Modérateur: Modérateurs
manuchao a écrit:Moi je reve d'un duo Courbis - Tapie a l'OM . Ca serait parfait pour les emmerder .
Pout a écrit:20 mai 1989 . Pendant que l'OM bat Auxerre 2 à 1, Lens, bon dernier de D1 (3 victoires pour 27 défaites), offre le titre aux Marseillais en tenant en échec le PSG (0-0). Les jours suivants, les Parisiens dénoncent le versement de primes par l'OM aux Lensois afin de les "sensibiliser" aux enjeux de cette rencontre.
Moundir33 a écrit:Ya du rageux ici. Des qu'on touche à l'OM, on ferme les yeux et refuse toute objectivité.
Perso je ne connaissais pas la moitié des evenements relatés dans le post de Pout, et je pense que l'OM n'a pas été tout blanc sous les ères Tapie (ou Tapy).
Lolo_DV a écrit:moi je suis pessimiste, je me dis que l'UEFA, dans le doute (car les preuves si elles existaient n'y sont plus ...) "pourrait" faire rejouer un OM-Milan pour réobtenir la C1 ...
Lolo_DV a écrit:moi je suis pessimiste, je me dis que l'UEFA, dans le doute (car les preuves si elles existaient n'y sont plus ...) "pourrait" faire rejouer un OM-Milan pour réobtenir la C1 ...
Lolo_DV a écrit:The Thing + l'infini.
Déjà Eydelie il a été condamné pour quoi ? pour tentative de corruption.
Donc c'est un gonze qui est VENAL, il voulait des ronds, il dit pas le contraire. Il avait fermé sa yeule (si les faits dont on l'accusait étaient vrais).
Et là tout d'un coup, la presse entière donne à manger aux anti-OM, et prend ses paroles commes celles de l'Evangile ?
Genre il est dans le train il se tait, et maintenant qu'il en est sorti et pris la main dans le sac, il critique les autres qui sont des corrupteurs ... y'a un problème là ...
20 mai 1989 . Pendant que l'OM bat Auxerre 2 à 1, Lens, bon dernier de D1 (3 victoires pour 27 défaites), offre le titre aux Marseillais en tenant en échec le PSG (0-0). Les jours suivants, les Parisiens dénoncent le versement de primes par l'OM aux Lensois afin de les "sensibiliser" aux enjeux de cette rencontre.
25 avril 1990 25 avril 1990. ASSE-OM (0-0). Quelques jours après le match, Claude Bez remet à la Commission nationale de discipline l'enregistrement (qu'il dit avoir acheté à des inconnus à l'aéroport de Marseille) d'une conversation téléphonique au cours de laquelle Bernard Tapie demanderait à Jean-Pierre Bernès d'intervenir auprès de Laurent Fournier afin qu'il ne joue pas à 100% de ses moyens. Deux mois plus tard, Fournier est transféré à Marseille. Faute de pouvoir identifier l'authenticité de la bande, la CND classe l'affaire.
6 novembre 1990 . OM-Lech Poznan (6-0). Après le carton de l'OM en huitième de finale de C1, les dirigeants polonais affirment que leurs joueurs ont été drogués en buvant du jus d’orange au cours de leur séjour marseillais.
15 décembre 1991 . Les dirigeants rennais fulminent : leurs joueurs auraient bu du jus d’orange suspect dans leur hôtel marseillais… au point de s'endormir entre Marignane et Marseille.
7 mars 1992 . L'OM bat Nantes à la Beaujoire. Jean-Jacques Eydelie affirme avoir été auparavant contacté par un joueur de l'OM lui déclarant "Je sais que, l'année prochaine, tu seras à Marseille, ce serait bien que, pour ce match-là, tu nous aides". Eydelie dit avoir refusé, mais tout de même touché une "prime exceptionnelle" de 300.000 francs (en raison de la victoire marseillaise) quelques semaines après son arrivée à Marseille.
17 mars 1993 . OM-CSKA Moscou (6-0). Guennadi Kostiliev, l'entraîneur russe, affirme que ses joueurs ont été malades en ingérant un thé frelaté et qu'il a reçu un appel téléphonique lui proposant de laisser filer le match en échange d'une forte somme d'argent. Plus tard, Kostiliev informera l'UEFA n'avoir jamais entendu parler de corruption autour du match perdu par son équipe au Vélodrome. Eydelie affirme qu'au match aller comme au match retour, les boissons des Moscovites ont été "trafiquées".
20 décembre 2003 . Croyant démentir les accusations de Waddle et Cascarino sur les pratiques pharmaceutiques de l'OM des années 90, Bernard Casoni déclare au Monde: "On nous appliquait dans le bas du dos un pistolet à air comprimé qui comprenait plusieurs fléchettes, quatre je crois. Le but était de stimuler les glandes surrénales qui sécrètent naturellement des hormones. C'était plus psychologique qu'autre chose : il suffisait que tu fasses un bon match pour que tu aies envie de recommencer".
23/01/2006
La Ligue de football professionnel, qui a interrogé l'UEFA lundi après les déclarations de l'ex-joueur de Marseille Jean-Jacques Eydelie sur la finale de la Ligue des champions 1993, a indiqué que quatre contrôles antidopage, tous négatifs, avaient été pratiqués après le match.
Eydelie avait affirmé samedi dans L'Equipe magazine: «Avant la finale de Munich, on nous a demandé de nous aligner à la queue leu leu pour recevoir une piqûre dans le cul (...). Le pire, c'est qu'au même moment, dans le couloir, Tapie faisait un scandale en réclamant un contrôle antidopage à la fin du match. Il gueulait: +Les Italiens sont tous dopés ! A moi, on ne va pas la faire ! Résultat, il n'y a eu aucun contrôle à la fin du match.»
La LFP a indiqué avoir interrogé l'UEFA lundi matin, juste avant d'être saisie par Maître Lantourne, avocat de Bernard Tapie, président de l'OM à l'époque, qui souhaitait justement que la Ligue se tourne vers l'instance européenne pour obtenir des précisions. Au vu de la réponse de l'UEFA, la LFP souhaite s'en tenir là.
L'UEFA, de son côté, a annoncé dans la journée qu'elle allait «se pencher avec la plus grande attention sur ce dossier malgré le temps passé depuis ce match» avant d'éventuellement ouvrir ou non une enquête.
L'equipe.fr
Utilisateurs parcourant ce forum : Bing [Bot], Gorda et 101 invités