Fennec a écrit:Kenshi, je pense aussi.
Puis les canadairs ils doivent prendre l'eau quelque part. La Seine c'est pas possible.
Il y a des plans d’eau potentiellement utilisables en banlieue entre les bassins d’installations portuaires, les lacs. Mais les canadairs sont de toute façon stationnés à 600 km de Paris sans autonomie et vitesse pour rappliquer avant 4 ou 5 heures, ces appareils étant inopérants au crépuscule.
De plus, la précision du largage est très grossière, d’autant que les pilotes devraient surtout se concentrer sur le pilotage en pareil milieu urbain (c’est juste fou d’imaginer des appareils improviser du rase motte en plein Paris...).
Et au-delà du poids de l’eau qui aurait peut-être précipité l’effondrement de la toiture, l’eau est aussi un ennemi pour ces édifices. Noyer les parties épargnées par l’incendie aurait pu en ajouter une couche à la catastrophe patrimoniale. A la limite des hélico bombardiers d’eau auraient pu avoir une utilité mais c’est pas évident.