MassaliaLive.com

[Pearl]

Merci de ne pas inventer n’importe quel titre de sujet. Puisque je l’ai retrouvé, c’était « complément d’enquête :Tiberi, Balkany, les indestructibles « .
Sachant que Guérini est toujours sénateur à ce jour alors que les deux autres n’ont (n’avaient déjà à l’époque) aucun avenir politique, tu m’excuseras de penser qu’il aurait eu toute sa place et que le choix de prendre deux personnalités de droite n’est pas du tout neutre pour l’inconscient collectif.

La ligne éditoriale du service public est tout sauf impartiale, c’est une évidence, le minimum c’est de le reconnaître.

Mais ta dernière phrase est assez claire, les pourris sont tous dans un camp et les gentils dans l’autre. On avait compris.

Au passage je ne vois pas le rapport entre être business friendly et au choix, tous « bords » confondus:
- la fraude fiscale
- payer sa femme sur fonds publics, qu’elle s’appelle Pénélope a ne rien faire ou Sofia a facturer 500€ une tache qui prend 30s
- blanchir l’argent de la mafia locale
- payer son assistant parlementaire pour faire autre chose que ce pour quoi on le paie
- et j’en oublie sûrement

[boodream]

Gastibelza, Historiquement, certains te diraient que le libéralisme est aussi une valeur de gauche, comme le protectionisme peut être une valeur de droite. Les clivages sont compliqués depuis toujours. Ils ont explosé.

C'est pourquoi j'ai beaucoup de mal avec les grille de lectures purement politiciennes/partisanes en mode supporters. Les notion même de gauche et droite sont compliquées. Par exemple, les No Borders se disent d'extrême gauche alors que la notion même d'abolition des pays est d'un libéralisme extrême.

Est-ce que Seguin était plus libéral que Delors, par exemple?

Et quand on parle de libéral, on parle d'économie ou de mœurs ou des deux?

Parce que bon, si on écoute les approches partisanes, le service public audiovisuel c'est des "bobos gauchistes" et c'est marrant, c'est aussi selon d'autres, "des éditocrates libéraux". Faudrait savoir, du coup?

[Gastibelza]

Merci de ne pas inventer n’importe quel titre de sujet. Puisque je l’ai retrouvé, c’était « complément d’enquête :Tiberi, Balkany, les indestructibles « .
Sachant que Guérini est toujours sénateur à ce jour alors que les deux autres n’ont (n’avaient déjà à l’époque) aucun avenir politique, tu m’excuseras de penser qu’il aurait eu toute sa place et que le choix de prendre deux personnalités de droite n’est pas du tout neutre pour l’inconscient collectif.

La ligne éditoriale du service public est tout sauf impartiale, c’est une évidence, le minimum c’est de le reconnaître.

Mais ta dernière phrase est assez claire, les pourris sont tous dans un camp et les gentils dans l’autre. On avait compris.

Au passage je ne vois pas le rapport entre être business friendly et au choix, tous « bords » confondus:
- la fraude fiscale
- payer sa femme sur fonds publics, qu’elle s’appelle Pénélope a ne rien faire ou Sofia a facturer 500€ une tache qui prend 30s
- blanchir l’argent de la mafia locale
- payer son assistant parlementaire pour faire autre chose que ce pour quoi on le paie
- et j’en oublie sûrement

Le titre, je l'ai inventé puisque c'est un exemple. Mais celui que tu donnes confirme ce que je dis : si c'est une émission sur Tibéri et Balkany, rien de plus normal que ça évoque eux et pas les autres. Des reportages et émissions sur Guérini ou Cahuzac, il y en a eu sur la télé et la radio publics et ça portait bien sur eux seuls.

Reprocher qu'il n'y ait pas de hors-sujet, ça s'appelle un procès d'intention et dans ce cas, n'importe qui peut être accusé de partialité parce qu'il n'a pas évoqué les Verts, les centristes de gauche, les démocrates-chrétiens, la gauche Chevènementiste, la droite souverainiste, les monarchistes, etc.

