Modérateur: Modérateurs
Et si par malheur on se qualifie pour l'UEFA, ça va etre le même bordel jusqu'en Décembre au moins
Autant dire que c'est la relégation qu'on va jouer...
notre équipe ne vaut pas grand chose dans l'absolu, et avec notre parcours en intertoto-UEFA, elle vaut moins que rien.
Je signe aujourd'hui, plus que jamais pour une 17ème place au soir de la 38 ème journée
Maintenant s'il y a un type ici, qui est capable de me démontrer que l'OM n'est pas un candidat à la descente, je suis prêt à me raser le crâne et à me couper les couilles
En même temps je ne me sents pas coupable d'avoir eu raison avant les autres.
y a-t-il encore des fous qui oseraient prétendre que cet OM-là peut viser mieux que le maintien en L1?
La vérité est tristement éclatante.
Celui qui ose venir m'expliquer que je suis trop sévère avec cette équipe, je l'inscris directement à alcoolique anonyme
Vous pouvez pas savoir à quel point je suis triste d'avoir eu raison avant tout le monde.
J'aurais tellement voulu m'être trompé
Irrémédiablement, l'OM s'enfonce dans les bas-fond, dans l'indifférence générale
Des fois je me demande si je ne devrais pas être naïf et niais comme certains ici ...
Je vous pointe la lune avec mon doigt, et vous vous regardez quoi ? Mon doigt !
Mon sentiment sur cette équipe et sur son tragique destin, je le tiens depuis le mois d'Aout, et ce ne sont pas quelques victoires chanceuses (Nice, Moscou) ou à l'arraché (Paris) qui m'ont fait changé d'avis.
Je sais que mon rôle d'apporteur de mauvaises nouvelles est un rôle ingrat, mais je l'assume.
Mais je parie qu'avant la fin des matchs aller tout le monde aura enfin compris que le SEUL et UNIQUE objectif de cet OM c'est de ne pas passer sur Eurosport l'année prochaine
Cookies a écrit:Bravo gigi, cette compli merite de figurer parmis les hits d'OMlive !!!! @ France Football
Du 100% gigi @ Basile Boli 100% Foot
Tout a fait Thierry @ Jean Michel Larqué
Severement burné le gigi @ Bernard T
calabrais a écrit:Thing (The)
The Thing
USA, 1982
De John Carpenter
Scénario : Bill Lancaster, d’après le récit de John W. Campbell, Who goes there?
Avec Kurt Russell, Donald Moffat, Richard Masur, A. Wilford Brimley, Keith David
Photo : Dean Cundey
Musique : Ennio Morricone
Durée : 1h44
En Antarctique, durant l’hiver 1982, douze hommes découvrent une chose calcinée, enfouie sous la neige depuis des milliers d’années. Décongelée, la créature reprend vie en adoptant la forme de celui qu’elle tue. Aucun des hommes ne peux se fier aux autres. Qui est humain? Qui est la chose?
En 1951, Howard Hawks, le réalisateur préféré de John Carpenter, avait produit et collaboré à la mise en scène du film de Christian Nyby, La Chose d’un autre monde. Une créature végétale, ayant le pouvoir de se régénérer, terrorisait les habitants d’une station polaire. En pleine guerre froide et maccarthysme, le film affichait un optimisme triomphant et n’échappait pas à une romance de rigueur entre un sémillant capitaine et une accorte scientifique. Le film de John Carpenter ne peut pas être qualifié de plat remake, il est plus fidèle au court récit de John W. Campbell ayant précédemment inspiré Hawks et Nyby. La créature extra-terrestre peut revêtir la forme et l’intelligence de toute créature vivante dans la station polaire, chien ou être humain. On assiste à un huis-clos particulièrement efficace, où la paranoïa ne peut que se propager parmi les douze hommes isolés.
Le ton est très noir, et Carpenter s’en tient au final pessimiste, bien qu’ayant tourné une fin alternative plus rassurante, qu’il décida de ne pas utiliser.
Tout est dit ...
calabrais a écrit:Thing (The)
The Thing
USA, 1982
De John Carpenter
Scénario : Bill Lancaster, d’après le récit de John W. Campbell, Who goes there?
Avec Kurt Russell, Donald Moffat, Richard Masur, A. Wilford Brimley, Keith David
Photo : Dean Cundey
Musique : Ennio Morricone
Durée : 1h44
En Antarctique, durant l’hiver 1982, douze hommes découvrent une chose calcinée, enfouie sous la neige depuis des milliers d’années. Décongelée, la créature reprend vie en adoptant la forme de celui qu’elle tue. Aucun des hommes ne peux se fier aux autres. Qui est humain? Qui est la chose?
En 1951, Howard Hawks, le réalisateur préféré de John Carpenter, avait produit et collaboré à la mise en scène du film de Christian Nyby, La Chose d’un autre monde. Une créature végétale, ayant le pouvoir de se régénérer, terrorisait les habitants d’une station polaire. En pleine guerre froide et maccarthysme, le film affichait un optimisme triomphant et n’échappait pas à une romance de rigueur entre un sémillant capitaine et une accorte scientifique. Le film de John Carpenter ne peut pas être qualifié de plat remake, il est plus fidèle au court récit de John W. Campbell ayant précédemment inspiré Hawks et Nyby. La créature extra-terrestre peut revêtir la forme et l’intelligence de toute créature vivante dans la station polaire, chien ou être humain. On assiste à un huis-clos particulièrement efficace, où la paranoïa ne peut que se propager parmi les douze hommes isolés.
Le ton est très noir, et Carpenter s’en tient au final pessimiste, bien qu’ayant tourné une fin alternative plus rassurante, qu’il décida de ne pas utiliser.
Tout est dit ...
chaques victoire la été sur le fil et souvent la chance a été de notre coté .
autant diore qu'on pourrais etre 10 eme aujourd'hui a 10 pts du deuxieme ...
Bander pas trop
d'autant plus desolant qu'avec une bonne recrue devant on pourrait se balader dans ce chamionnat de bras casser ;..
Utilisateurs parcourant ce forum : Bing [Bot], def et 27 invités