JPP REVIENS a écrit:iamaseb, l'entreprise sait également qu'elle a tout à perdre face à d'autres entreprises qui valoriseront leurs salariés.
Pas dans une situation de chômage. Et pas si le travailleur est interchangeable.
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iamaseb a écrit:JPP REVIENS a écrit:iamaseb, l'entreprise sait également qu'elle a tout à perdre face à d'autres entreprises qui valoriseront leurs salariés.
Pas dans une situation de chômage. Et pas si le travailleur est interchangeable.
JPP REVIENS a écrit:iamaseb, pour ce côté je suis d'accord que c'est anormal. On en revient à la définition du "bonheur", les patrons ne chercheront jamais, les employés non plus par ailleurs, à penser au bonheur de l'autre. Ils demeurent dans une logique d'intérets particuliers, de groupes.
JPP REVIENS a écrit:iamaseb a écrit:JPP REVIENS a écrit:iamaseb, l'entreprise sait également qu'elle a tout à perdre face à d'autres entreprises qui valoriseront leurs salariés.
Pas dans une situation de chômage. Et pas si le travailleur est interchangeable.
Tu sais divers paramètres entrent alors en compte. La mondialisation, l'attitude des acheteurs etc...SI les entreprises finissent par payer au lance pierre tous les salariés, alors qui achetera leurs produits? Qui financera leurs productions?
Elles sont contraintes par des facteurs psychologiques mais surtout économiques à demeurer "décentes" envers leurs salariés.
Regarde le fordisme, modèle pourtant criant de libéralisme, il fut le premier à voir la nécessité de donner un salaire relativement important à ses employés pour que ceux ci achètent ses produits.
Bref, il est donc possible, d'établir des lois fortes au sein de notre économie. Des lois qui vont à l'encontre des désirs individuels des acteurs de notre société économique, mais qui existent pour le bien de l'intérêt générale.
crikken a écrit:pascalouch,
Dizzidence Politik Fabadapap
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crikken a écrit:iamaseb,Bref, il est donc possible, d'établir des lois fortes au sein de notre économie. Des lois qui vont à l'encontre des désirs individuels des acteurs de notre société économique, mais qui existent pour le bien de l'intérêt générale.
jette un oeil du côté de platon et de la violence positive, et garde l'autre.
pour le reste et pour rester dans la grande philosophie, je citerai souchon, oui alain de son prénom, qui disait "on nous fait croire que le bonheur c'est d'avoir"...
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