11 Fév 2019, 11:16
Bibpanda a écrit:superolive, http://www.sudptt.org/IMG/pdf/lpcsrhjanvier2019.pdf
http://www.sudptt.org/IMG/pdf/lpatgomandarine.pdf
11 Fév 2019, 11:59
11 Fév 2019, 12:10
11 Fév 2019, 12:52
11 Fév 2019, 13:27
11 Fév 2019, 13:35
superolive a écrit:Bibpanda a écrit:superolive, http://www.sudptt.org/IMG/pdf/lpcsrhjanvier2019.pdf
http://www.sudptt.org/IMG/pdf/lpatgomandarine.pdf
C'est de la réorganisation, il n' y a pas de suppressions d'effectif....
11 Fév 2019, 17:24
11 Fév 2019, 17:38
Fidel Cienaga a écrit:J'ai la sensation de lire ici beaucoup de déni, à la mesure de ce que je vois dans la vraie vie. Au delà des argumentations/contre argumentations sur la légitimité des revendications GJ, du wishful thinking (pensée magique) de la gauche radicale et de la droite radicale sur le mouvement GJ (c'est le mouvement ultime qui va faire advenir la nouvelle société vs ce mouvement pue il est gangréné par les anars/fachos), au delà des slogans qui ne sont qu'appauvrissement du sens, au delà de tout ça, c'est la vision du monde portée par cette foule/peuple qui m'interroge.
Omlivers qui fréquentent ce mouvement, ou qui ont de la sympathie pour lui, que pensez vous de cette étude de la fondation Jean Jaurès ? J'y retrouve en creux certaines choses qu'on peut lire ici, d'autres plus ou moins avouables, d'autres encore pas du tout exprimées ici.
https://jean-jaures.org/nos-productions/enquete-complotisme-2019-focus-sur-le-mouvement-des-gilets-jaunes
version résumée par un infâme média dominant (j'ai bon sur l'élément de langage ?) pour les paresseux :
https://www.lepoint.fr/societe/40-des-gilets-jaunes-sont-tres-complotistes-11-02-2019-2292441_23.php
Merci !
11 Fév 2019, 17:41
gob a écrit:Rob77 a écrit:fourcroy a écrit:Rob77, je suis contre les abus libéraux du concept d'efficience, pas contre le concept lui-même, qu'il me semble dangereux de balayer d'un revers de main.
Dans ce cas, la possibilité de s'acheter un yacht, un jet privé ou une Porsche relève-t-elle de l'efficience ?
A partir de quand, l'opulence est-elle insoutenable ?
Quelle opulence ?
Celle de toi ou moi regardant une Porsche ou un yacht ?
Celle d’un SDF regardant ta maison ou ton appart ?
Celle d’un enfant meurtri sous les bombes et les gaz regardant tes enfants ou les miens jouant tranquillement ?
Alors tu me diras qu’une Porsche n’est pas indispensable mais pas plus que tous les avantages et biens de confort dont nous disposons en France par rapport à beaucoup d’autres humains sur terre.
Alors ce connard ( en restant poli) qui sautait sur la Porsche serait il d’accord si on faisait pareil dans son appart ?
11 Fév 2019, 17:43
11 Fév 2019, 18:59
11 Fév 2019, 19:37
11 Fév 2019, 20:04
11 Fév 2019, 20:10
11 Fév 2019, 20:17
Dragan a écrit:
11 Fév 2019, 20:26
11 Fév 2019, 20:29
11 Fév 2019, 20:57
11 Fév 2019, 21:31
Qu’a changé le tournant « néolibéral » dans la manière de ressentir et de subir cette violence ?
Entre le début des années 1970 et la fin des années 1980, le système économique dominant évolue. C’est d’abord l’extension à toute la planète de ce régime économique, et à toute l’existence de la valeur marchande. C’est aussi le déclin, voire la destruction, des gardes-fous qu’avait inventés ou laissés se développer le capitalisme et qui compensaient sa dureté : l’État providence, notamment, dont la période de gloire se situe après la seconde guerre mondiale, avec ses systèmes éducatifs et de protections sociales universels et accessibles. La privatisation en cours de ces systèmes, ou l’introduction dans leur fonctionnement d’une logique exclusivement comptable, le retrait de l’État d’autres missions, mettent fin à ces gardes-fous. Ce qu’on peut appeler la radicalisation du capitalisme consiste dans le règne sans partage de ses dogmes et dans la disparition de ces contrepoids. Nous payons aujourd’hui le prix très lourd d’une telle évolution.
11 Fév 2019, 21:46
le capitalisme moderne est né, il y a un demi-millénaire, de la traite négrière et de la colonisation.
On a voulu nous faire croire que le commerce adoucissait les mœurs. Le plus souvent, c’est la violence qui le stimule. On a oublié qu’en quatre années de mobilisation dans la deuxième guerre mondiale, entre 1941 et 1945, les États-Unis ont doublé leur PIB. Il faut se défaire de l’idée que la violence est une exception au sein du système économique. Jamais le système économique actuel ne s’est autant accommodé de ces violences ou en a été aussi directement partie prenante. Augmenter les rendements nécessitera toujours d’augmenter les contraintes, donc la violence.
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