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bonjour de mardi

27 Juil 2004, 02:29

BONJOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR

a venir tout a l'heure en exclu omlive l'interview choc de le trepied , je dévoilerai aussi mon projet en exclu a certaines personne sur msn ( projet qui ne nuira pas a omlive ) et bientot arriveront des interviews , voila tout sur ceux bonne nuit je vais dormir , je fais le topic car abble est allé se coucher tot et moins jsuis mort la donc hop au pieu d'ailleur jdois avoir marquer plein de conneries la en même temps ca change pas trop , je vous joins

un magnifique texte sur la physiologie de la reproduction tiré de http://www.chu-toulouse.fr/fiv_lg/HTM/p2.htm

ainsi que un magnifique site sur la Pyrargue à queue blanche : http://www.oiseaux.net/oiseaux/accipitr ... anche.html

et pour finir une these sur le tamanoir pointu venu de http://membres.lycos.fr/tez ( lisez le dernier il est lolant )

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1er texte

Introduction

La reproduction humaine consiste en la fusion de deux cellules, appelées gamètes (ovocyte et spermatozoïde), contenant chacune 23 chromosomes. Cette fusion va permettre la formation d'un embryon contenant 46 chromosomes, dont la moitié proviennent de la mère et l'autre moitié du père. Cet embryon a donc une identité génétique propre et il s'agit plus d'une procréation (formation d'un nouvel être) que d'une reproduction (à l'identique).
La procréation nécessite donc une phase préparatoire de formation des gamètes (gamétogenèse: ovogenèse pour les ovocytes, spermatogenèse pour les spermatozoïdes), puis la fusion de ces gamètes (fécondation). Lors de la gamétogenèse, les cellules vont subir une réduction du nombre de chromosomes pour passer de 46 chromosomes (nombre spécifique de l'espèce humaine) à 23 chromosomes lors de la méiose. La méiose, qui ne concerne que les cellules de la gamétogenèse, est constituée de deux divisions cellulaires successives, appelées mitose réductionnelle et mitose équationnelle.



1. Anatomie de l'appareil génital féminin





2. Formation des ovocytes et ovulation

2.1. L'ovocyte
Il s'agit d'une grosse cellule sphérique, immobile, mesurant environ 140µ de diamètre en fin de phase de croissance. Elle est entourée d'une enveloppe translucide, formée de protéines: la zone pellucide. A l'extérieur de la zone pellucide, l'ovocyte est inclus dans une masse cellulaire, appelée cumulus oophorus, dont la couche en contact avec la zone pellucide est nommée corona radiata. On distingue deux types d'ovocyte: l'ovocyte I, ou ovocyte immature, dont le noyau est bloqué en prophase de 1ère division de la méiose (vésicule germinale) et qui n'a pas de globule polaire,



Ovocyte I

et l'ovocyte II, ou ovocyte mature, dont le noyau est bloqué en métaphase de 2ème division de la méiose et qui possède un globule polaire dans l'espace séparant la zone pellucide et l'ovocyte (espace péri-vitellin).




Ovocyte II entouré du cumulus oophorus


Ovocyte II

2.2. L'ovogenèse
L'ovogenèse (schéma général), ou formation des ovocytes, se déroule au sein des follicules situés dans l'ovaire et débute lors de la vie embryonnaire. A la naissance, il y a un stock d'environ 200.000 ovocytes I. A partir de la puberté et jusqu'à la ménopause, chaque mois une vague d'environ 600 ovocytes démarrent leur croissance. Cette croissance dure 2½ mois au terme de laquelle il ne reste qu'un seul ovocyte (les autres ayant dégénéré). Pendant cette phase de croissance, l'ovocyte va acquérir le matériel cellulaire nécessaire aux premières étapes du développement embryonnaire. A cette croissance, fait suite une étape de maturation, d'une durée de 36 heures, permettant la formation d'un ovocyte mature ou ovocyte II. La maturation de l'ovocyte est déclenchée par le pic de LH. Elle va permettre à l'ovocyte de devenir fécondable par un spermatozoïde.