Pour ce qui est de l'audiovisuel public, le connais-tu vraiment ? Parce qu'il y a autant de médias que de politique éditoriale. Et ce sont les pouvoirs publics qui nomment les membres du CSA qui, à leur tour, nomment les présidents de chaînes/ stations de radio. Ce même CSA qui a la charge de veiller à l'équilibre des points de vue. Sachant que le pouvoir a été plus souvent de droite en France ces dernières années, que Sarko a même fait voter une loi pour que le président du CSA soit nommé par lui, faut-il vraiment croire qu'on s'est efforcé d'en faire un vecteur des idées altermondialistes ? Le traitement des gilets jaunes par Radio France est déjà une réponse en soi. Même France Inter, réputée comme gauchiste, s'est parfois faite le porte-parole du gouvernement en ne vérifiant pas ses sources.

Enfin, tu ne vois pas le rapport entre les affaires judiciaires et le business ? D'où viennent les fonds que les pourris cachent au fisc ? Dans les Hauts-de-Seine, on sait depuis que Schuller a balancé que les Balkany et tout le RPR s'est goinfré auprès des entrepreneurs immobiliers car les terrains là-bas, c'est de l'or. Et il faut rappeler que Pénélope a aussi été épinglée pour emploi fictif auprès d'un entrepreneur richissime ami de Fillon ?
Quant à Sarko, combien de ses affaires sont en lien avec le business ? Les sondages de l'Elysée, Karachi, Bettencourt, les contrats avec Khadafi, le financement mystérieux de sa campagne par Bygmalion.

Mais mon propos n'est pas de dire que la droite est plus pourrie. C'est juste qu'elle est au pouvoir depuis plus longtemps et que ses affinités avec les milieux d'affaire ne sont pas nettes. Cela n'empêche pas la gauche non libérale d'avoir son lot de pourris aussi mais pas pour les mêmes raisons.

[ruby]

Ce qui est relativement intéressant c’est la vision de certaines personnes sur la prison, du moins concernant les conditions d’incarcération et de divers régimes de faveur dont peuvent bénéficier certains pensionnaires.
Il n’est pas négligeable, loin de là, de considérer et de prendre aussi conscience de l’impact psychologique sur la privation de liberté, la vie en cellule quasi solitaire et l’absence de ses proches

[Gastibelza]

boodream, sur l'intrusion de l'économique dans le champ politique, le clivage libéral/ anti-liberal me semble pertinent.

[superolive]

Ce qui est relativement intéressant c’est la vision de certaines personnes sur la prison, du moins concernant les conditions d’incarcération et de divers régimes de faveur dont peuvent bénéficier certains pensionnaires.
Il n’est pas négligeable, loin de là, de considérer et de prendre aussi conscience de l’impact psychologique sur la privation de liberté, la vie en cellule quasi solitaire et l’absence de ses proches

+1

Même si il est en prison VIP, le sieur Balkany aura sans doute tout le temps de méditer..

[fourcroy]

Ce qui est relativement intéressant c’est la vision de certaines personnes sur la prison, du moins concernant les conditions d’incarcération et de divers régimes de faveur dont peuvent bénéficier certains pensionnaires.
Il n’est pas négligeable, loin de là, de considérer et de prendre aussi conscience de l’impact psychologique sur la privation de liberté, la vie en cellule quasi solitaire et l’absence de ses proches.

Dit comme ça, j'ai l'impression que ça peut être plutôt cool...

[jarlandine]

Il a une cellule individuelle de 9m2 avec douche, sanitaires, plaques pour cuisiner, téléphone et télé, dans le quartier réservé aux incarcérés disons spéciaux ( anciens militaires, policiers ou autres ) qui peuvent se promener ensemble et se fréquenter dans cet étage sans jamais être en contact avec les autres .
Toutefois, pour lui, le plus dur reste , je pense , s' il ne pourra plus être maire ni faire de politique.

