Faits divers

Commencer par supprimer l' anonymat sur les réseaux sociaux, on y lira peut être moins de conneries

Pour l' école, de nos jours, je ne sais pas trop, mais pour mon fils, je me souviens de son prof d' histoire carrément orienté à gauche dans ses cours, pour le petit fils, il va surtout chercher ses réponses sur internet quand quelque chose l' interpelle
De mon très ancien temps, jusqu' au BEPC école privée avec des religieuses et le passage au lycée public pour la seconde a été la découverte d' un autre monde dans l' enseignement
Pour le reste, les camps, la résistance, la shoah , on en entendait parler par les parents , grands parents et tutti quanti de longue , on apprenait le respect et le petit doigt sur la couture du pantalon , ne nous serait jamais venu à l' esprit d' aller casser chez quelqu' un . ( sauf que la rebelle que j' étais ne résistait pas à l' envie d' aller manger fraises ou framboises dans les jardins et qu' après un gentil sermon je repartais avec un saladier de ses gourmandises , ah, le bon temps des voisins sympas ).

J'ai rien compris. C'est le genre de texte qu'il faut relire 30 fois pour tenter de comprendre. Je zappe (on faisait pareil en formation). Terrible.

À part le contexte qui te manque peut être (j'ai édité la réponse), le texte me semble clair. En gros, en économie, dans les facs, on est en situation de quasi monopole de la pensée libérale. Et là c'est chiffré, et non un ressenti.

C'est peut-être cette absence de pluralisme qui explique le manque globale d'esprit critique sur la question économique.

Sinon, de mon expérience perso et donc non représentative, j'ai eu une seul prof de gauche dont son enseignement était un peu orienté à gauche donc, une prof d'histoire. Pour le reste plutôt neutre, sauf en économie.

Par contre à la fac, c'était très orienté à droite.

Modifié en dernier par iamaseb le 13 Fév 2019, 11:41, modifié 2 fois.

Tout dépend des profs que tu as. Tout dépend de quelle économie tu parles (macro économie, autre ?). C'est tellement vaste.
Et dans les profs, y a de tout. De tout bord. De toute sensibilité. Non, ce qui change par contre la donne, c'est le BO. Ce qui est demandé d'enseigner. Le contenu et les attendus. Normalement c'est apolitique en secondaire. Après en université, là je ne pourrais te dire.

Augmenter les salaires des profs en expliquant que ça va les aider dans l’amélioration de l’éducation des enfants me semble surprenant, quand À MON SENS leur idéologie nous a entraîné justement dans la situation actuelle.

Avant de vouloir discuter du statut d’un prof, il faudrait déjà savoir ce que l’on veut prôner comme valeurs, justement.

Le but est de trouver quel omliver de cache derrière ce troll (une pièce sur dedezane)

Je dis que c'est un membre du staff!

Après, il faudrait demander de l'aide à Odd car il est efficace dans ce domaine: il avait démasqué Delio assez rapidement.

L’idéologie véhiculée dans les écoles est clairement gauchiste pourtant, je trouve. Tout le paradoxe est là.

Sur le plan de l'économie, pas vraiment.

Votre livre dénonce l'absence de pluralisme, mais pointe aussi le problème lié à l'enseignement de l'économie. Chercherait-on en France à endoctriner les jeunes étudiants?

A.O. Parmi les 209 professeurs d'économie recrutés à la faculté entre 2000 et 2011, seuls 22 (10,5%) sont hétérodoxes, c'est-à-dire marxistes, keynésiens et institutionnalistes. Et cette tendance va en s'amplifiant: sur les six dernières années, la proportion des "hérétiques" tombe à 5%! Des économistes de renom, comme Michel Aglietta et Robert Boyer, figures de la théorie de la régulation, ne pourraient pas devenir professeurs aujourd'hui. Les critères de sélection choisis par le courant dominant étouffent toute forme d'alternative académique: il est exigé de publier dans des revues qui n'acceptent que des articles conformes au mainstream. La science économique devient autiste et autoréférentielle. La preuve, quand les "exclus" ont demandé au ministère de l'Enseignement supérieur d'ouvrir une section universitaire pour accueillir des approches économiques davantage tournées vers les sciences sociales, certains orthodoxes ont hurlé à l'amateurisme, au gauchisme, au relativisme, et ils ont eu gain de cause.


https://www.google.com/amp/s/lexpansion ... 4.amp.html

A la fac, j'ai eu un néo classique libre échangiste, une monétariste et un chantre de la théorie des cycles. Les autres présentaient plutôt de manière agnostique les courants, même si Keynes et les néo keynésiens étaient très développés (Marx était enseigné mais rapidos).

L'opinion que je me suis forgé est que l'économie n'est pas une science dure, qu'aucun modèle proposé n'est complet et surtout que les comportements individuels, de groupes (plus ou moins grands, plus ou moins trans-nation) font que l'application d'un modèle dans un espace donné sera parasité / contrarié par les modèles appliqués à côté, avec lesquels il y a des interactions, voir même en son sein, à moins d'être dans une secte.

A part quelques règles techniques genre relations entre inflation/taux d'intérêt/masse monétaire/investissements/force d'une monnaie (taux de chane), et encore il y a redire, je ne suis pas convaincu par l'efficacité des sciences économiques dans le monde complexe actuelle.
On est, quelque soit le camp, principalement dans du dogmatisme ou dans la conviction, plus que dans la démarche scientifique.

Ils font les beaux sur les plateaux, pendant et après les crises. Mais c'est intéressant de regarder ce qu'ils disent pendant (on les voit souvent dans C dans l'air par exemple). Un an après, il faut re-regarder, on voit une constante. C'est plus faux que vrai

L'économie de la régulation, l'économie des institutions est encore capable de répondre à des questions précises de manière assez claire.