2.3. Le follicule
Les follicules sont des formations sphériques situées en périphérie des ovaires contenant les ovocytes. Ils sont formés de 3 couches cellulaires concentriques: la thèque externe, la thèque interne et la granulosa qui délimitent une cavité liquidienne ou antrum. Cette dernière, n'absorbant pas les ultra-sons, pourra être mesurée par échographie.




Les follicules subissent une phase de croissance et leur diamètre va passer de 40µ à 22mm. Cette croissance est strictement parallèle à la croissance ovocytaire, tant au point de vue de la durée que de la cinétique.
En fin de croissance, sous l'effet du pic de LH, le follicule va se rompre à la surface de l'ovaire et va expulser l'ovocyte dans la trompe: c'est l'ovulation (en moyenne au 14ème jour du cycle).
Après l'ovulation, le follicule se transforme en corps jaune dont la durée de vie est d'environ 12 jours. S'il y a grossesse, le corps jaune va persister pendant le 1er trimestre. Dans le cas contraire, il va devenir fibreux (corps blanc) puis disparaître complètement: c'est la lutéolyse.

2.4. Sécrétions hormonales de l'ovaire
L'ovaire a une activité très importante de synthèse hormonale.
Le follicule, lors des 14 derniers jours de sa croissance, synthétise des estrogènes et plus particulièrement de l'estradiol. Cette synthèse augmente progressivement jusqu'à l'ovulation. Cette phase est appelée phase folliculaire.
Après l'ovulation, la synthèse d'estradiol diminue et le corps jaune sécrète essentiellement de la progestérone. On appelle cette phase la phase lutéale. La synthèse de progestérone va durer pendant toute la vie du corps jaune et va chuter lors de la formation du corps blanc.
Le fonctionnement de l'ovaire étant cyclique, une nouvelle phase folliculaire va succéder à la phase lutéale.



2.5. Contrôle du fonctionnement ovarien
Le fonctionnement des ovaires est contrôlé par deux formations situées à la base du cerveau: l'hypothalamus et l'hypophyse. L'hypothalamus sécrète une hormone, le GnRH (Gonadotrophin Releasing Hormone) qui va stimuler l'hypophyse. En réponse, l'hypophyse va sécréter deux hormones (gonadotrophines), la FSH (Follicle Stimulating Hormone) et la LH (Luteinizing Hormone) qui vont à leur tour agir sur les ovaires. Par leurs sécrétions hormonales les ovaires vont réguler le fonctionnement de l'hypothalamus et de l'hypophyse (rétro-contrôle). Les modalités du contrôle varient en fonction du stade de développement des follicules.

En phase folliculaire, la FSH stimule la croissance des follicules et la synthèse d'estradiol. En retour, l'estradiol va réguler la sécrétion de FSH.
En fin de phase folliculaire, les fortes quantités d'estradiol secrétées par l'ovaire vont stimuler l'hypothalamus et l'hypophyse ce qui va entraîner une décharge brutale et très importante de LH (pic de LH) qui va induire l'ovulation et la maturation ovocytaire.
En phase lutéale, c'est la LH qui va stimuler le corps jaune qui en réponse synthétise de la progestérone. En fin de phase lutéale, la LH va chuter, entraînant la lutéolyse. S'il y a grossesse, l'embryon secrète l'hCG (human Chorionic Gonadotropin) qui a le même effet que la LH et qui va donc stimuler le corps jaune et empêcher la lutéolyse.


2.6. Rôle des hormones ovariennes
Les hormones ovariennes (estrogènes et progestérone) passent dans le sang et vont venir agir sur leurs organes cibles.

Sur la glaire cervicale: les estrogènes vont stimuler la sécrétion de glaire cervicale et augmenter sa perméabilité aux spermatozoïdes. A l'opposé, la progestérone diminue la sécrétion et la rendimperméable aux spermatozoïdes.

