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Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:21

Rocca a écrit:Le climat est vraiment sympa en ce moment.


Tu m'étonnes. Perso j'en peux plus, étant tout proche de Paris en plus. :wink:

Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:23

superolive, je parlais pas de la pluie, je parlais du climat social gros bêta.

Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:32

Rocca, :mrgreen:

Sinon confirmé par BFM ce soir il y a eu des dépôts de plainte pour antisémitisme ce soir suite à la manif. #-o

Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:36

Parmi les jeunes de banlieue l’antisemitisme est plutôt bien accepté. J’ai des potes (pas extrémistes de la religion pourtant) qui tiennent des propos très moyens. Pas au point dagresser, mais c’est pas acceptable.

Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:49

Rocca a écrit:Parmi les jeunes de banlieue, l’antisemitisme est plutôt bien accepté. J’ai des potes (pas extrémistes de la religion, pourtant) qui tiennent des propos très moyens. Pas au point d'agresser, c’est pas acceptable.

Il faut faire preuve de compréhension. S'ils ne se sentent pas encore d'agresser, laisse-leur le temps, ça viendra. :wink:

Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:52

fourcroy, je l’espère pas mais, mais quand tu vois comment certains se sont décomplexés... Après, certains que je ne vois plus ont vraiment vrillé. Eux, seraient capables de tout.. édit: tu faisais allusion à ma tournure de phrase qui prête à confusion peut-être

Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:56

Rocca, ce n'était pas vraiment ambigu. J'en ai honteusement défiguré le sens en supprimant un mot.

Re: Faits divers

13 Juin 2020, 20:58

fourcroy, ah je n’avais pas fait attention :lol:

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 07:40

superolive a écrit:Betsamee, pour le coup je pense que tu t'emballes un peu, même si je comprends ton dégout bien entendu.

C'est pas une question d'étouffer l'antisémitisme en France, j'ai pas l'impression que dans le mouvement du jour , qui mélange tout certes soit ciblé contre les juifs. J'y vois plus l'expression de quelques dégénérés qui ont décroché les cours d'histoire en CM1.

Serieusement c'est insupportable a quel point des connards se demerdent toujours pour placer le juif en coupable de tout leurs maux, et ca loupe JAMAIS quelle que soit la cause.

Et malheureusement ces "quelques degeneres" (je pense malheureusement qu'il n'y a pas que des degeneres et qu'ils sont plus que "quelques" tant l'extreme gauch est verolee par l'antisemitisme) sont toujours au rendez vous

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 07:45

Betsamee, le constat que tu fais est malheureusement vrai. Ce qui me fait rire jaune par contre, c'est que ça soit un groupuscule raciste dans le viseur de la justice comme Génération identitaire qui dénonce ça.

Sinon, pour recontextualiser ce mouvement de contestation, un article de fond intéressant pour prendre la mesure des racines d'un problème qui dure depuis des années et auquel on n'est pas confronté quand on est Blanc et qu'on ne vit pas dans certains quartiers :

Information
"Tout le monde le sait, le voit et le subit" : des policiers racontent le racisme dans leurs rangs

Chez les forces de l'ordre, la prise de parole est rare. Mais, alors que les manifestations contre les violences policières et le racisme se multiplient, certains ont accepté de témoigner de leur expérience pendant leur carrière au sein de l'institution.
En 2019, vingt-deux enquêtes engagées contre des policiers pour des propos racistes ont été transmises à la justice, selon le ministre de l\'Intérieur.


Les propos racistes, c'est tout le temps. Tous les jours." Stéphane*, la quarantaine, est policier municipal depuis vingt ans, dans une ville moyenne du Sud-Ouest. Avant d'exercer ce métier, il a été médiateur de rue, pendant trois ans et demi. Il est devenu policier "pour aider les gens". "Rapidement, je me suis rendu compte que c'était un milieu raciste." Alors il tente, à son "petit niveau", de "changer les mentalités de l'intérieur". "Pendant le confinement, on effectuait des contrôles d'attestation de déplacement dans les véhicules. Souvent, et naturellement, mes collègues excusaient les personnes blanches, les jeunes femmes, qui n'avaient pas leur attestation. Mais les personnes 'de couleur' étaient verbalisées", relate Stéphane. "Profondément gêné", il signale le problème à sa hiérarchie. "J'ai débriefé avec mes collègues. Ils n'arrivent même pas à l'expliquer, pour eux, c'est naturel."

