Au vu des resultats depuis la reprise ( surtout les deux derniers), la victoire sera tout sauf facile.
Mais avec un peu de sérieux, ca devrait passer.
Match Mercredi 01 fevrier a 20h45 ( eurosport).
Le groupe pour ce match :
GARDIENS : Barthez, Carrasso
DEFENSEURS : Bonnissel, Ferreira, Déhu, Andre Luis, Cantareil
MILIEUX : Cana, Delfim, Lamouchi, Deruda, Ribéry
ATTAQUANTS : Gimenez, Maoulida, Pagis, N'Diaye
(opiom.net)
Veille de match à la Commanderie
Quand l’OM reçoit, l’équipe marseillaise a l’habitude de s’entraîner sur la pelouse du stade Vélodrome la veille. Ce n’était pas le cas vendredi. Ce ne sera pas le cas non plus mardi, à 24h d’OM-Metz.
Comme avant OM-Sochaux il a été décidé de ménager la pelouse du stade Vélodrome soumise à rude épreuve par les intempéries, et la rencontre de samedi soir. L’entraînement de mardi après-midi, à l’origine prévu boulevard Michelet, a donc été «déplacé» à la Commanderie. Les Olympiens partiront ensuite se mettre au vert.
Cana : «La coupe nous tient vraiment à cœur»
Le nul contre Sochaux recèle des leçons à retenir selon Lorik Cana qui se projette sur la coupe de France, et l’envie commune du groupe olympien : aller au stade de France pour la première fois.
On sent beaucoup de regrets chez vous, après ce match nul contre Sochaux…
Oui, c’est une vraie déception. Nous avions à cœur de nous racheter de notre défaite d’Ajaccio. Le coach nous avait d’ailleurs dit que nous avions toujours su rebondir dans pareille situation par le passé. Malheureusement nous n’y sommes pas parvenus cette fois pour plusieurs raisons…
Lesquelles ?
Déjà, nous sommes tombés sur une bonne équipe de Sochaux. Les conditions de jeu n’étaient pas faciles non plus, mais c’était le cas pour les deux formations. Nous ne nous cacherons pas derrière ça. Nous ne pouvons nous en vouloir qu’à nous-mêmes.
Il nous a manqué de la présence. Cela nous a déjà fait défaut lors d’autres matches. Nous n’avons pas eu une réelle maîtrise sur la rencontre comme nous aurions du l’avoir et comme nous l’avons eu par le passé au Vélodrome.
L’OM a perdu beaucoup de points depuis le début de l’année 2006. Attendez-vous un déclic ?
Non, ce n’est pas ça. Il s’agit juste d’une question d’état d’esprit, de concentration. Il nous faut retrouver cette volonté d’imposer notre jeu à l’adversaire.
Le match nul de samedi est-il à rapprocher de la défaite d’Ajaccio ?
Non. Il n’y a rien de comparable. Ajaccio nous avait mangé dans tous les domaines. Physiquement, techniquement, ils avaient été largement au-dessus. Samedi ce n’était pas le cas. Mais nous n’avons pas su mettre la pression nécessaire pour faire craquer Sochaux. C’est d’autant plus dommage que leur défense était assez jeune. A nous d’en tirer les leçons afin de ne pas reproduire les mêmes erreurs. Le championnat est encore long. Nous essaierons de rattraper ces points perdus dès dimanche à Troyes.
Le départ de cinq joueurs à la CAN est-il un lourd préjudice ?
C’est vrai que ça joue aussi. Le coach nous a fait remarqué que nous avions trouvé une certaine stabilité en novembre-décembre. Les résultats venaient et nous avions accompli une très bonne série au point de bien recoller au classement.
Depuis, cinq joueurs sont partis à la CAN, et cela a cassé cet élan, et ces automatismes. Des nouveaux sont arrivés, mais avec l’enchaînement des rencontres il n’y a pas le temps nécessaire pour travailler à leur adaptation.
A présent, il faut oublier Sochaux pour se tourner vers Metz que vous recevez mercredi soir…
Ce n’est pas simple d’oublier une déconvenue comme celle de samedi, mais c’est ce à quoi nous travaillons depuis dimanche. Nous essayons de bien faire les soins, de bien nous reposer. Car ce match de coupe est très important pour nous. Il nous tient vraiment à cœur. Si on arrivait à faire un beau parcours en coupe de France… L’OM n’est jamais allé au stade de France. Nous avons cette envie d’y aller cette année.
Laurent Oreggia (avec Sidonie Canetto)
et un début de crise .