[boodream]

fourcroy,

[ruby]

Ce qui est relativement intéressant c’est la vision de certaines personnes sur la prison, du moins concernant les conditions d’incarcération et de divers régimes de faveur dont peuvent bénéficier certains pensionnaires.
Il n’est pas négligeable, loin de là, de considérer et de prendre aussi conscience de l’impact psychologique sur la privation de liberté, la vie en cellule quasi solitaire et l’absence de ses proches.

Dit comme ça, j'ai l'impression que ça peut être plutôt cool...

Dans ton cas tu as l’option maison de retraite

[Pearl]

Cela dit on peut légitimement se demander qui est mieux traité entre des prisonniers et des personnes âgées dans certaines maisons de retraite...

[Pearl]

https://www.liberation.fr/checknews/2019/09/16/est-il-vrai-que-les-cotisations-a-la-ratp-ne-couvrent-que-41-des-retraites_1751081

Puisque Libé pose la question et donne des chiffres intéressants mais sans toutefois répondre à la question en fin d'article, si on retire l'effet démographique à la RATP (70 M€ sur 1200M€ de coût total), les cotisations financent 479M€ sur 1130M€, soit 42.3% au lieu des 41% initiaux de la question. On ne peut pas dire que ça change quoi que ce soit à la situation. Mais alors, qui paye ces 651M€ par an qui manquent (ainsi que les 70M€ dus à l'effet démographique mais passons là dessus)?

Pour mettre les choses en perspective, puisque la RATP ne concerne que l'Ile de France, le budget total de la région IDF c'est 5 milliards, et son budget transport c'est 1.53 milliards.
https://www.iledefrance.fr/budget-2019-cest-vote

Hors effet démographique, le simple régime spécial de la RATP correspond donc à 13% du budget total concernant 12 millions de personnes, ou, plus pertinent, 42.5% du budget transport, et la quasi intégralité de la part investissement de celui-ci. Je ne dis pas que tout est payé par la région, encore que c'est la région qui paye principalement IDF Mobilités et donc la RATP (si c'est payé par l'Etat, des contribuables marseillais payent aussi, merci à eux en tous cas il y a bien quelqu'un qui paye), mais c'est pour que l'on se rende un peu compte de ce que l'on pourrait faire avec l'argent et du caractère absolument pas négligeable des montants. Avec un régime général, on pourrait doubler le budget d'investissement en transports, tous les ans.

[Pearl]

Tribune publiée dans Le Monde (à noter que pour une fois, les commentaires sont tous d'accord avec le contenu de l'article, ce qui devient de plus en plus rare sur leur site).

Piscine et « burqini » : « Va-t-on nous dire qu’il est raciste de défendre la liberté de conscience ? »


Quatorze personnalités, dont la sociologue Nathalie Heinich et le philosophe Pierre-André Taguieff, s’indignent des arguments invoqués par les militantes qui réclament le droit de porter un « burqini » à la piscine.

Publié aujourd’hui à 05h00, mis à jour à 10h37 Temps de Lecture 4 min.



Tribune. Après Grenoble, Paris : même mode d’action, même rhétorique. « On se baignera, on se baignera ! Même si les racistes veulent pas, nous on se baignera ! », scandent les militantes. Il est temps de mettre un terme à la complaisance dont bénéficient les coups de force et la propagande pro-burqini (plutôt que « burkini », qui évoque l’innocent bikini au lieu de l’indigne burqa) : anecdotique en apparence, cet entrisme islamiste est dangereux. Prétendant imposer la fausse équivalence « musulmane = femme voilée », le burqini est l’outil d’un islam politique qui veut faire du Coran la source normative suprême.

L’interdiction du burqini serait raciste ? Il y aurait donc une ethnie pour laquelle le burqini – et le hijab, dont il se veut l’extension balnéaire – serait une caractéristique génétique ? L’invocation du racisme vise à ethniciser la religion en la présentant comme un caractère hérité plutôt qu’un choix, une question d’essence plutôt que de croyance ou de convictions personnelles. Cette logique communautariste d’enfermement dans un collectif ouvre la voie à la criminalisation de l’apostasie, toujours en vigueur dans bon nombre de pays musulmans. Faut-il rappeler que dans notre pays la liberté de changer de religion ou de ne pas en avoir est un droit fondamental, garanti à tous ? Va-t-on nous dire qu’il est raciste de défendre la liberté de conscience ?

