[Topic Unique] Conflit en Ukraine (Putin the dumb ass)

Lo Provençau, ces personnes sont payés pour faire de la propagande ?

Je pense pas plus que celles (les mêmes en général) qui annonçait une hécatombe après les campagnes de vaccination.

Lo Provençau, d'où l’intérêt de ne pas relayer ce genre de propos..

N'y vois aucune censure de ma part, mais franchement relayer les propos de jean michel lambda sur twitter je trouve çà complétement inintéressant...

C'est vrai qu'on peut balayer ça d'un revers de la main en préférant s'imaginer que ça n'existe pas sauf que derrière il y a des relais d'influences appointés certains directement par le Kremlin, que ces gens sont des électeurs avec le même pouvoir que chacun ici, et que ces idées sont assez largement représentées par plusieurs partis politiques. JLM, Le Pen et Zemmour ont dépassé les 50% au premier tour de la présidentielle. Tous leurs électeurs, pour JLM en tout cas j'ose le croire, ne pensent pas comme ces gens mais ça donne une petite tendance.

J'imagine que certains devaient trouver insignifiants les comploto délirants autour de Qanon jusqu'au moment où ils ont failli prendre le Capitole.

Là, Lo Provençau a mis un lien d'un gars qui a compilé les délires, donc ça ne me dérange pas.

Ce qui est génant c'est de poster des liens directement vers les messages des abrutis eux même, parceque ça leur fait du click et de la visibilité.

Sinon pour revenir à l'Ukraine, c'est assez incroyable la contre attaque dans l'Est qu'ils ont initié depuis quelques jours.

Depuis le 6 septembre, donc en 5 jours, ils ont pénétré de 70km de profondeur, dans les lignes Russes, ont repris 3000 km2 de territoire, c'est plus de territoire dans cette zone que les russes ont capturé depuis avril

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Le sixième et dernier réacteur en activité à la centrale nucléaire de Zaporijia, dans le sud de l’Ukraine, a été mis à l’arrêt, annonce dimanche l’opérateur ukrainien Energoatom. Située dans la ville d’Enerhodar, la centrale nucléaire, la plus grande d’Europe, est tombée sous le contrôle de la Russie début mars, mais son fonctionnement reste assuré par des techniciens ukrainiens. Les abords de la centrale font l’objet depuis plusieurs semaines de bombardements récurrents dont Russes et Ukrainiens se rejettent la responsabilité. Le directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, qui a mené une inspection à la centrale la semaine dernière, a réaffirmé vendredi que la situation était «intenable» sur le site.

AGEFI

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La guerre menace entre le Kirghizistan et le Tadjikistan

Les deux pays se disputent des territoires le long de leur frontière de 970 km.

L'attention internationale se porte logiquement sur le conflit entre la Russie, puissance nucléaire, et l'Ukraine, qui lui tient tête. Voire sur celui, moins intense, entre l'Azerbaïdjan, soutenu par la Turquie, et l'Arménie, alliée théorique de Moscou.

Deux guerres à quatre heures d'avion de l'Europe occidentale et impliquant des acteurs de premier plan des hydrocarbures. Mais les braises d'un autre affrontement entre ex-républiques soviétiques rougeoient en Asie centrale.

L'appel à l'unité du président kirghiz

Les combats entre le Kirghizistan et le Tadjikistan ont fait une centaine de morts depuis huit jours et le président du kirghiz, Sadyr Japarov, a appelé lundi sa population à l'unité en affirmant que son armée était capable de « repousser toute invasion ». Le chef d'Etat a aussi mis en garde sur les risques de provocations, illustrant la crainte d'instabilité dans ce pays d'Asie centrale qui a connu depuis 2005 trois révolutions, dont la dernière, en 2020, l'avait porté au pouvoir. Ses partisans l'avaient sorti de prison où il purgeait une peine pour prise d'otages.

Si les affrontements à l'arme lourde des huit derniers jours sont d'une intensité sans précédent, les relations sont houleuses entre les deux pays depuis l'éclatement de l'URSS en raison d'un différend portant sur la moitié environ des 970 kilomètres de frontière commune, sur fond de rivalité pour l'accès aux ressources en eau.

S'il a déclaré que le potentiel militaire de son pays était d'un « tout autre niveau » que jadis - « la preuve : ceux qui ont envahi nos terres ont reçu leur punition » -, Sadyr Japarov a assuré qu'il ferait tout son possible pour régler les différends avec le Tadjikistan de manière pacifique.

Il a invité à ne pas écouter ceux qui, sur les réseaux sociaux, jettent de l'huile sur le feu. Aucun incident à la frontière n'a été constaté depuis le cessez-le-feu signé vendredi.

