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Re: Faits divers

06 Sep 2024, 09:12

Non mais à un moment donné si on commence à relayer AJ plus comme source d'information autant qu'on se mette tous à poster directement des photos d'excréments ça sera plus informatif.

Il existe des sources, il existe des articles de presse. Si un comptes du genre Cerfia reprend une information fiable, alors autant partager la source originale de cette information plutôt que ce compte à la con non?

Re: Faits divers

06 Sep 2024, 14:31

Jamais compris non plus ces multi-posts de tweets qui ne font que répéter ce que la vraie source a déjà émis.

En vrai ça casse les cou*lles (pardon my french), donc je vais demander solennellement d'éviter autant que possible de poster ici des tweets de lambdas qui ne font que rabâcher connement ce qu'une source (vraiment informée elle) a déjà émis.

Faute de quoi les tweets inutiles seront tout simplement zappés.

Information
SVP postez uniquement les tweets/articles des SOURCES d'information, pas leurs repetita ! redaface2

Re: Faits divers

06 Sep 2024, 16:55

boodream a écrit:Non mais à un moment donné si on commence à relayer AJ plus comme source d'information autant qu'on se mette tous à poster directement des photos d'excréments ça sera plus informatif.

Il existe des sources, il existe des articles de presse. Si un comptes du genre Cerfia reprend une information fiable, alors autant partager la source originale de cette information plutôt que ce compte à la con non?


Oui, il me semble que Cerfia assume se livrer à de la curation de contenus et assume donc aussi de ne pas produire d'information. En soi pourquoi pas mais le problème, c'est qu'ils le font parfois très mal avec des contresens ou en relayant des fausses infos. Aller à la source de l'info me semble être plus prudent.

Re: Faits divers

08 Sep 2024, 10:34

Moi justement je pense que si les peines étaient moins lourdes ou ne serait ce que le rétablissement du permis blanc on aurait moins de ces problèmes, je suis passé par là, c'est vraiment du broyage et pour mon cas ils se sont permis de retirer les 6 points 4 ans après ce qui fait que j ai perdu le permis avant qu ils ne l annulent pour la même faute, et je peux te dire que désormais je pourrais être tenté de fuir parceque trainer une histoire plus de 6 ans pour une erreur a un apéro et je conduisais même pas je faisais la sieste au bord de la route.
La répression trop forte entraîne ces comportements que tu ne trouve pas en Espagne ou je vis par exemple

Re: Faits divers

15 Sep 2024, 02:13

Re: Faits divers

15 Sep 2024, 17:18

Une belle ordure.

Re: Faits divers

15 Sep 2024, 20:23

Très bonne réaction du vigile.

Re: Faits divers

17 Sep 2024, 22:54

Un article en accès libre, et à faire lire à tous. Cette affaire ne peut être négligée par quiconque

https://www.lemonde.fr/societe/article/ ... _3224.html

Procès des viols de Mazan : « Je suis un violeur comme ceux qui sont dans cette salle », reconnaît Dominique Pelicot, de retour à l’audience
Le retraité de 71 ans témoigne pour la première fois mardi. Une expertise médicale ordonnée par le président de la cour criminelle a conclu que M. Pelicot est en état de comparaître, dans des conditions aménagées.

Dominique Pelicot, principal accusé dans l’affaire des viols de Mazan, qui n’était plus apparu à l’audience depuis mercredi dernier pour raisons de santé, a fait son retour devant la cour criminelle du Vaucluse mardi 17 septembre. Aidé d’une canne et vêtu d’une veste grise, il est entré lentement dans le box des accusés avant de s’asseoir sur un fauteuil bleu censé être plus confortable et lui permettre de suivre les prochaines audiences.

« Je suis un violeur comme ceux qui sont dans cette salle. Ils savaient tous, ils ne peuvent pas dire le contraire », a-t-il assuré en parlant des cinquante coaccusés du procès, évoquant l’état d’inconscience de sa femme Gisèle qu’il droguait pour la violer et la faire violer au domicile familial de Mazan. « Elle ne méritait pas ça, je le reconnais », a-t-il ajouté face à son ex-épouse, assise sur le banc des parties civiles.

Gisèle Pelicot, devenue une figure féministe pour avoir accepté que le procès soit public afin que « la honte change de camp », est restée stoïque tout le long de cette prise de parole, avant d’elle-même se rendre à la barre pour brièvement témoigner. « Pas une seule seconde je ne pouvais douter de cet homme » en qui « j’avais toute confiance », a-t-elle expliqué. « J’ai aimé cet homme pendant cinquante ans, je lui aurais donné mes deux mains à couper », a confié cette femme qui a reçu le soutien de milliers de manifestants en France le week-end dernier.

Invité par la cour à réagir, Dominique Pelicot a alors dit : « Je suis coupable de ce que j’ai fait. Je prie ma femme, mes enfants, mes petits-enfants, Mme M. [violée par son mari selon le même procédé et en présence de Dominique Pelicot] de bien vouloir accepter mes excuses. Je demande pardon, même si ce n’est pas acceptable ». « Elle était merveilleuse et moi j’étais à côté de la plaque », a-t-il déclaré, pendant que Gisèle le fixait, ajoutant : « Je l’ai bien aimée quarante ans et mal aimée dix ans. Je n’aurais jamais dû faire ça. J’ai tout gâché, j’ai tout perdu. Je dois payer. »

Auparavant, il avait détaillé son enfance et deux événements traumatiques qu’il dit avoir subis pendant sa jeunesse : un viol par un infirmier lors d’une hospitalisation, à l’âge de 9 ans, puis sur un chantier quand il était apprenti, à l’âge de 14 ans, où il a selon lui été forcé de participer au viol collectif d’une jeune femme handicapée. « De ma jeunesse, je ne retiens que des chocs et traumatismes. En 1971, il y a eu cette belle rencontre [avec Gisèle]. C’était trop lourd à porter », a-t-il expliqué d’une voix lente et proche des sanglots.

