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manuchao a écrit:Allez moi je verrai bien Pipo Inzaghi car le Milan a ce qui faut en attaque avec Vieri , Scheva et Gilardino alors pourquoi pas lui , je sais vous allez me dire il est trop vieux mais lui c'est un vrai tueur . Pourquoi pas un pret .
Fournier tacle Veissière
HIER, EN CONFÉRENCE de presse, l’entraîneur du PSG a fustigé les commentaires de Canal +, dimanche dernier, à Marseille. Fournier n’a pas apprécié l’attitude de Gilles Veissière, consultant de la chaîne cryptée sur l’arbitrage, au moment où Barthez a
commis une faute sur Kalou (non sanctionnée) qui aurait dû entraîner l’expulsion du gardien marseillais.
"Dommage que certaines personnes ne disent pas la vérité. Je leur en ai parlé. Sur Canal +, la faute de Barthez est passée comme s’il n’y avait rien eu. Tout le monde peut faire des erreurs, sauf ceux qui parlent devant une télé..."
Fan_de_Coach Vahid a écrit:NB : vous avez vu l'article HONTEUX de l'équipe en première page qui essaie de foutre la zizanie dans le vestiaire du PSG ???
Le Mystère Dhorasoo
VIKASH DHORASOO est un joueur qui aura bien mené sa carrière, mais celle-ci aura étiré jusqu’à Paris unétrange scepticisme. À trente-deux
ans, l’ancien Lyonnais appartient toujours à cette caste de joueurs
dont on attend la lumière et qui, pour peu que celle-ci se fasse attendre,
attisent des sentiments troubles. Où se bousculent frustrations, crispations
et incompréhensions.
En onze journées, Dhorasoo a été onze fois titulaire. Dans L’Équipe, il n’a été gratifié qu’à trois reprises (*) d’une note supérieure ou égale à 6.
C’est trop peu au regard de sa réputation d’accélérateur et de son image de passeur, pas toujours justifiée, même s’il a donné à Pauleta trois de ses sept buts. Trop peu au regard de son statut d’international et de son niveau de jeu chez les Bleus cette saison, notamment face à la Côte d’Ivoire (3-0), contre Chypre (4-0) ou en Suisse (1-1).
Yepes, le vice-capitaine du PSG, résume :« Il a montré pas mal de bonnes choses, mais il a tout le potentiel pour en montrer encore plus. » Auprès des dirigeants, Dhorasoo conserve la cote. « On est satisfaits de lui, assure Jean-Michel Moutier, le directeur sportif. Il monte en puissance et on préfère d’ailleurs qu’il aille crescendo plutôt que l’inverse. Depuis trois ou quatre matches, il réalise des prestations pleines. » Affirmation
discutable. Sur ses trois dernières prestations en L 1 – Le Mans (0-0),
Nantes (2-0), Marseille (0-1) –, la moyenne des notes du milieu international ne se situe qu’à 4,5. Au Vélodrome, il a connu un bon quart
d’heure en première période, marqué par une ouverture vers Kalou qui
entraîna la faute non sanctionnée de Barthez. Le reste du temps, il n’a
jamais été une individualité capable d’extirper le PSG de ses difficultés.
Les jours sombres, à Marseille ou à Saint-Étienne (0-3), il était au diapason…
Certes, Dhorasoo a accepté, une fois, au Mans, d’être titularisé à gauche
parce que Kalou avait refusé d’évoluer sur ce côté. « Mais il n’avait pas le droit de boycotter le match comme il l’a fait », peut-on entendre en interne. La plupart du temps, il a évolué dans sa zone de prédilection, dans l’axe, mais en donnant l’impression de se chercher. Ni vrai récupérateur ni meneur de jeu. Plutôt un relayeur au rayonnement inconstant.
Une question de motivation ? Hier, Laurent Fournier a admis que « Vikash doit retrouver la grande forme ». Comme souvent, cette saison, l’entraîneur parisien s’est référé à une saison au Milan AC (2004-2005) sur le banc pour dire de son joueur qu’il « essaie de faire le maximum, mais ce n’est pas évident».
Mais cet argument tient-il encore la route ? Certes, Dhorasoo a vécu une
préparation foncière décalée. Mais Pauleta et Yepes, dans le même cas,
sont sensiblement plus réguliers que l’ex-Havrais. Certes, Dhorasoo a parfois joué avec une cheville ou une hanche douloureuse.