Le gouvernement kirghiz affirme que 59 de ses ressortissants ont été tués dans la région de Batken, située au sud-ouest du pays et frontalière du Tadjikistan. Ce dernier affirme, pour sa part, que 35 Tadjiks, pour la plupart des civils, ont été tués lors des combats. Ce bilan dépasse désormais largement celui de précédents affrontements frontaliers d'ampleur, en avril 2021, qui avaient causé la mort d'une cinquantaine de personnes. Ils avaient alors fait craindre un conflit à plus grande échelle.

Moscou s'implique en tant que tuteur historique

Lors d'entretiens téléphoniques, le président russe Vladimir Poutine a appelé, dimanche, Sadyr Japarov et son homologue tadjik, Emomali Rakhmon, à éviter de nouveaux affrontements. Moscou joue historiquement le rôle de tuteur de ces deux pays, mais est actuellement affaibli par ses revers en Ukraine.

Le Kirghizistan et le Tadjikistan sont tous deux dénués d'accès à la mer, peu peuplés (6 millions d'habitants pour le premier et 9 millions pour le second), les pays les plus pauvres de l'ex-URSS et sans grandes ressources, hormis l'hydroélectricité car ils sont tous les deux très montagneux. Le Tadjikistan exporte un peu de coton et d'aluminium, tandis que l'économie du Kirghizistan s'appuie surtout sur le bétail et une grande mine d'or.

Faute d'alliés inconditionnels pour les deux parties, le risque de contagion régionale d'une éventuelle guerre semble relativement limité. Si le régime kirghiz a longtemps eu la réputation d'être le seul semi-démocratique d'Asie centrale, il devient depuis quelques années aussi autoritaire que celui du Tadjikistan.

Escalade à prévoir si la Russie rattache les régions de Louhansk et Donetsk suite aux référendums bidons qu'ils veulent organiser en fin de semaine (Kherson devrait suivre en octobre).
L'idée étant bien sûr de considérer toute incursion ukrainiennes sur ces territoires comme une attaque sur le territoire russe et de légitimer le recours à des armes non conventionnelles.

Pire encore (enfin, "pire", ça dépend de quel point de vue), les Ukrainiens qui regagnent du terrain ces dernières semaines semblent se préparer à une offensive sur la... Crimée.

Autant dire que là on passerait à un stade de non-retour, les Occidentaux auront beau expliquer à Poutine que les armes qu'ils ont livrées ne sont pas utilisées dans cette offensive je crains que la réponse ne soit comment dire... explosive, à la sauce "nucléaire tactique".

Les renseignements américains ont l'air d'avoir des infos pas du tout rassurantes à ce sujet, en lien aussi avec Zaporijjia...

Les pays de l'OTAN ne reconnaissent pas la Crimée comme Russe (et quasiment aucun autre pays à part la Corée du Nord, le Venezuela, la Syrie, la Biélorussie...).
Ça n'a sans doute pas grande valeur auprès de Poutine mais ça ne légitimera en rien un usage éventuel de nucléaire tactique de sa part.

Le problème face à des mecs comme Poutine c'est d'avoir peur justement, il joue là dessus. Alors il ne faut pas être va-t-en-guerre, mais depuis le début du conflit, on voit bien que lui aussi marche sur des œufs, à l'intérieur comme à l'internationale

Peezee, ils arrivent pas à reprendre Kherson.
Ils sont encore très loin de la Crimée à mon avis.

gob, ils avancent vers Kherson, et commencent à bien couper les lignes d'appros des Russes en Crimée. On verra bien.

Ce prochain mois va être décisif sur le plan militaire parce qu’après les lignes risquent de se figer pendant l'hiver.

Si les lignes d’approvisionnement russes sont coupées, l’hiver va être terrible pour les soldats russes.

Hier, une séries de mesures avaient été votées par la Duma et qui semblait annoncer une mobilisation generale avec des durcissement de peines de prisons pour les refus de mobilisation, les désertion, le fait de se rendre à l'ennemie, etc

Et ça n'a traîné, Putin vient d'annoncer la mobilisation immédiate de 300 000 réservistes.

Entre ça et les référendums, la situation vient de sévèrement monter encore d'un cran.
Mais il joue aussi un jeu sacrément dangereux auprès de sa population avec l'appel aux réservistes.

Il est niqué quoiqu'il fasse, et ça c'est dangereux. Si il. Recule, il va se faire dégager sous peu par les durs du régime. Si il continue il enfonce son pays encore plus et les gens vont commencer à sentir passer la douloureuse.

Si les russes ne le soutiennent plus et que les hauts gradés de son armée le lâchent, Poutine sent que s' il ne gagne pas il est fini mais il ne peut pas reculer.
Reste à espérer que quelqu' un l' empêchera de mettre ses menaces atomiques à exécution , sans cela, beaucoup de pays auraient bougé autrement

C'est assez pathétique de vouloir annexer morceau par morceau pour ensuite brandir qu'il faut protéger notre territoire.

dxd92, tout est cynique et pathétique depuis le début.