Faits divers

Ah, y avait Miss France hier soir ? tu m' étonnes que les gilets jaunes soient rentrés plus tôt à la maison

320cds,

J'imagine que c'est par magie théorie que l'on a pu lire ceci sous la plume de John.

Il est pas obligé de relayer les propos de connards avinés (je préfère que ce soit ça parce que si les mecs pensent vraiment ce qu'ils disent). Il est lamentable comme son mentor.

La même magie opérait également sous la plume de Carma.

Hâte de voir les avinés réclamer le frexit samedi prochain.

Ils ont le droit d'être dégoûtés parce qui se passe, les revendications politiques des gilets jaunes (et ne parlons même pas des modes d'action), c'est le jeu démocratique. C'est inaliénable.
J'ai le droit d'être dégoûté par les propos qu'ils tiennent et qui puent le mépris social, en me focalisant sur les termes qui me choquent le plus : "avinés", "connards", "auditeurs des grandes gueules" (sur cette page), ou les assimilations à de la merde ("tirer la chasse"), à des gamins de primaire ("sonner la fin de la récréation")...la liste n'est pas exhaustive.

Ces propos ou ces comparaisons ont été tenus, ici même, et pas par moi. La magie de la rhétorique, ce n'est pas la mienne, mais plutôt la tienne qui fait disparaître ces propos et la réalité qu'ils énoncent : un putain de mépris social qui me dégoûte, ou plutôt m'en accuse d'être responsable.

Pearl,

Le droit de grève est constitutionnel. Les amoureux de la démocratie libérale doivent en prendre acte.
On ne peut pas virer un enseignant parce qu'il utilise ce droit, même 6 mois durant. Certains parleront sûrement de prise d’otage (au delà de toute décence, compte tenu des réelles prises d’otage), mais c'est ainsi.
Après tout, si cela te gêne, tu n'as qu'à t'engager pour réformer la constitution et faire disparaître le droit de grève. Dans beaucoup de belles démocraties (au hasard la Corée du nord), ce droit n'existe pas. Qu'on s'en inspire!

Tu attaques souvent ma corporation (et elle le mérite souvent, cela me semble induscitable) en pointant du doigt des exemples isolés, qui te servent à généraliser derrière sur des privilèges (sécurité de l'emploi), un manque de professionnalisme confondant (la propagande, fainéantise)... Bref, des salauds de fonctionnaires qui n'en branlent pas une et sont payés à emmerder les honnêtes gens.

Désolé si je n'adhère pas et me permets de répondre. C'est encore mon droit, puisque nous ne sommes pas en Corée du Nord, et qu'aucun de nous ne souhaite y vivre. J'imagine que tu en ferais autant si demain j'énonçais qu'il fallait virer tous les cadres sous prétexte que certains se permettent durant leur travail de commenter l'actualité sportive ou autre sur des forums, à raison de dizaines de messages par jour. Un cas ne fait pas une généralité.

Tu pointais un enseignant qui durant ta scolarité (Combien d'enseignants croisés faisant convenablement leur travail ? Tu n'en parles pas) faisait de la propagande et contrevenait donc à ses obligations professionnelles. Tu te crois ensuite autoriser à questionner mon positionnement là dessus, et pire que ça, à penser que je trouve cela normal. J'y vois une attaque contre ma pratique professionnelle et te demande des excuses. Visiblement, il faudra m'armer de patience.

Je refuse de parler politique avec mes élèves, tout simplement parce qu'ils n'ont pas l'esprit formé, et que ce serait profiter d'une posture d'autorité légitimé par mon statut d'enseignant, pour faire germer des idées (qu'importe la nature de ces idées) chez eux. Je ne suis pas propagandiste, c'est une question de morale et d'éthique personnelle, avant même d'être une question d'éthique professionnelle.

J'ai fait plus d'une fois grève (cette année encore) en assurant gratuitement les cours de mes élèves passant un diplôme en fin d'année. T'en dis quoi ? T'en penses quoi ?

J'ai passé des heures et des heures à manifester (légalement et plus récemment illégalement), en respirant des gaz, en voyant des CRS charger et tabasser des manifestants pacifistes et légaux qui n'avaient rien fait d'autres que chanter durant un cortège syndical (je l'ai vu). J'ai sacrifié du salaire, du temps pour mes élèves et les salariés du privé, au nom de convictions personnelles et d'engagements au service des autres.

