Cannabis : Manif le 1 mai

Simplement les troubles de la mémoire je suis pas d'accord, alors j'ai bien le droit de citer une etude.
Quand tu viens de fumer que tu sois moins attentif que tu oublie certaines choses ok.. mais je n'ai jamais lu une seul etude récente montrant q'une consommation (modéré) entraine des trouble de mémoire (et puisque tu cites ton experience personnel, les personnes que je connais qui fument régulierement (mais modérements) depuis plus de 20 ans, et bien j'observe aucun trouble de la mémoire chez eux...)

C'est là où l'on voit bien que tu connais pas le sujet, tu ne fumes pas et je t'assure que tu t'en rendrais vite compte pour la mémoire. Demande à tes potes... Evidemment ce n'est pas visible de l'extérieur, il va pas oublier le nom de ses parents mais demande leur tu verras..

J'ai juste cherché deux minutes sur le net :

Les effets aigus de la consommation de cannabis sont un état de conscience altéré qui se caractérise par une euphorie et un état de relaxation légers, des modifications perceptuelles, notamment une distorsion temporelle, et l’intensification des expériences sensorielles ordinaires, par exemple celles associées au fait de manger, de regarder un film et d’écouter de la musique[32]. Il y a également des effets cognitifs prononcés, notamment une atteinte de la mémoire à court terme et un relâchement des associations, ce qui permet au consommateur de s’adonner à des rêveries et à des fantasmes agréables. La motricité et le temps de réaction sont également modifiés, ce qui perturbe souvent diverses formes d’activités exigeant de la dextérité

Nous avons vu que le THC est un produit actif, la toxicité va découler des propriétés pharmacologiques

A faibles doses, on ne peut pas parler de toxicité. Les effets sont bien connus : l’euphorie, l’exacerbation des perceptions sensorielles, le bien être et l’altération de la perception temporelle, effets que les consommateurs recherchent. Mais aussi les céphalées, bien que les consommateurs n’en parlent pas trop.

A doses moyennes, pour les fumeurs chroniques, on note des troubles de la mémoire. L’euphorie est un peu exagérée, l’altération de la tension est encore plus importante, mais surtout on retrouve des troubles de l’humeur et il a été décrit des troubles de la dépersonnalisation qui régressent à l’arrêt du produit en quelques heures ou parfois quelques jours, mais qui persistent chez des personnes qui sont connues comme ayant une pathologie psychiatrique, ou chez lesquelles le cannabis a révélé cette pathologie.

Fan_de_Coach Vahid, c'est vrai.

J'ai des potes qui ont fumé tres longtemps, leur mémoire est une passoire.

Moi même j'ai été un fumeur régulier ( mais sans jamais en abuser , cad pas plusieurs par jours... ), et j'ai parfois eu l'impression d'être un peu une passoire...mais c'est peut être qu'une impression...

C'est là où l'on voit bien que tu connais pas le sujet, tu ne fumes pas et je t'assure que tu t'en rendrais vite compte pour la mémoire. Demande à tes potes... Evidemment ce n'est pas visible de l'extérieur, il va pas oublier le nom de ses parents mais demande leur tu verras..

J'ai juste cherché deux minutes sur le net :

Les effets aigus de la consommation de cannabis sont un état de conscience altéré qui se caractérise par une euphorie et un état de relaxation légers, des modifications perceptuelles, notamment une distorsion temporelle, et l’intensification des expériences sensorielles ordinaires, par exemple celles associées au fait de manger, de regarder un film et d’écouter de la musique[32]. Il y a également des effets cognitifs prononcés, notamment une atteinte de la mémoire à court terme et un relâchement des associations, ce qui permet au consommateur de s’adonner à des rêveries et à des fantasmes agréables. La motricité et le temps de réaction sont également modifiés, ce qui perturbe souvent diverses formes d’activités exigeant de la dextérité

Bon deja que je fumes ou non t'en sais strictement rien donc arrete 5 minutes un coup c'est neb tu dis ca parce que t'es fumeur, un coup c'est neb tu dis ca parce que tu fumes pas mdr..
Et comme tu le met en gras "à court terme" aka pendant la conso et l'heure qui suit.. C'est pas un peu ce que je disais ?
Allez relis 2 secondes

