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JPP REVIENS a écrit:Elle le veut bien, surtout.
Sauf rebond, la pandémie pourrait stagner totalement dans un mois.
fourcroy a écrit:JPP REVIENS a écrit:Elle le veut bien, surtout.
Pour ce que j'en sais, ce n'est pas elle qui décide.
JPP REVIENS a écrit:Ce ne sont pas mes "anciens" amis, c'est mon employeur actuel.
Le problème vient moins de l'industrie pharmaceutique (qui gagne davantage sa vie avec des traitements ciblés, à l'hôpital, qu'en vendant des montagnes de boîtes de vieux médicaments) que des pharmaciens et de leur rémunération.
Si on veut des traitements délivrés en officine à la bonne posologie (3 comprimés au lieu de 6 par exemple), il faut un reconditionnement par le pharmacien et celui-ci voudra, évidemment, une rémunération additionnelle pour cet acte.
Donc à l'arrivée, tu penses faire une économie sur le nombre de boîtes de 2 euros vendues par le méchant de la pharma, et tu te retrouves avec toujours la boîte de 2 euros vendue (mais moins en volumes) + une rémunération additionnelle, créée spécialement pour le pharmacien.
= Sécu encore perdante.
gob a écrit: Syndrome français de la noyade dans un verre d’eau.
Là où des automates ( qui existent déjà dans les pharmacies) régleraient le problème.
3. Les "consommateurs" du médicament. Lorsqu'Apple sort un Iphone à 1200 euros, ça ne choque personne (car si la santé doit être gratuite, l'achat "plaisir" d'un produit hors de prix non innovant fabriqué en Asie du Sud est gêne moins). Pourtant, l'Iphone a une cible commerciale extrêmement importante, se montant en centaines de millions de consommateurs potentiels. Pour le médicament, le Business Model est très différent puisque, par définition, seuls les malades vont l'utiliser.
gob a écrit:Oui bien entendu.
Mais des solutions existent et permettraient de régler ce problème, si on en avait vraiment la volonté.
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