Et toi ? Quel engagement ?

Tu as manifesté une fois, pour ta pomme, sous prétexte que des enseignants avaient utilisé le droit de grève, reconnu par la constitution d'une démocratie libérale à laquelle tu sembles pourtant attaché, quoique...

Par ailleurs, je ne pleure pas parce que mes impôts vont augmenter (ou ont augmenté) pour soulager ceux dont le travail ne paie pas assez, ou ceux qui en sont privé (quoique tu puisses penser là dessus, il y a une pénurie de travail, c'est factuel). Je trouve ça parfaitement légitime. La solidarité via un impôt redistributif, c'est l'ADN de notre république dont la constitution affirme qu'elle est sociale, et j'y adhère pleinement. De la même manière, j'adhère pleinement à l'idée que l'on puisse s'engager pour changer notre constitution, et virer le principe "social". Nous sommes en démocratie, pas en Corée du Nord.

Ce qui est moins légitime et même révoltant - en tout cas pour moi - c'est que les plus riches (tu n'en es pas un, pas plus que moi) puissent s'exonérer d'une fiscalité solidaire réellement progressive -> l'ISF, l'exit tax, la flat tax c'est inacceptable à mes yeux. Tu as choisi toi de ne pas délégitimer cette politique, bien au contraire. C'est ton droit, je le reconnais et me battrai pour que tu puisses toujours en jouir. Je suis démocrate, pas partisan de la Corée du Nord. Ai-je le droit de mon côté de me battre contre cette politique, sans être reconnu partisan de la Corée du Nord ? A te lire, j'ai des doutes.

Concernant Cuba et la Corée du Nord, tu utilises de nouveau la caricature, comme un vulgaire politicard libéral. Après tout, TINA, sinon c'est la Corée du Nord, ou Cuba. En tout cas, question respect des opinions divergentes, et des individus qui les tiennent, c'est bien chez toi que l'on retrouve une influence nord-coréenne, pas chez moi.

Pour questionner un peu plus ta cohérence, un dernier point. En quoi est-ce cohérent de trouver salvateur que des enseignants en grève se justifient auprès des élèves et donc exposent des opinions syndicales et politiques), tout en vomissant un enseignant qui expose le même genre d'opinion en classe ? Tu m'expliques ? Je ne comprends pas.

Pour répondre à Dragan, qui se délecte des caricatures en mangeant du popcorn.

Combien de gens ont perdu des yeux, des mains ? Combien de crânes fracassés par les tonfas ? Le tout durant des manifestations syndicales, déclarés en préfecture et encadrées, donc légale, sur ces 3 dernières années. Il me semble que là dedans, un nombre significatif de victimes n'étaient pas violentes mais pacifiques. Mais Dragan n'en parle pas. Et nous sommes là sur des manifestations LÉGALES.

Peut être faut-il songer à interdire les manifestations pour éviter ces problèmes, et puis c'est plus prudent dans un contexte de terrorisme. Après-tout, c'est interdit dans de belles démocraties (au hasard la Corée du Nord). Qu'on s'en inspire!

Le discours de Dragan légitime la violence utilisée par les forces de l'ordre récemment, parce que les manifestations étaient illégales. Pourquoi pas.

Je repose ma question : en démocratie libérale, les arrestations préventives choquent-elles les libéraux ?

Dragan assimile les manifestants à des casseurs ou à des complices. La manifestation n'étant pas déclarée, et attirant toujours des casseurs, y aller, c'est nécessairement suspect. Quand les manifestations sont déclarées, et que des casseurs viennent, cet argument devrait pouvoir se tenir facilement... Qu'on interdise toutes les manifestations, et ces problèmes vont disparaître!

Hier, j'ai été fouillé avec mes amis, en chemin. Un policier s'est demandé sérieusement si une clémentine (mon pote en avait dans son sac), ça ne pouvait pas être un projectif destiné à violenter les bleus. J'ai rigolé, il m'a demandé d'éviter. Le rire, forcément une arme de casseur abreuvé de haine anti-flic. Interdisons le rire!