Quand tu viens de fumer que tu sois moins attentif que tu oublie certaines choses ok.. mais je n'ai jamais lu une seul etude récente montrant q'une consommation (modéré) entraine des trouble de mémoire (et puisque tu cites ton experience personnel, les personnes que je connais qui fument régulierement (mais modérements) depuis plus de 20 ans, et bien j'observe aucun trouble de la mémoire chez eux

En fait c'est toi qui n'est pas clair, quand je t'avais dit un truc sous-entendant que tu fumais, tu avais pris la mouche en disant que je n'en savais rien et que c'était pas forcément le cas. Alors dis nous OUi ou NOn parce que là c'est pas clair

Ensuite Quand tu fumes régulièrement (et Dieu sait que j'ai fumé régulièrement) ta mémoire fond, c'est un fait, en-dehors des moments de "jeun"!


"A doses moyennes, pour les fumeurs chroniques, on note des troubles de la mémoire"

En fait c'est toi qui n'est pas clair, quand je t'avais dit un truc sous-entendant que tu fumais, tu avais pris la mouche en disant que je n'en savais rien et que c'était pas forcément le cas. Alors dis nous OUi ou NOn parce que là c'est pas clair

Ensuite Quand tu fumes régulièrement (et Dieu sait que j'ai fumé régulièrement) ta mémoire fond, c'est un fait, en-dehors des moments de "jeun"!


"A doses moyennes, pour les fumeurs chroniques, on note des troubles de la mémoire"

Tout simplement car le fait que je sois fumeur ou non n'a aucune importance...
Sinon je maintiens ce que j'ai dis précedement montre moi une seul etude prouvant que 'ta mémoire fond"...

Moi je t'en ai cité une qui tendé a montrer l'inverse, maintenant j'attends..

Au moment même où une étude de l'Inserm nous apprend que la France est le pays où la consommation de cannabis est la plus importante chez les jeunes, une autre enquête, canadienne celle-là, risque de produire un effet au moins aussi sensationnel. Un usage contrôlé et modéré du cannabis aurait pour vertu d'améliorer les capacités cognitives de l'être humain. Ce pavé dans la mare du politiquement correct a été lancé par des chercheurs en biologie de l'université de Carleton à Ottawa.

Le Canadian Medical Association Journal, que l'on ne peut pas suspecter d'être un fanzine à la gloire du pétard, n'a pas hésité à publier l'étude menée par les médecins. Ces derniers se sont penchés sur un groupe d'un millier d'individus âgés entre 18 et 35 ans, qu'ils ont réparti selon quatre catégories : les gros consommateurs (plus de quatre grammes par semaine), ceux qui consomment de façon modérée (moins de quatre grammes par semaine), ceux qui ont arrêté depuis au moins trois mois, et ceux qui n'ont jamais touché un joint. Les volontaires ont ensuite passé plusieurs tests de QI sur une période d'un an.

Pas d'effets négatifs à long terme sur le cerveau

Si l'étude a permis de constater une baisse significative des résultats obtenus par les gros consommateurs, soit en moyenne 4,1 points sur douze mois, elle a surtout montré que les consommateurs modérés amélioraient leur score au test de QI de 5,8 points sur la même période ! Ceux qui ont arrêté de fumer et ceux qui n'ont jamais commencé ont vu leurs résultats augmenter respectivement de 3,5 points et de 2,6 points. L'étude de l'université de Carleton tendrait à prouver qu'une utilisation raisonnable du haschich ou de l'herbe ne nuit pas à l'organisme. Cela ne veut pas dire que fumer des joints rend intelligent ! En revanche, une absorption légère de THC, le principe actif du cannabis, ne détruirait pas les neurones comme certains le laissent entendre. Dans leur langage de médecin, les chercheurs canadiens ont conclu que "la marijuana n'exerce pas d'effets négatifs à long terme sur le cerveau et certaines de ses facultés comme la mémoire ou la concentration."

Parce qu'il demeure un produit interdit, le cannabis suscite souvent des débats passionnels entre "pro" et "anti". La confrontation des arguments des uns et des autres rend souvent toute discussion stérile. Les travaux menés à Ottawa ont comme principal intérêt de démontrer que si l'on parle du cannabis sur un plan strictement scientifique et médical, on obtient des résultats différents de ce que la morale, la politique et plus largement la vie en société tendraient à nous faire croire.