La police est-elle raciste ? La question surgit en France, au moment où de nombreux rassemblements sont organisés contre le racisme et les violences policières, dans le sillage de l'immense mobilisation aux Etats-Unis après la mort de l'Afro-Américain George Floyd. En 2019, vingt-deux enquêtes engagées contre des policiers pour des propos racistes ont été transmises à la justice, selon le ministre de l'Intérieur. Sur 150 000 policiers, "22 personnes c'est, finalement, très peu, mais ce sont 22 personnes qui tachent l'uniforme de la République", estime Christophe Castaner, qui parle de "brebis galeuses".

C'est aussi la position de certains policiers et syndicats, qui ont manifesté leur mécontentement, vendredi 12 juin, dans plusieurs villes de France. Ils sont appuyés par le directeur général de l'institution : interrogé dans Le Parisien sur des insultes racistes proférées par des policiers, Frédéric Veaux parle de "dérapages". Le sujet électrise les débats. Peu de policiers acceptent d'en parler, pour éviter de généraliser certains comportements et de pointer du doigt toute une profession. Néanmoins, ceux qui ont accepté de témoigner pour franceinfo, sous couvert d'anonymat, décrivent un racisme ancré et diffus. Stéphane déplore "une majorité silencieuse" qui ne réagit pas, et il n'hésite pas à se dire en "croisade" contre certains de ses collègues. "Je lutte en m'opposant et en débattant avec eux."
Un héritage de la colonisation

Les remarques racistes, Robert* affirme les avoir entendues dès le début de sa carrière, dans les années 1990. Agé de 48 ans, ce policier est en détachement dans d'autres administrations depuis 2000, après avoir exercé en uniforme. "Je me souviens d'un collègue pendant des contrôles de véhicules. Il était proche de la retraite, moi tout jeune. Il voit passer deux Maghrébins. Il me dit, devant tout le monde : 'arrête-moi les deux fellagas, les deux fellouzes.' Ça m'a marqué", se remémore Robert.

Il y a aussi ce collègue d'origine vietnamienne qui vient de postuler. "Mon chef, avec lequel il devait passer un entretien, avait écrit sur son calendrier : 'Rendez-vous à 14 heures avec le Viet'. Ce n'est pas anodin", dénonce le fonctionnaire, qui cite encore l'exemple d'"un collègue qui gueule 'Algérie française' dans un restaurant du sud de la France". "Il y a l'histoire de la décolonisation française derrière, l'héritage des parents", considère Robert. Des mots qui font écho à cette phrase raciste, "Un bicot comme ça, ça nage pas", prononcée par un policier fin avril, à L'Ile-Saint-Denis, pour désigner l'homme qu'il tentait d'interpeller.

"Toutes ces expressions sont utilisées pour disqualifier 'l'autre'. Ce sont des héritages de la langue coloniale pour signifier aux indigènes qu'ils n'étaient pas des Français", analyse Olivier Le Cour Grandmaison, politologue spécialiste de l'histoire coloniale**.

"Police et armée ont joué un rôle essentiel dans les guerres coloniales. Ces institutions en sont fortement marquées, ce qui permet de comprendre les mécanismes de transmission. Ce sont des corps d'Etat qui ont très bonne mémoire", ajoute l'universitaire. Selon lui, contrôler systématiquement une partie de la population participe du même phénomène.