Sur l'endomètre (muqueuse qui tapisse l'intérieur de la cavité utérine): sous l'action des estrogènes, l'endomètre va s'épaissir (phase proliférative). La progestérone stoppe le développement de l'endomètre mais stimule la sécrétion des glandes de l'endomètre (phase sécrétoire) (ces deux phases successives sont indispensables à la nidation de l'embryon). En fin de vie du corps jaune, lors de la chute de la progestérone, la partie de l'endomètre qui avait proliféré sous l'effet des estrogènes va se détacher de la paroi utérine: c'est la menstruation (règles). En cas de grossesse, le maintien de la sécrétion de progestérone par l'hCG va empêcher l'apparition des règles. Il y a donc un fonctionnement cyclique de l'endomètre que l'on appelle cycle menstruel. Ce cycle est tout à fait superposable à celui des ovaires et par définition on considère que le 1er jour des règles correspond au 1er jour de la phase folliculaire (1er jour du cycle).

4. Formation des spermatozoïdes et éjaculation

4.1. Les spermatozoïdes
Les spermatozoïdes, ou gamètes mâles, sont de petites cellules (3µ de large et 60µ de long) très mobiles dont la structure a pour but d'amener les chromosomes paternels à l'intérieur de l'ovocyte. Ils sont formés de 3 parties:

La tête composée du noyau (contenant les chromosomes) et de l'acrosome (sac contenant les enzymes nécessaires à la pénétration dans l'ovocyte).
La pièce intermédiaire: très riche en mitochondries qui fournissent l'énergie nécessaire au mouvement.
Le flagelle qui est l'organe de propulsion du spermatozoïde




4.2. La spermatogenèse
La spermatogenèse, ou formation des spermatozoïdes, se déroule au sein des tubules séminifères situés dans les testicules. Elle s'effectue à partir de cellules souches, les spermatogonies, qui se multiplient par simple division cellulaire. Les spermatogonies se transforment ensuite en spermatocytes I qui vont subir la mitose réductionnelle de la méiose pour donner les spermatocytes II. Ces spermatocytes II vont donner les spermatides après avoir subi la mitose équationnelle. Les spermatides, qui sont en réalité des spermatozoïdes immatures, vont subir une phase de maturation, appelée spermiogenèse, pour donner naissance aux spermatozoïdes. Cette dernière phase permet au spermatozoïde d'acquérir les outils nécessaires à la fécondation (acrosome, flagelle) et de modifier son noyau.
La spermatogenèse débute à la puberté et est permanente. Il faut environ 72 jours pour qu'une spermatogonie donne naissance à un spermatozoïde.

4.3. Les testicules
Les testicules, situés dans les bourses, contiennent les tubules séminifères, très fins tubes sous forme de pelote au sein desquels se fait la spermatogenèse. Ces tubules contiennent également des cellules nourricières, appelées cellules de Sertoli. Entre les tubules séminifères se trouvent les cellules qui fabriquent les hormones mâles ou androgènes (testostérone): ce sont les cellules de Leydig.

4.4. Formation du sperme
Les spermatozoïdes, après leur maturation, sont libérés à l'intérieur des tubules séminifères et vont être stockés dans l'épididyme où ils vont terminer leur maturation (acquisition de la mobilité). Lors de l'éjaculation, les spermatozoïdes (ainsi que les sécrétions de l'épididyme) vont passer dans les canaux déférents, se mélanger avec les sécrétions des vésicules séminales puis de la prostate ce qui permet la formation du sperme. Le sperme passe ensuite dans l'urètre et est éjaculé vers l'extérieur au niveau du gland.

4.5. Régulation du fonctionnement des testicules
Tout comme les ovaires, les testicules sont sous le contrôle des hormones FSH et LH qui vont stimuler la spermatogenèse et la synthèse des androgènes. Par contre, ici le fonctionnement n'est pas cyclique mais continu.
De plus, les testicules sont contrôlés par la température. En effet, la position externe des bourses permet de maintenir les testicules à une température d'environ 35° et non de 37° comme le reste du corps. Cette faible température est indispensable à la spermatogenèse et toute élévation thermique peut bloquer celle-ci.



