Faits divers

Ciao Paulo. La vraie finale en 82, celle dont on a été frustrés par les nazis, c'était quand même Italie - France. Qui sait si Platini n'aurait pas flanqué un coup de boule à Rossi en prolongations ?

fourcroy, tous les allemands ne sont pas nazis

squall, certes non ! Mais Schumacher, si.

Les Strasbourgeois sont Allemands en tout cas.

squall, certes non ! Mais Schumacher, si.

J'avoue, Harald Schumacher dit vite avec l'accent, on s'imagine vite au meeting du NSDAP à faire une quenelle inversée.

L'antinazisme primaire qui règne sur ce forum est assez insupportable.

Gasti, c'est d'ailleurs fou que ces putains d'écolo-bobos soient aussi rancuniers. Tout ça parce que les nazis ont construit quelques autoroutes.

Les Strasbourgeois sont Allemands en tout cas.

J'espère que tu plaisantes ?
Les alsaciens sont sûrement les plus attachés à la France. Ayant subi 2 annexions en 70 ans, ils ont beaucoup plus d'attachement à la patrie. De plus, le dialecte alsacien s'est maintenu spécialement pour faire chier l'occupant qui exigeait l'allemand pur autant à l'école que dans la rue.

Modifié en dernier par hares le 11 Déc 2020, 13:44, modifié 1 fois.

Les Strasbourgeois sont Allemands en tout cas.

Idem pour les Messins

Bien sûr.

Les Strasbourgeois sont Allemands en tout cas.

J'espère que tu plaisantes ?
Les alsaciens sont sûrement les plus attachés à la France. Ayant subi 2 annexions en 70 ans, ils ont beaucoup plus d'attachement à la patrie. De plus, le dialecte alsacien s'est maintenu spécialement pour faire chier l'occupant qui exigeait l'allemand pur autant à l'école que dans la rue.

N'importe quoi

Tous les germanophones (en Allemagne, en Autriche, en Suisse, en Belgique, en France...) parlent une variante dialectale plus ou moins prononcée et éloignée du hochdeutsch. L'Alsace n'a pas un particularisme linguistique particulier, c'est dailleurs grosso modo le même dialecte germanique parlé de l'autre côté de la frontière.

Si l'Alsace a autant de particularité dans son statut c'est aussi parce qu'ils ont exigé des garanties avant de revenir en France en 1918. Un référendum éventuel n'était pas du tout gagné d'avance par la France qui n'a de toute façon pas voulu prendre ce risque et a accepté les exigences Alsaciennes et mosellanes.

En effet, d'ailleurs en Alsace-Moselle, il n'y a pas de séparation de l'Eglise et de l'Etat.

Il raconte nimporte quoi, c'est fascinant

http://www.shpn.fr/page149/page149.html

Spoiler: montrer

De novembre 1918 à juin 1919, l'Alsace-Lorraine est une terre occupée par l'armée qui épure la région. Les Américains et les Anglais voulaient un référendum d'autodétermination pour les Alsaciens-Lorrains comme pour la Silésie rattachée à la Pologne, ou à Eupen-Malmédy rattachés à la Belgique, après libre choix de ses populations. Ce droit élémentaire au choix a toujours été refusé par les Français, inquiets du résultat.

Un des premiers malentendus est né dans les régions germanophones, les Français croyant dans leur grande majorité que l'usage de la langue allemande était une importation allemande postérieure à 1871. En fait, les parlers allemands en Alsace-Moselle remontent à plus de quinze siècles.[...] Il n'y a eu importation linguistique allemande que dans les zones francophones des régions messine et vosgienne. Dès le retour de la région à la France, les habitants sont sommés de renoncer à leur langue qui est celle de l’ennemi allemand; ils se doivent d’abandonner sans conditions leur identité et leur culture au nom des valeurs du "pays de la liberté", au nom de l’universalisme français.

Je trouve vos sources un peu trop mainstream perso.
Si vous écoutez le geographologue Heinrich Vandersgueg sur sa chaîne Youtube, il explique TOUTE la vérité sur ce qu'ILS nous cachent......

IceCold, on voit que tu as fait tes propres recherches toi

J'aime juste beaucoup Berlin,je suis devenu expert en Alexanter-Platz.

En effet, d'ailleurs en Alsace-Moselle, il n'y a pas de séparation de l'Eglise et de l'Etat.

En effet, c'est le concordat.

[info]Coup de tonnerre à Marseille, la maire Michèle Rubirola démissionne !

L’annonce est détonnante mais Michèle Rubirola en assume pleinement la décision. Cet après-midi à 16h20, la maire de Marseille a annoncé six mois après son élection sa démission lors d'une conférence de presse.
Un choix qu’elle justifie par une année 2020 particulièrement violente qu’elle a affronté avec difficultés.
Dans la majorité municipale, la décision a été acceptée. Notamment le choix de Michèle Rubirola de voir son premier adjoint Benoit Payan lui succéder. Dans l’opposition aucune surprise, mais de l’indignation.
Désormais, la suite se jouera dans l’hémicycle lundi lors du dernier conseil municipal de l’année.[/info] La Provence

Perso j'ai entendu des raisons medicales, je suis pas certain de la fiabilite

encore un signe que le club va être vendu...

Nous sachons...