Un peu plus tard, les bleus nous ont autorisé à rentrer dans le quartier de l'Opéra (je ne connais pas bien Paris, j'ai été où il y avait des jaunes), mais pas à sortir (on voulait aller sur les Champs). Je suis resté deux heures à passer d'un barrage à un autre et à discuter/négocier. Ils avaient des ordres, et certains ne les comprenaient pas forcément bien, puisqu'au départ, une sortie devait être laissée rue Auber, pour contrôler le mouvement du cortège vers les Champs.

J'ai réussi à sortir en retirant mon gilet jaune et en cachant qui j'étais (je devais rentrer rapidement, puisque de mariage) au bout d'un certain temps, en passant par la rue Halevy (va savoir pourquoi là certains pouvaient sortir et d'autres non...). Sur mon temps de présence, je n'ai pas vu une caillasse lancée, et nous étions pourtant des centaines. En revanche j'ai vu facilement autant de CRS et gendarmes mobiles, équipés lourdement. J'ai vu des blindés, et une quinzaine de bleus à cheval.

Ces gens en jaune étaient sûrement des casseurs ou leurs complices. D'ailleurs, je dois en être un moi aussi, après tout, la manifestation était illégale. Je suis sûr que si je regarde dans mon sac, je trouverais un bouquin ou une clémentine qui une fois jeté sur les bleus pourrait leur faire mal.

L'ami Rob"Yellow"77 posait une question intéressante sur le comportement des États de droit face au terrorisme, si la meilleure réponse ne consistait pas à se tenir strictement au cadre légal et constitutionnel face à l'agression. L'histoire nous enseigne beaucoup de choses quant aux formes modernes de terrorisme (j'exclue les guerillas latino-américaines, les guerres civiles, les sécessions territoriales). Ne me viennent à l'esprit que deux exemples qui ont réussi : la Grande-Bretagne et l'Inde. Face à l'IRA et aux Sikhs, les deux pays ont eu pendant très longtemps les fesses sales en recourant à toutes les méthodes les plus dégueulasses de l'anti-terrorisme (suspension de l'Etat de droit, assassinats, détention arbitraire, torture, etc.) sans voir d'issue. Lorsque des processus de paix politique auxquels toutes les parties étaient associées ont vu le jour, miracle, la situation s'est normalisée assez rapidement. Cela n'a pas été le choix de l'Espagne (ETA) qui a normalisé la situation au Pays Basque par la répression. La France a toujours joué sur les deux tableaux (Basques, Corses, Nouvelle Calédonie).
Mais dans tous ces cas on parle d'aspirations nationalistes et sécessionnistes plus ou moins partagées par les populations, quand les États ont en face des groupes radicaux et messianiques qui ne représentent qu'eux-même (Action Directe, la RAF, etc.) avec qui parler ? Qui inclure dans une trêve ? Ce sont eux qui définissent les modalités du combat. Tout est une question de jauge dans ce qu'une société peut supporter d'agression et de violence avant de se fissurer (c'est bien là le but des attentats d'ailleurs). C'est une véritable zone de grise de l'État de droit, où le pragmatisme peut le disputer au cynisme et à l'erreur fatale dans l'analyse de la nature de la menace. Il faudrait travailler sur le temps long pour résorber les causes mais répondre aussi à la menace immédiate (en Allemagne, la dénazification reportée indéfiniment de la société qui a été le terreau de la RAF, en France l'abandon des quartiers populaires et l'inégalité entre les citoyens). Nous n'avons jamais véritablement pensé ces questions.
L'écrivain nord-irlandais MacLiam Wilson disait quelque chose de terrible après les attentats de novembre 2015, en fait le terrorisme s'arrête quand les combattants se lassent et vieillissent. La seule chose à faire est d'attendre en coupant le robinet d'alimentation en jeunes combattants...

Instructif,merci.

Je ne suis pas loin de penser la même chose. Je ne crois pas à la course en avant sécuritaire et liberticide, ou à la rhétorique guerrière. Je crois qu'il nous faut nous reconnaître en partie (grande, petite ?) impuissants, et vivre avec cela.

Je repose ma question : en démocratie libérale, les arrestations préventives choquent-elles les libéraux ?