5. Fécondation

5.1. Migration des spermatozoïdes dans l'appareil génital féminin
Lors d'un rapport sexuel, des millions de spermatozoïdes sont éjaculés dans le vagin. pour atteindre l'ovocyte et le féconder, il vont devoir migrer vers les trompes. Pour cela, la première étape est la traversée de la glaire cervicale. La glaire cervicale, secrétée par les glandes endocervicales du col de l'utérus, forme un réseau de mailles ressemblant à un filet. Les spermatozoïdes vont se faufiler à travers ce filet pour atteindre l'utérus puis les trompes grâce à leur mobilité. Cette traversée de la glaire cervicale joue un rôle essentiel dans les processus de fécondation. En effet la glaire est un milieu très favorable pour la survie des spermatozoïdes contrairement au vagin (sécrétions très acides). Les spermatozoïdes vont donc être stockés là. La glaire joue également un rôle de filtre (seuls les spermatozoïdes normaux et mobiles peuvent la franchir). Enfin, les spermatozoïdes n'acquièrent leur pouvoir fécondant qu'après la traversée de la glaire par des processus que l'on appelle capacitation (modifications de la membrane des spermatozoïdes). Au terme de leur périple, seulement quelques centaines de spermatozoïdes atteindront les trompes, lieu de la fécondation.


Glaire cervicale en microscopie électronique


5.2. Fécondation
Pour pouvoir déposer leur noyau à l'intérieur de l'ovocyte, les spermatozoïdes vont devoir traverser auparavant le cumulus oophorus et atteindre la zone pellucide. Ils se fixent ensuite sur la zone pellucide qu'ils vont traverser à l'aide des enzymes contenues dans l'acrosome (réaction acrosomique). Ils pénètrent alors dans l'espace péri-vitellin et vont fusionner avec la membrane de l'ovocyte. La totalité du spermatozoïde va pénétrer à l'intérieur de l'ovocyte. L'ovocyte, par une réaction chimique (réaction corticale), modifie sa zone pellucide de façon à ce qu'elle ne puisse plus être traversée par un autre spermatozoïde. Il n'y a donc ainsi qu'un seul spermatozoïde qui va pénétrer dans l'ovocyte. Après la fécondation, l'ovocyte termine la méiose pour donner un ovule et le 2ème globule polaire. Cet ovule contient alors deux noyaux, appelés pronuclei, l'un provenant de l'ovule, l'autre du spermatozoïde, et est nommé zygote.



Zygote


Ce zygote va ensuite se diviser pour donner naissance à un embryon à 2 cellules identiques. Lors de cette division cellulaire, ou mitose, les 2 pronuclei vont fusionner, mélangeant ainsi les chromosomes maternels et paternels pour former le génome embryonnaire.



Embryon à 2 cellules



7. Développement embryonnaire précoce et nidation

7.1. Développement embryonnaire

Les embryons vont se diviser, au rythme d'environ une division toutes les 10 heures. On va donc avoir des embryons à 4, puis 8, 16.....cellules. Au stade 16 cellules l'embryon est appelé morula (petite mure).



Morula (3ème jour)

A 64 cellules, une cavité liquidienne se creuse au sein de l'embryon qui est alors appelé blastocyste. A ce stade, l'embryon est formé de 2 types de cellules: les cellules de la périphérie ou cellules du trophoblaste qui donneront les annexes de l'embryon (placenta) et les cellules de la masse cellulaire interne qui donneront l'embryon lui-même. Jusque là, l'embryon est resté dans la zone pellucide et sa taille n'a pas bougé; c'est la taille des cellules qui a diminué.





Blastocyste (4ème jour)


A partir du stade blastocyste, l'embryon va grossir et sortir de la zone pellucide: c'est l'éclosion du blastocyste (5ème jour après la fécondation).


Eclosion du blastocyste








7.2. Migration de l'embryon

Pendant son développement, l'embryon va se déplacer dans la trompe pour se diriger vers l'utérus. Ce déplacement s'effectue grâce à des cils placés sur la paroi de la trompe qui par leur mouvement vont balayer l'embryon et le pousser vers l'utérus. L'embryon arrive dans l'utérus vers le 4ème jour après la fécondation.