Il faudrait « lutter contre les règlements ségrégationnistes qui interdisent l’accès des piscines aux femmes musulmanes », déclare une « décolonialiste ». Mensonge : les musulmanes sont les bienvenues dans les piscines, pourvu qu’elles se plient aux règles communes. Il leur serait impossible d’ôter ce vêtement ? Les musulmanes menacées, frappées ou emprisonnées pour avoir enlevé leur voile apprécieront. Faudrait-il croire qu’il n’y aurait de musulmane que voilée, de religion que dans son exhibition ? Et que nos concitoyennes de religion musulmane ne seraient que des enfants gâtées incapables de supporter qu’il n’y ait pas de règlements adaptés tout exprès pour elles ? Les islamistes et leurs alliés « intersectionnels » ont décidément des femmes musulmanes une vision bien méprisante.
Féminisme de façade

Un représentant de l’Observatoire de la laïcité tente de ménager la chèvre et le chou en déclarant qu’il faut des « arguments objectifs » pour interdire le port du burqini, et se réfugie derrière la question de l’hygiène pour ne pas affronter les implications politiques du problème. Voici donc un argument, auquel on s’étonne qu’il n’ait pas pensé : étendard d’un islam politique pour lequel la lecture littérale du Coran doit être source de droit, le burqini valide donc implicitement le verset 34 de la sourate 4 : « Les hommes ont autorité sur les femmes. Celles dont vous craignez la désobéissance, frappez-les » (traduction du site Islam.fr). A l’heure du Grenelle des violences conjugales, peut-on tolérer la promotion militante d’une idéologie banalisant le fait qu’un mari frappe sa femme ? Pire que banalisant, sanctifiant : pour ceux qui s’y référent, cette acceptation de la violence conjugale serait la volonté divine. Mais en France, aujourd’hui, aucun texte religieux ne peut imposer une norme de comportement dans l’espace public : notre vie collective doit être déterminée exclusivement par les normes du vivre-ensemble, la visée du bien commun et le respect des lois (dans leur lettre mais aussi leur esprit).
Lire aussi Petite histoire du « burkini », des origines aux polémiques

Abritées derrière un féminisme de façade qui brandit l’étendard de la liberté des femmes, les militantes du burqini retournent le combat antisexiste en outil de promotion d’une idéologie sexiste qui ne cesse de grignoter l’égalité des droits, et invoquent la pudeur pour encourager à l’ostentation, de même qu’elles utilisent la rhétorique de la lutte contre le racisme pour nier la liberté de conscience, et appellent à la tolérance pour soutenir une version littérale impérialiste de leur religion : dispositif pervers typique, fait pour sidérer, désarmer, manipuler.
Nous refusons tout apartheid

Ne nous y trompons pas : si nous cédons, la prochaine étape sera d’imposer des horaires de baignade différents, rongeant peu à peu la mixité de l’espace public, corollaire de l’égalité des droits entre les sexes. Et à ceux qui argueraient que limiter la mixité bénéficierait à la sécurité des femmes – c’est l’argument de l’élargissement des trottoirs pour éviter les contacts –, nous répondons que nous refusons tout apartheid, quel qu’en soit le prétexte. Nous refusons l’idée selon laquelle les femmes devraient se plier à des règles sexistes pour être en sécurité. Nous refusons de laisser prétendre que le regard des hommes serait forcément salace. Nous refusons cette réduction du rapport entre hommes et femmes à leur seule dimension sexuelle, et ce rejet méprisant de la part d’érotisme qui peut s’y glisser et que tout individu civilisé sait canaliser dans le respect d’autrui. Doublement sexistes, hijab et burqini infantilisent les hommes en faisant porter aux femmes la responsabilité des réactions masculines au désir qu’elles peuvent susciter.
Lire aussi Laïcité : « Le sport, lieu d’apprentissage d’une règle unique »

La France va-t-elle autoriser des activistes à promouvoir une doctrine dont les références autorisent explicitement la violence des hommes envers les femmes ? Si oui, le Grenelle contre les violences conjugales n’aura été qu’une fumisterie. Il est temps que nos élus prennent clairement leurs responsabilités et légifèrent. Face au burqini et à ce qu’il représente, la tolérance est une complaisance et, pire, une complicité.