Depuis le 29 juillet, Dhorasoo a déjà disputé pratiquement autant de
matches qu’au cours de sa saison italienne. Mais, lorsqu’il a été aligné
avec les Bleus, il n’a jamais paru affecté physiquement par cet épisode
presque blanc (douze matches de Serie A). Moutier dit d’ailleurs ceci : « Qu’il n’ait pas joué à Milan, je l’avais pris comme un point positif en
le recrutant, car il serait forcément motivé à l’idée de rebondir à Paris. »
Sa motivation, justement. Touche t-on là au point sensible, à la clé du
mystère ? Dhorasoo a-t-il signé au PSG pour y vivre des sensations fortes ? Ou pense-t-il surtout à vivre dans Paris, lui qui va bientôt s’installer dans le XVIe arrondissement ? Est-il venu avant tout affermir sa
position chez les Bleus, où il sait jouir du soutien de Raymond Domenech à défaut d’entretenir des affinités avec les glorieux revenants ? En restant remplaçant à Milan, Dhorasoo risquait d’écorner sa place en
équipe nationale. Paris, forcément, lui offre un horizon moins incertain.
Face à cela, le joueur est-il tenté de gérer sa saison au mieux de ses intérêts sur le chemin menant au Mondial ? Cette semaine, Dhorasoo n’a
pas souhaité s’exprimer sur ces sujets. Il se réfugie derrière le classement
du PSG en L 1 (deuxième) pour y situer l’essentiel, au-delà des cas
individuels.
Rudy Haddad, qui est assis à ses côtés pendant les repas desmises au
vert, affirme que « Vikash n’est pas venu à Paris en préretraite », qu’il
« veut laisser une trace » et qu’il « dit lui-même qu’il veut faire plus ».
Il n’empêche. Dans le vestiaire du Camp des Loges, l’implication de Dhorasoo suscite quelques agacements. Certains stigmatisent sa nonchalance sur le terrain. D’autres attitudes, aussi. À l’entraînement, il s’est accroché avec M’Bami et Kalou, qui n’appréciaient pas sa façon de leur parler.
« Il est assez introverti et ça donne parfois l’impression qu’il ne veut pas venir vers les autres, racontait, avant-hier, le Camerounais. Au début, je me disais :mais est-ce qu’il veut discuter ? Depuis, on s’est rapprochés. J’ai découvert quelqu’un d’agréable. On s’est aperçus qu’on avait la même vision du jeu de l’équipe mais qu’on ne l’exprimait pas de la même manière. »
Après le match de ce soir contre Nancy, le PSG va mettre ses ambitions au révélateur d’un automne brûlant (Auxerre, Monaco, Bordeaux, Lens,
Lyon). Pour Vikash Dhorasoo, sans doute l’heure est-elle venue d’augmenter le volume de son jeu. Pour tenter de donner, sous le maillot du PSG, une autre image que celle d’un joueur assez quelconque.
Jérome Touboul, L'Equipe, aujourd'hui
Thorgal a écrit:Il est complètement à coté de ses pompes le Fournier quand même ; ça me fait presque pitié depuis lundi il nous sort tous les jours une nouvelle excuse pour expliquer sa défaite au Vel... il nous parle d'amoniac, de Barthez, de Clara Morgane, de journalistes à NRJ qui font des itw, de steewarts qui fument, et maintenant c'est les commantaires de Canal qui lui ont pas plu...
Quick25 a écrit:alors pour Ilan ou pas Ilan ?
Thorgal a écrit:Voici L'article dont parle Fan_de_coach_Vahid :Le Mystère Dhorasoo
VIKASH DHORASOO est un joueur qui aura bien mené sa carrière, mais celle-ci aura étiré jusqu’à Paris unétrange scepticisme. À trente-deux
ans, l’ancien Lyonnais appartient toujours à cette caste de joueurs
dont on attend la lumière et qui, pour peu que celle-ci se fasse attendre,
attisent des sentiments troubles. Où se bousculent frustrations, crispations
et incompréhensions.
En onze journées, Dhorasoo a été onze fois titulaire. Dans L’Équipe, il n’a été gratifié qu’à trois reprises (*) d’une note supérieure ou égale à 6.
C’est trop peu au regard de sa réputation d’accélérateur et de son image de passeur, pas toujours justifiée, même s’il a donné à Pauleta trois de ses sept buts. Trop peu au regard de son statut d’international et de son niveau de jeu chez les Bleus cette saison, notamment face à la Côte d’Ivoire (3-0), contre Chypre (4-0) ou en Suisse (1-1).