7.3. Nidation

Après son éclosion dans l'utérus, le blastocyste va venir se fixer sur l'endomètre et va pénétrer celui-ci. Il va s'enfouir à l'intérieur de la muqueuse: c'est la nidation. L'embryon va ensuite se connecter aux vaisseaux sanguins de l'utérus (placenta) ce qui lui permettra d'obtenir les substances nutritives nécessaires à son développement. La nidation nécessite que l'endomètre ait eu une bonne phase proliférative et soit en phase sécrétoire.


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Pygargue à queue blanche

Haliaeetus albicilla

Ordre : Accipitriformes Famille : Accipitridés



Synonymes :
Pygargue à queue blanche : aigle pygargue, White-tailed Eagle (Angl) , Seeadler (Alle) , Pigargo (Espa) , Aquila di mare (Ital) , Zeearend (Neerl) , Orlan-belokhvost (Russ) , Havsörn (Sued)

Biométrie :
Taille : 77 à 92 cm Envergure : 200 à 245 cm Poids : Femelle : 4100 à 7000 g ; Mâle : 3100 à 5500 g

Identification :
Aigle très corpulent et de grande taille, il a une silhouette massive caractéeisée par une large envergure et une queue courte en forme de coin. L'ensemble du plumage est brun foncé sauf la tête et la base du cou légèrement plus clairs. Les pattes et le bec sont jaunes.

Longévité (maxi) : 20 ans

Chant :
Habitat : Espèce liée aux milieux aquatiques (côtes maritimes, grandes rivières, lacs, etc.),
soit à l'intérieur des terres, soit le bord de de mer. A l'intérieur, le pygargue à queue blanche se plait au bord des lacs et des fleuves propices à la prédation, dans la toundra et dans la forêt. Sur les côtes, il fréquente les falaises rocheuses escarpées.

Répartition : Gröenland, Nord de l'Europe et de la Sibérie, En dehors de l'ex-URSS, trois pays accueillent une forte population de pygargues à queue blanche : Norvège, Allemagne de l'Est, Pologne.

Comportements : Cinq années sont nécéssaires pour atteindre la maturité sexuelle. Les immatures sont vagabonds tandis que les adultes sont sédentaires. Oiseau particulièrement discret en dehors de la période de reproduction. Il possède quasiment la même technique de chasse que les autres pygargues ou aigles pêcheurs, à la différence qu'il fait preuve d'endurance et est capable de poursuivre sa proie jusqu'à épuisement.

Vol :

Nidification : Son nid, particulièrement volumineux, est construit soit au sommet d'un grand arbre soit à l'abri d'une falaise inaccessible. Chaque couple en a plusieurs qui sont utilisés à plusieurs reprises et pendant une période conséquente. La femelle pond deux oeufs qui éclosent au bout d'une couvaison qui dure de 39 à 42 jours. Les petits prennent leur envol dans un délai de 8 à 9 semaines.

Régime : Il prélève surtout le gibier d'eau : oies, foulques, canards etc. mais il est surtout friand de poissons. Il ne dédaigne pas les cadavres quand les temps sont durs et que la nécessité se fait sentir.

Protection / Menaces : Même si la population européenne semble amorcer une légère amélioration, la population dans l'UE ne dépasse pas les 600 couples. La chasse, les empoisonnements, la pollution des eaux, les prélèvements d'oeufs et de poussins ainsi que la destruction et la disparition des zones humides, sont les principaux dangers qui la menacent. © Communautés européennes