Par contre, il est maintenant très compliqué de par les interdépendances des facteurs de trouver une théorie économique générale solide comme du roc. C'est trop demander à quelque chose qui reste fondamentalement une étude comportementale.

Et enfin, la microéconomie néo classique repose sur du vent.

320cds, je partage. Leurs prévisions et surtout leurs certitudes ont été en grande partie fausse depuis 10 ans. Beaucoup d’éléments dans l'économie d'aujourd'hui montrent l'échec de toutes les précédentes théories. Entre le "c'était mieux avant" et le "on va à la catastrophe", il n'y a pas pour eux de juste milieu.
De plus, on voit de plus en plus d'écarts entre les pays qui vont vers le 100% pour améliorer leur propre économie (USA, Chine) et ceux qui aimeraient faire comme eux tout en gardant une majorité de sociale (France). Combien de mesures purement économique la France fait? Le seul pari a été la réforme de l'ISF qui a été mal expliquée et vendue (comme les rafales). Socialement le principe fait grincer des dents mais économiquement il a une vrai justification : faire que les gens investissent plus en France qu'à l'étranger, notamment via les entreprises (PME, grandes entreprises). Freiner l'investissement en immobilier pour davantage prioriser les entreprises, dont de l'offre anticipée, donc des embauches, des salaires supplémentaire. L'ISF rapporte en gros 4M à l'état. Je suis persuadé que la réforme de 2019 fasse bien diminuer cette somme. Macron jouait sur la confiance des contribuables, c'est raté. Qu'il revoit ses commerciaux, sa com et son marketing

A la fac, j'ai eu un néo classique libre échangiste, une monétariste et un chantre de la théorie des cycles. Les autres présentaient plutôt de manière agnostique les courants, même si Keynes et les néo keynésiens étaient très développés (Marx était enseigné mais rapidos).

L'opinion que je me suis forgé est que l'économie n'est pas une science dure, qu'aucun modèle proposé n'est complet et surtout que les comportements individuels, de groupes (plus ou moins grands, plus ou moins trans-nation) font que l'application d'un modèle dans un espace donné sera parasité / contrarié par les modèles appliqués à côté, avec lesquels il y a des interactions, voir même en son sein, à moins d'être dans une secte.

A part quelques règles techniques genre relations entre inflation/taux d'intérêt/masse monétaire/investissements/force d'une monnaie (taux de chane), et encore il y a redire, je ne suis pas convaincu par l'efficacité des sciences économiques dans le monde complexe actuelle.
On est, quelque soit le camp, principalement dans du dogmatisme ou dans la conviction, plus que dans la démarche scientifique.

Ils font les beaux sur les plateaux, pendant et après les crises. Mais c'est intéressant de regarder ce qu'ils disent pendant (on les voit souvent dans C dans l'air par exemple). Un an après, il faut re-regarder, on voit une constante. C'est plus faux que vrai

Si j'ai bien compris, l'économie est autant une science que l'astrologie. J'ai bon ?

Commencer par supprimer l' anonymat sur les réseaux sociaux, on y lira peut être moins de conneries

Pour l' école, de nos jours, je ne sais pas trop, mais pour mon fils, je me souviens de son prof d' histoire carrément orienté à gauche dans ses cours, pour le petit fils, il va surtout chercher ses réponses sur internet quand quelque chose l' interpelle
De mon très ancien temps, jusqu' au BEPC école privée avec des religieuses et le passage au lycée public pour la seconde a été la découverte d' un autre monde dans l' enseignement
Pour le reste, les camps, la résistance, la shoah , on en entendait parler par les parents , grands parents et tutti quanti de longue , on apprenait le respect et le petit doigt sur la couture du pantalon , ne nous serait jamais venu à l' esprit d' aller casser chez quelqu' un . ( sauf que la rebelle que j' étais ne résistait pas à l' envie d' aller manger fraises ou framboises dans les jardins et qu' après un gentil sermon je repartais avec un saladier de ses gourmandises , ah, le bon temps des voisins sympas ).

Si j'ai bien compris, Jarlandine aimait aller manger la fraise des religieuses quand elle était ado ?

Y a pas, reste vraiment la crème

en meme temps tu dois avoir pas mal de bad gones dans le tas

Le but est de trouver quel omliver de cache derrière ce troll (une pièce sur dedezane)

Et moi je suis tombé dans le panneau.
Mais ses propos ressemblent terriblement à ceux d'un gars qui s'était fait exclure du forum et qui prônait le bénévolat pour les médecins et les profs du fait des "vocations".

Par moment, flotte une légère impression qu' il y a plus de trolls ici que de GJ sur les Champs Elysée un dimanche pluvieux

jarlandine, +1
Il faudrait s'en débarrasser en les traquant jusque dans les chiottes!

en meme temps tu dois avoir pas mal de bad gones dans le tas

C'est sûr, tout comme il doit y en avoir un certain nombre qui adorent les figths qui rêvetent ces GJ comme parfait prétexte pour se défouler. Même si les mêmes n'ont sans doute pas trop besoin de ça non plus

Sauf que Lyon est une terre de fachos, où ils sont assez tranquille...

Dans un autre style :

Je vous conseille ce compte TW y'a de quoi bien vomir.

jarlandine, +1
Il faudrait s'en débarrasser en les traquant jusque dans les chiottes!

ensuite faudra determiner si on se débarrasse en premier des assis ou des debout !

jarlandine, +1
Il faudrait s'en débarrasser en les traquant jusque dans les chiottes!

ensuite faudra determiner si on se débarrasse en premier des assis ou des debout !

Tous vent debout contre ces vermines d'assis