djul13 a écrit:demain c'est aujourd'hui
tu remets en cause tous les fondements de la métaphysique là
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djul13 a écrit:demain c'est aujourd'hui
Le Bayern du sud a écrit:Quand les gars de Geneve on demandait a la Cgt et autres syndicats si ils pourraient faire greves ils leurs disent oui ya pas a chercher les causes de la defaites
Le Bayern du sud a écrit:Quand les gars de Geneve on demandait a la Cgt et autres syndicats si ils pourraient faire greves ils leurs disent oui ya pas a chercher les causes de la defaites
"La Coupe de l'America n'est qu'une histoire de pognon", selon Florence Arthaud
MARSEILLE (AP) - La navigatrice Florence Arthaud, membre du comité de parrainage de la candidature marseillaise à l'organisation de la Coupe de l'America, a déploré mercredi "le manque d'esprit sportif de cette compétition".
En fin de matinée, la société nautique de Genève a annoncé son choix de Valence (Espagne) pour l'organisation de l'édition 2007. Dans une interview à l'Associated Press, Florence Arthaud a été très dure vis-à-vis des organisateurs suisses: "on s'éloigne de la voile, de la compétition et de l'esprit sportif, la Coupe de l'America n'est qu'une histoire de pognon".
"Le roi d'Espagne a surenchéri au dernier moment, je suis déçue que le choix ait porté sur des question financières, je n'irai pas voir les régates à Valence", a-t-elle ajouté.
Selon Florence Arthaud, qui habite dans la cité phocéenne depuis le 1er juillet, "la rade de Marseille est unique au niveau des vents; de ce point de vue, on ne peut pas comparer Valence et Marseille".
"La décision prise par Bertarelli ne va pas dans le sens de la démocratisation de la Coupe de l'America, il va se mettre les Suisses à dos, car ils auraient pu se rendre à Marseille en voiture", a encore déclaré la célèbre navigatrice. "En Espagne, c'est un sport d'élite, de riches et cela va le rester", a-t-elle conclu. AP
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"il semblerait que l'Espagne ait fait des propositions financières un peu plus importantes que les nôtres". "Quand M. Bonnefous (directeur d'AC management, ndlr) est venu dans mon bureau, il m'a dit qu'il voulait en faire un événement populaire, alors il fallait choisir Marseille", ajoute le maire.
L'opposition municipale ne tarde pas à désigner sa cible: le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin qui avait mis 50 millions d'euros dans la balance. "Le lâchage vient surtout de la part du gouvernement", affirme clairement Michel Pezet, président du groupe municipal socialiste.
"J'ai de l'amertume, c'est le soutien du gouvernement qui nous a manqué; au dernier moment, l'Etat espagnol a fait des efforts supplémentaires, l'Etat français ne les a pas faits", renchérit Patrick Mennucci, vice-président socialiste du Conseil régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur.
"Avec M. Bertarelli (milliardaire suisse détenteur du titre avec le défi Alinghi, ndlr), on ne se complaît pas dans le glamour mais dans les millions de dollars".
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