Statut : Espèce protégée en France
(liste rouge) donc pas dans l'annuaire lui

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3eme texte
Thèse n°2 : du tamanoir pointu d'Australie (tamanegrus pinsutus)
Ecartons du sujet les deux premières "thèses" qui encombrent par leur inutilité et leur futilité les véritables problèmes du monde contemporain, dont le plus important est la future extinction du tamanegrus pinsutus, ou plus vulgairement le tamanoir pointu d'Australie pour les ignorants. Le tamanoir pointu d'Australie a été découvert par hasard par le très honorable Sir Thomas Lipton. En effet, celui-ci, lors d'un de ses extraordinaires voyages sur son bateau, dont le commandant est le Capitaine Igloo, a échoué sur un iceberg, qui s'est lui-même échoué sur les côtes d'Australie. Sir Thomas Lipton a immédiatemment été séduit par la beauté du petit animal noir, à piquants, originaire de la région de Taman (Sud de l'Australie), et qui ressemble fortement au fourmilier tatoué nationaliste de Tasmanie, qui lutte pour son indépendance, et pour se défaire de la soumission aux fourmis rouges cannibales du Pacifique. Revenons à ce pauvre tamanoir qui est la malheureuse victime de ce conflit, car les fourmis rouges le confondent avec le fourmilier.
La stratégie d'attaque des fourmis cannibales est de monter sur le dos du tamanoir (elles ne craignent pas les épines car elles possèdent des Adidas Stan Smith ® magiques). Une fois sur son dos, elles profitent de la pleine lune, qui rend le tamanoir plus léger grâce au coefficient de marée, pour le mettre sur son dos et le chatouiller jusqu'à ce qu'il meure de rire. Rappelons au passage, public ignorant, que ceci n'est pas drôle ! Et c'est la manière la plus douloureuse de mourir.
Quelles sont donc les possibilités de sauver ce pauvre tamanoir, indispensable à l'écosystème australien, car il sert de nourrice aux enfants des koalas (cf. thèse de la rougeole pestiférique des koalas jaunes fluo à culotte blanche, de notre confrère Huckleberry Finn).
Le gouvernement australien a voulu réagir en éliminant les fourmis rouges cannibales, mais ce ne fut pas possible, car celles-ci donnent à manger aux bébés kangourous, le soir au fond des bois. L'extinction du tamanoir semblait inévitable, mais une lueur d'espoir a surgit : un savant aztèque, qui est secrétaire d'Etat aux "affaires tamanesques" du gouvernement australien, a décidé d'interdire le passage de la lune au-dessus du territoire australien, par une pirouette acrobatique mathématique qui fait fi des lois de la physique quantique. L'Etat australien est en négociations avec la F.I.C.L. (Fédération Internationale du Cycle Lunaire) qui est défavorable à ce projet.
Chers amis, j'éspère de tout coeur que vous réagirez pour sauver le tamanoir, qui est l'animal emblématique de notre planète.
Envoyez vos dons à :

"Tous ensemble sauvons le Tamanoir Pointu",
5ème arbre de la forêt des Carpathes australiennes
en partant de la gauche entre la maison du Grand Schtroumpf
et celle du petit indien arabe Miko.
CCP : 5302 1347 0000 2378

27 Juil 2004, 02:41

bonne nuit :mrgreen:

27 Juil 2004, 06:29

#-o




















je me disais bien que t avais besoin de concret pour ta puberté et les questions que tu te poses mais de la à en faire profiter tout le monde :mrgreen:

27 Juil 2004, 07:10

:shock: :shock: :shock: :shock: :shock: :shock:
:lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :lol:

27 Juil 2004, 07:12

euh.....
j'ai oublié de dire bonjour du coup
(Major Tonio, malpoli)

































bonjour les p'tits clous!!!!

27 Juil 2004, 08:19

La théorie de l'agence constitue aujourd'hui le cadre d'analyse dominant des formes d'organisations économiques, et plus particulièrement de la firme. Cette théorie récente a été développée au milieu des années 70, suite aux travaux de Ross (1973) puis de Jensen et Meckling (1976).
La théorie de l'agence se propose d’étudier les coopérations dans un environnement caractérise par des effets externes et une asymétrie d'information. Il y a coopération quand un agent a recours au service d'un autre pour réaliser une opération particulière. La coordination interindividuelle est alors assurée au moyen de contrats entre les deux parties.
L'agent est celui qui décide et qui agit ; ses actions affectent non seulement son utilité mais aussi celle du co-contractant qui est appelé le principal. L'accroissement de l'utilité de l'agent se fait au détriment de celle du principal.