Yepes, le vice-capitaine du PSG, résume :« Il a montré pas mal de bonnes choses, mais il a tout le potentiel pour en montrer encore plus. » Auprès des dirigeants, Dhorasoo conserve la cote. « On est satisfaits de lui, assure Jean-Michel Moutier, le directeur sportif. Il monte en puissance et on préfère d’ailleurs qu’il aille crescendo plutôt que l’inverse. Depuis trois ou quatre matches, il réalise des prestations pleines. » Affirmation
discutable. Sur ses trois dernières prestations en L 1 – Le Mans (0-0),
Nantes (2-0), Marseille (0-1) –, la moyenne des notes du milieu international ne se situe qu’à 4,5. Au Vélodrome, il a connu un bon quart
d’heure en première période, marqué par une ouverture vers Kalou qui
entraîna la faute non sanctionnée de Barthez. Le reste du temps, il n’a
jamais été une individualité capable d’extirper le PSG de ses difficultés.
Les jours sombres, à Marseille ou à Saint-Étienne (0-3), il était au diapason…
Certes, Dhorasoo a accepté, une fois, au Mans, d’être titularisé à gauche
parce que Kalou avait refusé d’évoluer sur ce côté. « Mais il n’avait pas le droit de boycotter le match comme il l’a fait », peut-on entendre en interne. La plupart du temps, il a évolué dans sa zone de prédilection, dans l’axe, mais en donnant l’impression de se chercher. Ni vrai récupérateur ni meneur de jeu. Plutôt un relayeur au rayonnement inconstant.
Une question de motivation ? Hier, Laurent Fournier a admis que « Vikash doit retrouver la grande forme ». Comme souvent, cette saison, l’entraîneur parisien s’est référé à une saison au Milan AC (2004-2005) sur le banc pour dire de son joueur qu’il « essaie de faire le maximum, mais ce n’est pas évident».
Mais cet argument tient-il encore la route ? Certes, Dhorasoo a vécu une
préparation foncière décalée. Mais Pauleta et Yepes, dans le même cas,
sont sensiblement plus réguliers que l’ex-Havrais. Certes, Dhorasoo a parfois joué avec une cheville ou une hanche douloureuse.
Depuis le 29 juillet, Dhorasoo a déjà disputé pratiquement autant de
matches qu’au cours de sa saison italienne. Mais, lorsqu’il a été aligné
avec les Bleus, il n’a jamais paru affecté physiquement par cet épisode
presque blanc (douze matches de Serie A). Moutier dit d’ailleurs ceci : « Qu’il n’ait pas joué à Milan, je l’avais pris comme un point positif en
le recrutant, car il serait forcément motivé à l’idée de rebondir à Paris. »
Sa motivation, justement. Touche t-on là au point sensible, à la clé du
mystère ? Dhorasoo a-t-il signé au PSG pour y vivre des sensations fortes ? Ou pense-t-il surtout à vivre dans Paris, lui qui va bientôt s’installer dans le XVIe arrondissement ? Est-il venu avant tout affermir sa
position chez les Bleus, où il sait jouir du soutien de Raymond Domenech à défaut d’entretenir des affinités avec les glorieux revenants ? En restant remplaçant à Milan, Dhorasoo risquait d’écorner sa place en
équipe nationale. Paris, forcément, lui offre un horizon moins incertain.
Face à cela, le joueur est-il tenté de gérer sa saison au mieux de ses intérêts sur le chemin menant au Mondial ? Cette semaine, Dhorasoo n’a
pas souhaité s’exprimer sur ces sujets. Il se réfugie derrière le classement
du PSG en L 1 (deuxième) pour y situer l’essentiel, au-delà des cas
individuels.
Rudy Haddad, qui est assis à ses côtés pendant les repas desmises au
vert, affirme que « Vikash n’est pas venu à Paris en préretraite », qu’il
« veut laisser une trace » et qu’il « dit lui-même qu’il veut faire plus ».
Il n’empêche. Dans le vestiaire du Camp des Loges, l’implication de Dhorasoo suscite quelques agacements. Certains stigmatisent sa nonchalance sur le terrain. D’autres attitudes, aussi. À l’entraînement, il s’est accroché avec M’Bami et Kalou, qui n’appréciaient pas sa façon de leur parler.
« Il est assez introverti et ça donne parfois l’impression qu’il ne veut pas venir vers les autres, racontait, avant-hier, le Camerounais. Au début, je me disais :mais est-ce qu’il veut discuter ? Depuis, on s’est rapprochés. J’ai découvert quelqu’un d’agréable. On s’est aperçus qu’on avait la même vision du jeu de l’équipe mais qu’on ne l’exprimait pas de la même manière. »
Après le match de ce soir contre Nancy, le PSG va mettre ses ambitions au révélateur d’un automne brûlant (Auxerre, Monaco, Bordeaux, Lens,
Lyon). Pour Vikash Dhorasoo, sans doute l’heure est-elle venue d’augmenter le volume de son jeu. Pour tenter de donner, sous le maillot du PSG, une autre image que celle d’un joueur assez quelconque.
Jérome Touboul, L'Equipe, aujourd'hui
Je vois pas ce qui a de choquant
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