Dragan assimile les manifestants à des casseurs ou à des complices. La manifestation n'étant pas déclarée, et attirant toujours des casseurs, y aller, c'est nécessairement suspect. Quand les manifestations sont déclarées, et que des casseurs viennent, cet argument devrait pouvoir se tenir facilement... Qu'on interdise toutes les manifestations, et ces problèmes vont disparaître!

Hier, j'ai été fouillé avec mes amis, en chemin. Un policier s'est demandé sérieusement si une clémentine (mon pote en avait dans son sac), ça ne pouvait pas être un projectif destiné à violenter les bleus. J'ai rigolé, il m'a demandé d'éviter. Le rire, forcément une arme de casseur abreuvé de haine anti-flic. Interdisons le rire!

Un peu plus tard, les bleus nous ont autorisé à rentrer dans le quartier de l'Opéra (je ne connais pas bien Paris, j'ai été où il y avait des jaunes), mais pas à sortir (on voulait aller sur les Champs). Je suis resté deux heures à passer d'un barrage à un autre et à discuter/négocier. Ils avaient des ordres, et certains ne les comprenaient pas forcément bien, puisqu'au départ, une sortie devait être laissée rue Auber, pour contrôler le mouvement du cortège vers les Champs.

J'ai réussi à sortir en retirant mon gilet jaune et en cachant qui j'étais (je devais rentrer rapidement, puisque de mariage) au bout d'un certain temps, en passant par la rue Halevy (va savoir pourquoi là certains pouvaient sortir et d'autres non...). Sur mon temps de présence, je n'ai pas vu une caillasse lancée, et nous étions pourtant des centaines. En revanche j'ai vu facilement autant de CRS et gendarmes mobiles, équipés lourdement. J'ai vu des blindés, et une quinzaine de bleus à cheval.

Ces gens en jaune étaient sûrement des casseurs ou leurs complices. D'ailleurs, je dois en être un moi aussi, après tout, la manifestation était illégale. Je suis sûr que si je regarde dans mon sac, je trouverais un bouquin ou une clémentine qui une fois jeté sur les bleus pourrait leur faire mal.

Je sais pas ca a l'air d'etre un jeu pour toi la maniere dont tu le racontes. Ca a l'air de t'amuser d'y aller et de voir la reaction des flics. Et d'expliquer que hier tu n'y as rien vu alors que quasiment personne finalement ne s'est rendu a Paris (et tant mieux vu les images des 2 samedis precedents).

Et tu t'etonnes de ne pas voir de casseurs, que ce serait un mythe parmi les manifestants. C'est bien cette faculte a faire "reset" sur ce qui s'est passe les 2 samedis precedents. Evidemment vraiment aucune raison a cette reaction des flics..

Nier les abus et violences policières, c’est du même tonneau que nier la presence de casseurs chez les GJ.

Les deux sont hautement condamnables, sauf que l’une d’entre-elles ne l’est jamais. La toute puissance policiere dans ce genre d’evenements est franchement pas le signe d’une démocratie en pleine forme.

Dragan,

Je n'ai jamais nié la présence de casseurs professionnels dans les manifestations, qu'elles soient légales ou pas. J'ai en revanche dit que certains le sont devenus au cours des manifestations, pris par la violence et l'irrationalité des événements. J'ai même dit qu'il n'était pas inenvisageable que je ne puisse pas me laisser prendre à cela. Je suis parfaitement honnête et transparent là dessus.

Je ne vois pas ce qui est amusant à risquer de se prendre un tir de flashball ou un pavé dans la gueule. A se faire gazer ou charger (il n'est plus question de risque, et cela a débuté bien avant le mouvement des gilets jaunes, je l'ai vu de mes propres yeux).

Des gens sont venus de toute la France pour manifester (j'ai discuté samedi dernier avec des gens venus d'Alsace, hier avec des gens venus de Provence, j'ai vu un tas de drapeaux régionaux). Ils y ont sacrifier argent (trajet), temps (des dimanche pour les manifestants, tous les jours pour ceux qui sont sur les ronds-points), santé pour certains (face aux violences policières ou des casseurs, ou simplement face à la météo -> je suis malade comme un chien).
Comment peut-on raisonnablement croire qu'il s'agit d'un jeu ? Comment peut-on raisonnablement encore douter de la sincérité des gens ?