Des contrôles au faciès mis en évidence par plusieurs études ces dix dernières années et qui suscitent toujours des débats. "La base des violences de la police en fonction de l'origine ethnique et du bas statut social des personnes touchées est le fait le plus constant depuis cinquante ans", constate pourtant Sebastian Roché, directeur de recherche au CNRS et auteur de De la police en démocratie (Grasset). Récemment, le Défenseur des droits a dénoncé une "discrimination systémique" visant de jeunes habitants du 12e arrondissement de Paris noirs et arabes, ou perçus comme tels, entre 2013 et 2015. Dans son rapport, daté du 12 mai, Jacques Toubon constate un "harcèlement discriminatoire" de la part de policiers, prenant la forme de contrôles abusifs et répétés, d'insultes et de violences.
"Ils traitent certaines personnes de 'rats'"

Samir*, policier en région parisienne, constate ce racisme ambiant quotidien depuis dix ans. "J'ai vu des usages illégitimes de la force dans certaines cellules de gardés à vue. Quand je reprenais mon service en fin de nuit, des personnes africaines ou arabes avaient de multiples fractures, des ecchymoses, alors qu'elles étaient en bonne santé la veille au soir", décrit-il. "En patrouille, d'anciens collègues, qui sont toujours dans le même commissariat que moi, se sont réjouis de la tuerie de Christchurch en Nouvelle-Zélande, trouvant légitime la motivation du terroriste. Lors de contrôles, ils traitent certaines personnes de 'sales races', de 'bâtards', de 'rats'. Ils le font quand ils sont en surnombre ou que la personne est isolée et ne peut se défendre", poursuit le jeune homme de 30 ans.

D'origine maghrébine, il raconte avoir été lui-même la cible de propos racistes : "Certains collègues ont dit que je n'avais rien à faire dans la police en tant qu'Arabe de banlieue. Mais jamais en face, car ils n'assument pas." Des remarques parfois accompagnées d'islamophobie.

Robert, lui, se souvient de remarques antisémites. "Un jour, je pars en mission avec un collègue. A peine passé le périph', il me dit : 'Tu vas pas nous mettre 'Nostaljuif'. C'était assez glaçant. Vous savez que vous allez travailler avec lui, qu'il faudra mener la mission à bien. Alors une discussion s'engage. Mais elle est stérile. C'est juste un marquage de territoire, histoire de dire : 'ne dis pas ça, pas avec moi'", rapporte-t-il.
Des autocollants d'extrême droite sur les casiers

Dans l'ancienne équipe de Samir, le mur du bureau était "placardé de photos de politiques d'extrême droite". Souvenir similaire pour Stéphane. "Quand je suis arrivé dans mon premier commissariat, j'ai vu des autocollants du GUD, cette organisation activiste étudiante d'extrême droite qui sévissait dans les années 70-80, collés sur les casiers. J'ai été choqué que cela soit aussi ostensiblement affiché." Le policier interpelle alors la gradée présente, qui, "très gênée", esquive le sujet avec un "Oh ça ? C'est rien !"

Stéphane affirme aussi avoir connu "des agents qui partaient en vacances voir le 'Nid d'aigle'", le chalet d'Hitler en Bavière. Et depuis la mort de George Floyd, il raconte avoir vu certains collègues se partager des images "de Blancs américains armés défendant leur magasin".

"Chacun a droit à la liberté d'opinion", rappelle Olivier Cahn, professeur de droit pénal à l'université de Tours et chercheur au Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (Cesdip). "Néanmoins, quand bien même le policier est raciste, sa pratique ne devrait pas l'être. Mais les mécanismes pour l'empêcher ne fonctionnent pas", observe-t-il. "Aujourd'hui, il y a une réhabilitation de la colonisation française assumée par des figures politiques et médiatiques", estime Olivier La Cour Grandmaison. Certains policiers, comme une frange de la population, sont attirés par ce discours, car "ils retrouvent une place honorifique, qui, pensent-ils, leur a été enlevée".