L’agent –qui est un être rationnel- peut être tenté d’agir de manière opportune pour atteindre un niveau de gains supérieur. Il agit alors à l’encontre des intérêts de l’autre partie, provoquant un dysfonctionnement de la relation d’agence ; c’est le risque moral. Le problème consiste à savoir comment on peut supprimer un tel risque ou au moins le diminuer.
Il y a un risque moral dès lors qu'un agent n'est pas incité à réaliser ses promesses du fait que son comportement est inobservable, donc incontrôlable, par l'autre partie. Des systèmes de supervision peuvent être mis en place pour améliorer l'observation de l'action mais cette supervision est généralement coûteuse. Le risque moral introduit une perte d'efficacité. La perte est d'autant plus forte que les intérêts des deux parties divergent. Face à des divergences, deux possibilités sont laissées à la disposition des propriétaires, à savoir mettre en place une politique de contrôle, ou une politique d’incitations.

Toute solution consistant pour le principal à développer des actions de contrôle sur l'agent entraîne des coûts ; ces coûts ne sont pas limités aux seuls coûts de la mise en place des contrôles, il convient d’inclure les coûts de remplacement de l'agent (en cas de licenciement), les coûts externes (audit), et les effets et coûts indirects caches ; l’agent, qui n’accepte pas d’être surveillé, réduit ses efforts par manque de confiance. Par ailleurs, si l'agent appartient à un groupe, l'ensemble du groupe peut se sentir contrôlé à cause de cette procédure. L’observation montre qu'un système limité de contrôle est efficace dans la mesure où la sanction qui pèse sur un comportement déviant peut s'exprimer par une perte de réputation : les sanctions sur le marché des dirigeants sont souvent lourdes en la matière.
Néanmoins, en définitive, les deux parties ont tout intérêt à convenir d’un système de contrôle de la relation afin de maximiser leur utilité personnelle.

A contrario, si le principal peut sanctionner mais il peut aussi inciter. Dans un système d'incitation, on retrouve alors la réputation, la reconnaissance par un groupe, les gains qu'il est possible de retirer des efforts fournis dans des relations d'agence antérieures. Les incitations ne sont pas nécessairement de nature financière, on peut donc en envisager de la part du principal, des modalités en terme de répartition des bénéfices de la coopération : intéressement dans les entreprises, distributions d'actions ...
On peut aussi rémunérer les travailleurs au-delà de leurs aptitudes (ne pouvant trouver un autre employeur les rémunérant autant, ils auront peur de perdre leur emploi). Une autre traduction de la politique d’incitations peut prendre la forme de rémunérations diverses des salariés (sur rémunération liée à la performance de l’entreprise, formations, promotions, possibilité de devenir partenaire et non plus seulement un sous-traitant).



"Gouvernance et performance des entreprises", Juin 2004, page 4 : la théorie de l'agence ® Figoal


L'économie c'est bien mangez en 8)

27 Juil 2004, 08:28

Figoal, ta pas dit bonjour :mrgreen: :mrgreen:

bon ba bonjour tout le monde

27 Juil 2004, 09:03

bonjour tout le monde :mrgreen:

27 Juil 2004, 09:09

lu

27 Juil 2004, 09:13

hello














de lu

27 Juil 2004, 10:09

Jvous emmerde et je dis pas bonjour ! :twisted:




























Ca fait rebelle ?

27 Juil 2004, 10:16

t es plutot laide que belle toi :|




:mrgreen: :arrow:

27 Juil 2004, 10:23

T'as vu ta gueule ? 8)

27 Juil 2004, 10:30

saluti a tutti

27 Juil 2004, 10:41

salut tt le monde !!!!!! Bonne journée

PS : voila le topic idéal pour faire + 1 :mrgreen:

27 Juil 2004, 10:41

saluti a tutti

ouah les langues etrangeres et sonny c'est :shock: #-o

27 Juil 2004, 10:48

salut !!!!

27 Juil 2004, 10:53

je dévoilerai aussi mon projet en exclu a certaines personne sur msn

Une nouvelle STF ou un nouveau site sur le mercato ?

27 Juil 2004, 10:59

LeTrepied, comment va toulon :?:

27 Juil 2004, 11:16

the big boss, c'est pas de l'etranger, c'est du Sonny :mrgreen:



bon alors il veut de la langue etrangere

God Dag flicka
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