Laurent Bouvet, politiste ; Belinda Cannone, universitaire et écrivain ; Zineb El Rhazoui, journaliste ; Claude Habib, universitaire et écrivain ; Nathalie Heinich, sociologue ; Hala Oukili, cyberactiviste féministe, vice-présidente de Nous sommes leurs voix ; Philippe d’Iribarne, sociologue ; Aurélien Marq, haut fonctionnaire ; Patrick Pelloux, médecin urgentiste ; Céline Pina, essayiste ; Jean-Pierre Sakoun, président du Comité laïcité république ; Pierre-André Taguieff, philosophe et historien des idées ; Caroline Valentin, essayiste ; André Versaille, éditeur et auteur.

[jarlandine]

Ce tapage médiatique autour du procès de Mélanchon and co

[boodream]

L'immense Justin Trudeau, commandant en chef des Forces du Bien internationales, et champion intergalactique de la gauche MEDEF qui vomit les pauvres mais est vachement super cool:

[Pearl]

Comme pour Griezmann il y a quelques mois, j'avoue que j'ai un peu de mal à comprendre tout le tapage que ça peut provoquer de se maquiller en noir dans le cadre d'un déguisement, le but étant juste d'être le plus ressemblant possible non? (bon, dans le cas d'Aladdin, on devait pouvoir faire sans contrairement à Griezmann qui de mémoire faisait un Harlem Globetrotter).

Si j'ai bien compris c'est parce qu'historiquement (il y a peut-être 100-150 ans) certains le faisaient aux USA pour se moquer des noirs, et du coup par analogie il n'est plus possible de le faire maintenant c'est ça?

Parce que pour Griezmann comme pour Trudeau, ça m'étonnerait qu'ils l'aient fait en pensant à mal. Mais visiblement Trudeau préfère s'excuser directement sans essayer de s'expliquer, probablement pour dégonfler la polémique plus vite.

[boodream]

Pearl, Ce qui me fait rire c'est qu'il se pète la gueule en se prenant son propre tapis.

[peezee]

Mais il s'excuse de QUOI exactement ?

Ça devient de plus en plus n'importe quoi, le gars s'est déguisé lors d'une fête il y a 18 ans (une paille) et du coup ajd il doit se flageller jusqu'à ce que mort s'ensuive ?

J'étais déjà pas spécialement fan du virage pris par notre société "moderne" qui est en fait en train de régresser *gravement* sur certaines choses, mais là je crois que ça va pas tarder à devenir de la haine à l'encontre de mes con-citoyens.

Put*** la chance que j'ai eu de pas vivre ma jeunesse dans cette société sclérosée de mayrde qui se laisse dicter son comportement et sa pensée par les califes du politiquement correct eut autres "associations anti-racistes" de mes deux...

[Pearl]

peezee, tu as dit tout haut ce que je pensais tout bas.

Je pense que ce qui fait rire boodream c'est que Trudeau fait peut-être justement partie de cette mouvance bien-pensante aka France Inter/Le Monde (en particulier les "Décodeurs") chez nous. Et que partant de là il ne peut qu'acter avoir fait qqchose de "mal" car c'est ce qu'il aurait dit de qqn d'autre (pas forcément convaincu qu'il l'aurait dit cependant).

Au delà de ça il est peut-être plus connu chez eux que chez nous, et depuis plus longtemps, que culturellement c'est quelque chose "qui ne se fait pas".

Enfin, tout cela est bien grotesque, quelle fausse polémique. Une personnalité noire, n'importe laquelle, s'honorerait de le dire publiquement et d'affirmer qu'elle ne se sent pas "offensée" par cette photo.

[dlb1664]

Je ne comprends pas, se déguiser en noir c'est mal ?