"La police est faite d'individus multiples", souligne Noam Anouar, policier et secrétaire général du syndicat Vigi, minoritaire et proche de la CGT. "Mais il s'y dessine une tendance idéologique d'extrême droite de façon incontestable ces dernières années, chez la masse des gardiens de la paix, mais également dans la haute hiérarchie." Pour lui, l'institution "se doit, plus que les autres, d'être neutre et exemplaire, ce qui n'est vraisemblablement pas le cas au regard de la nature des contrôles exercés". "Dans le ciblage et dans la façon qu'on a de regarder nos concitoyens, parfois, on peut effectivement avoir une vision discriminante de ce qui pourrait être le profil type d'un délinquant."
"Des groupes qui se tiennent les coudes"

A écouter nos interlocuteurs, la pression du groupe semble déterminante. Aujourd'hui, elle s'exerce aussi via les réseaux sociaux et les messageries instantanées, comme l'illustrent deux affaires récentes. La première révèle l'existence, dans des groupes Facebook privés, de dizaines de messages racistes attribués à des membres des forces de l'ordre. La seconde a démarré en décembre 2019, avec la plainte d'un policier noir déposée contre six de ses collègues, après la découverte de propos racistes, notamment à son égard, dans un groupe WhatsApp. Dans les deux cas, la justice est saisie et des enquêtes sont en cours. Toute la difficulté est de réussir à s'extraire de ces groupes ou de refuser d'y entrer.

Robert applique une "stratégie de l'évitement, avec des choix de carrière différents". "Mais c'est plus simple et plus confortable de rejoindre un groupe, conçoit-il. Rester fidèle à ses principes, c'est compliqué ! Cela implique de se couper de gens, de se justifier." Face au groupe, l'électron libre ne fait pas le poids. "Un de mes collègues a été évincé au bout de six mois parce qu'il ne tolérait pas les pratiques de la BAC. Contrôles d'identité musclés, propos racistes, coups portés sur les Noirs et les Arabes… Il a voulu en parler à sa hiérarchie, il a été écarté d'office, regrette Bernard*, policier depuis quinze ans en région parisienne. Et cet écart s'accompagne souvent de harcèlement."
"On ne se dénonce pas entre flics"

Comment briser la loi du silence ? "Parler, c'est mal vu, on est traité de balance, voire menacé, ou exclu, dénonce Bernard. Cette omerta organisée étouffe les problèmes." Robert non plus n'a jamais rien dit à sa hiérarchie. "Aller voir un chef ? C'est parole contre parole", lâche-t-il. Et quand certains s'y risquent, c'est au péril de leur carrière. Samir en a fait l'amère expérience. Après avoir alerté ses supérieurs, il a été sanctionné administrativement. "C'est marqué dans mon dossier. On ne se dénonce pas entre flics. La hiérarchie ne veut pas de bruit."

Un silence qu'il faut préserver coûte que coûte, quitte à s'enfermer dans un "déni", celui notamment de l'existence des contrôles au faciès dénoncés par Noam Anouar, du syndicat Vigi. "Si, toute la journée, vous interpellez des personnes avec une couleur de peau différente de la vôtre, que vous êtes jeune, peu formé, vous êtes exposé au développement de sentiments racistes, alors que la délinquance n'a rien à voir avec l'origine ethnique mais avec l'origine populaire, souligne Olivier Cahn. Mais personne ne vous rappelle que cela n'a pas de lien : la hiérarchie n'est pas là pour l'expliquer."

"Je suis en colère face au déni de nos dirigeants, s'insurge Bernard. C'est honteux de dire que le racisme n'existe pas dans la police, alors que tout le monde le sait, le voit et le subit. Les citoyens comme les policiers." L'argument "de défense" qui consiste à "dire qu'il y a des policiers d'origine maghrébine ou africaine dans la police" n'est, selon lui, "pas non plus acceptable". "Il faut rétablir le dialogue avec les populations et que le gouvernement applique ce qu'il dit en sanctionnant les fonctionnaires racistes", résume Samir. Lui, comme les autres, ne compte pas baisser les bras. "Tout arrêter, c'est donner raison à ces gens-là", juge l'officier, qui concède y avoir pensé. "J'ai décidé de rester pour continuer à être sur leur chemin, et je ne laisserai rien passer."

* Les prénoms ont été modifiés.

** Auteur de "Ennemis mortels". Représentations de l'islam et politiques musulmanes en France à l'époque coloniale, Paris, La Découverte, 2019.
Modifié en dernier par Gastibelza le 14 Juin 2020, 08:20, modifié 1 fois.