Peut être serait-il temps de reconnaitre que des gens s'engagent non en fonction d'une attirance malsaine pour la violence ou le pillage (même s'il en existe), mais pour des convictions personnelles. Ce ne serait que justice me semble-t-il.

Les casseurs existaient avant hier, hier, ils existent aujourd'hui et existeront encore demain. Faut-il interdire pour autant toute manifestation ?
Le terrorisme existait hier, il existe aujourd'hui et rien n'indique qu'il n'existera pas demain. Faut-il interdire pour autant toute manifestation ?

Avec un tant soi peu d'honnêteté et de recherches, on peut aisément trouver des images, des témoignages (autant de preuves) relatant l'usage irresponsable de la violence faite par les forces de l'ordre en certaines occasions.

Des images d'un gilet jaune les bras en l'air, le visage découvert, visé sciemment et touché par un tir de flashball en plein bide... D'autres montrant des gens réfugiés dans un centre de junkfood chargés et tabassés par les forces de l'ordre.
Des journalistes se sont fait tirer dessus au flashball. Des journalistes facilement identifiables. C'est aussi une réalité.

J'en discutais hier avec un gradé des CRS. Lui même à ce sujet nous a dit : "je ne cautionne pas tout". Quand il a vu qu'il était filmé, il a dit qu'il arrêtait de nous parler. Et pourtant, le gars nous disait clairement au départ : "les forces de l'ordre ne sont jamais à l'origine des violences". Certains témoignages prouvent le contraire. Tu fais reset là dessus.

Les arrestations préventives, c'est ce qui est finalement le plus effrayant. Se faire arrêter parce qu'on a un masque et du sérum, c'est pas problématique en démocratie ?

Je n'ai jamais dit que le boulot d'un flic était facile. Il me semble que dans les récits que j'ai faits de mes derniers passages à Paris, sont là pour le prouver. Tu fais reset là dessus également.

Quand leurs cuisses sont aussi larges que leurs jambes c'est pas épais pour moi. Mais chacun ses goûts.

Elle est pas maigre je trouve, juste tres bien

Ah slogan du jour !

"Suppression de la dette (73 Giscard)"



Dragan, je parlais pas de Tahiti, mais de bien d'autres !

La même magie opérait également sous la plume de Carma.

Hâte de voir les avinés réclamer le frexit samedi prochain.

Comme c'est habile de retirer le smiley au bout de ma phrase qui reprenait de plus les termes d'un message précédent. Ca servait sans doute mieux ton message. Mais du coup j'ai pas lu la suite.

carma,

J'ai copié les messages sur un libre office, puisqu'il y en avait plusieurs, avant de rédiger ma réponse sur le forum.
En faisant le C/C de ton message, le smiley a disparu. Je te prie de croire en ma sincérité. Le smiley était dans mon souvenir celui-ci (tu corrigeras au besoin).

Si c'était une reprise ironique, toutes mes confuses. Si ce n'était pas le cas, je reste sur ma position : ça pue le mépris social.

Après, tu lis ou tu ne lis pas. C'est ton droit.

Hier matin,je tombe sur une chaîne de direct avec un gilet jaune tenant un bouquet de fleurs de la même couleur et agonisant d' insultes une policière casquée, stoïquement immobile avec son souffle à 2 cm du visage, tin, si c' est moi, il ne finit pas sa première phrase, je lui massacre la langue à vie , hein !
Avant de pleurer sur les violences policières, faut peut être se pencher sur ce qu' ils doivent supporter aussi

En 1968, c'est sûr que ce n'était pas comme cela.

T' es fatiguant, pour rester polie .
Prépares toi,avec ta clémentine, va pas tarder à y avoir du sport dans les ronds points !

Tu veux parler des gens qui y sont morts, écrasés ?

Information

5eme victime decedee de ses blessures de l'attaque terroriste de Strasbourg

De toute manière, Miss Tahiti < Charlotte

Je viens de voir Miss France à la tv, c'est du lourd

A Manosque aussi, ils ont incendié le péage dans la nuit, mais quand la police est venu démanteler leur village au petit matin, pas âme qui vive, ils ont laissé le café chaud et les croissants à l' abandon !
L' après midi, certains sont revenus pour essayer de reconstruire !
En attendant, l' autoroute est fermée sur un bon tronçon

Pour rob