tendu, le défenseur, âgé de vingt-deux ans, a su s’adapter avec assurance et offrir des garanties aux côtés de Déhu et Beye. « Je n’étais pourtant pas à 100 %, assure-t-il en espagnol. Je n’ai pas pu donner tout ce que je suis capable de donner, mais je
pense qu’avec le temps, mes performances vont encore s’améliorer. »
Civelli a débarqué àMarseille fin janvier sur la pointe des pieds. Son arrivée le dernier jour du mercato a même donné lieu à quelques bugs de communication au sein du staff dirigeant de l’OM. Pape Diouf,le président, parlait d’un essai de six mois et refusait de dire que le joueur, venu du club argentin de Banfield, avait signé un contrat en bonne et due forme
(prêt de six mois). Jean Fernandez, qui ne l’avait pas vu jouer, gardait la même discrétion. Seul José Anigo, le directeur sportif, assumait ce choix de la cellule de recrutement et expliquait que le joueur avait été repéré quelques mois plus tôt. Il parlait de lui donner sa chance jusqu’à la fin de la saison, « à la manière d’un Taiwo qui s’est révélé, au final, être un
choix gagnant ». Civelli devait, en fait, se contenter de quelques apparitions dans l’équipe réserve, en CFA 2, avant de briguer éventuellementun posteen L 1.Mais les états d’âme d’André Luis et de Meïté, à peine revenu de la CAN, l’ont propulsé plus vite que prévu dans le grand bain. « Je suis venu pour jouer et, si je n’avais pas été sûr que ça se ferait rapidement, je ne serais jamais venu, affirme Civelli,
sans complexe. Depuis le jour de mon arrivée, je me sens prêt. » Des années d’expérience en Argentine Le joueur, qui possède la double nationalité italienne et argentine, évoluait dans la défense centrale de Banfield depuis plusieurs années. Ce club argentin est réputé pour former et sortir de très bons joueurs comme Paletta, qui doit rejoindre Liverpool cet été. Issu d’une famille de sportifs de haut niveau, Renato Civelli n’a pas suivi les traces de son frère aîné, Bruno, handballeur international,
qui évolue aujourd’hui à Conversano en Italie (près de Bari). À dix-sept ans et demi, il a opté pour une carrière de footballeur professionnel et,
après une centaine de matches en première division argentine, il a estimé qu’il était temps de partir en Europe. Grand (1,91m), Civelli dispose d’un bon jeu de tête et d’une certaine constance aumarquage. Avec toute la confiance qui semble l’habiter, il se pose en candidat sérieux au remplacement de Cesar, absent pour six semaines au moins, en raison d’une fracture de l’os frontal. « C’est une blessure dramatique pour lui et pour l’équipe », déclare l’Argentin, au sujet de son coéquipier slovène. Avant de lancer : « Il y a une place à prendre et je vais tout faire pour être titulaire. »
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