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 08:16

Génération Identitaire est un mouvement luttant contre l'islamisation de la société française et européenne. Ils sont ouvertement racistes anti-Arabes.

Ponctuellement, une partie de l'extrême-droite identitaire raciste française peut se retrouver avec l'extrême-droite identitaire raciste juive, puisqu'ils partagent un ennemi principal, le bougnoule, le goût de la violence et le culte de la force. Mais il s'agit d'alliances de circonstance car l'extrême-droite identitaire française a un vieux fond antisémite, qui ne demande qu'à ressurgir. On a vu ainsi pendant quelques années le GUD et la LDJ pactiser, mais il s'agissait plus d'un pacte de non-agression que d'une alliance. Et elle a fait long feu.

Crier "sale juifs" en réaction à une banderole d'un groupe de fachos identitaires, c'est ainsi un délicat mélange d'ignorance, d'antisémitisme et de bêtise.

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 11:22

Tu veux demander aux antisémites d’être intelligents?
C’est comme si tu demandais à JHE de s’y connaître en foot ..

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 14:27

fourcroy a écrit:
Crier "sale juifs" en réaction à une banderole d'un groupe de fachos identitaires, c'est ainsi un délicat mélange d'ignorance, d'antisémitisme et de bêtise.


Voilà c'est çà. Et encore t'es gentil je trouve. :wink:

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 16:47

peezee a écrit:

C'est donc une manif' "anti-raciste"... Ok. #-o

(ouais je sais source assez craignos mais vidéo bien réelle)


Sacrément burné les mecs ou très atteint psychologiquement pour déployer cette banderole :lol:

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 17:27

fourcroy a écrit:Crier "sale juifs" en réaction à une banderole d'un groupe de fachos identitaires, c'est ainsi un délicat mélange d'ignorance, d'antisémitisme et de bêtise.

tout à fait, mais le pire encore et c'est aussi ce qui m'a fait réagir, c'est que les gars crient ça au beau milieu d'une manifestation *ANTI-RACISTE* ! :pong:

Mon impression reste qu'au moindre accès de colère ou de rage beaucoup ont le sale "réflexe" inné de vomir sur les Juifs, même quand ils n'ont strictement rien à voir avec l'évènement - ou mieux encore, quand manifestement ils ne peuvent être qu'à l'exact opposé des faits ayant déclenché ladite colère.

C'est vraiment consternant, pathétique... j'aurais aussi apprécié que d'aucuns autour leur ait demandé de fermer leurs gueules, mais rien vu de ça (sans faire de procès généralisant non plus, peu sont ceux qui "osent" ou veulent bien prendre la peine de réagir dans ce genre de contexte, hélas).

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 19:24

Ouais ben moi je vais pas tarder à aller rejoindre Bets
J’ai pas envie de mettre la vie de mes enfants en danger
Ça fait bien trop longtemps que ça dure et même ça s’amplifie
Et bien évidemment rien n’est fait du côté des pouvoirs publics si ce n’est encore et toujours des belles paroles de « condamnation »....

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 19:26

ruby, arrête ton char, tu veux aller là-bas pour les gonzesses.

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 20:06

Comment faire quand on entend des gens lambda, sans aucun pb particuliers, qui ne sont pas de ou n'ont jamais vécu en banlieue, qui ont des diplômes, un job stable, des enfants, un crédit immo, se mettent à dire "Soros, encore une fois", ou "6M, tu te rends vraiment compte de ce que ça fait, ose me dire que c'est possible" ? Comment réussir à leur faire au moins douter des merdes qu'ils se mettent dans la tête ou que certaines de leurs fréquentations racontent en boucle ?

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 21:08

C’est quoi le rapport ? Je comprends pas le sens de ton message ?

Re: Faits divers

14 Juin 2020, 21:17

C’est vrai que j’ai du relire son message pour le comprendre. Je pense qu’il pose une vraie question: que répondre à des gens normalement éduqués qui sont fachos, complotistes, ou révisionniste (ou les trois).
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