« Trois enfants, que je n’ai jamais touchés »
« J’ai tenu quarante ans. J’étais très heureux avec elle. C’était le contraire de ma mère, elle était totalement insoumise. J’avais trois enfants, que je n’ai jamais touchés. Elle ne méritait pas ça, je le reconnais », a-t-il ajouté. Selon l’enquête, des photos de sa fille et de ses deux belles-filles, prises à leur insu et les montrant, pour certaines, nues, ont été retrouvées dans son ordinateur. Longuement questionné par l’un des avocats des parties civiles, Antoine Camus, le septuagénaire a nié être l’auteur d’une photo de Caroline Darian, 45 ans, sur laquelle elle apparaît dénudée et allongée sur un lit dans une position « quasi fœtale » rappelant celle de son ex-épouse Gisèle Pelicot.


« Non, ce n’est pas moi. Cette photo allongée sur le lit, ce n’est pas moi », a-t-il déclaré, suscitant la colère de sa fille, assise à côté de sa mère, à l’autre bout de la salle, mais en face de lui : « Tu mens », lui a-t-elle lancé à deux reprises. Un peu plus tôt, elle avait brièvement quitté la salle, d’un pas décidé, en disant : « Je vais gerber là. » « [Pour m]oi, ma fille, c’est comme mes petits enfants, ce sont des joyaux, on n’y touche pas », a affirmé Dominique Pelicot qui, semblant énervé des relances des avocats des parties civiles sur le caractère incestueux des photographies intimes de sa fille mais aussi de ses belles-filles, a lancé : « Qu’est-ce qu’il faut que je fasse, que je dise, que je me coupe un bras ? »

A la question de savoir pourquoi il n’avait pas pris des images de ses deux fils, il a toutefois répondu aux magistrats de la cour criminelle de Vaucluse : « Je ne suis pas attiré par les hommes. » Depuis la découverte des faits en 2020, Caroline Darian (son nom de plume sous lequel elle a publié un livre en avril, Et j’ai cessé de t’appeler papa, JC Lattès) est persuadée d’avoir elle-même été sexuellement agressée par son père, voire par des inconnus, selon le même procédé qu’il utilisait sur sa propre épouse.

Interrogé sur la déclaration choc de Caroline Darian qui, lors de son audition le 5 septembre avait qualifié celui qu’elle appelle désormais « Monsieur Pelicot » ou son « géniteur » d’un « des plus grands criminels sexuels des vingt dernières années », il n’a pas voulu s’épancher : « Elle dit ce qu’elle pense, elle a peut-être raison, peut-être tort. Je suis mal placé. » Au début du procès, Caroline Darian était déjà sortie en larmes de la salle d’audience quand le président de la cour avait fait état de photomontages où elle apparaît dénudée. Les clichés avaient été trouvés dans l’ordinateur de son père, dans un dossier intitulé « Autour de ma fille, à poil ».

En état de comparaître
Dominique Pelicot, qui documentait tous les viols, filmés et photographiés, dans des dossiers classés dans son ordinateur, avait déjà reconnu les faits, commis entre 2011 et 2020, mais il ne s’était encore jamais expliqué en détail depuis l’ouverture du procès. Sur cet archivage, il a expliqué : « Il y a une part de plaisir, mais également une mesure d’assurance. Aujourd’hui, grâce à ça, on peut retrouver ceux qui ont participé à tout ça. » A l’écoute de ces propos, certains accusés dans la salle ont levé les yeux et d’autres affiché des sourires crispés.

Le président de la cour, Roger Arata, avait dévoilé en ouverture d’audience les conclusions de l’expertise médicale qui avait été ordonnée pour juger de l’état de santé de Dominique Pelicot. « L’accusé, sur le plan physique et mental, est en état de comparaître », a-t-il fait savoir, éloignant, pour le moment, le scénario craint par les victimes d’un report de plusieurs semaines voire plusieurs mois de ce procès emblématique des violences sexuelles et de la soumission chimique.

M. Arata a précisé les conditions dans lesquelles l’audience se tiendrait : une pause de repos de quinze à vingt minutes, toutes les quatre-vingt-dix minutes, que le septuagénaire pourra passer sur un matelas dans sa geôle, et un fauteuil pour suivre les échanges.

Dominique Pelicot est accusé d’avoir pendant dix ans, de juillet 2011 à octobre 2020, drogué sa femme avec des anxiolytiques pour ensuite la violer et la faire violer par des dizaines d’hommes recrutés sur internet. La cour pourrait également interroger à nouveau son ex-épouse, Gisèle Pelicot, ainsi que son frère Joël.

Le témoignage de Dominique Pelicot est aussi crucial pour le cas des autres hommes, âgés de 26 à 74 ans, jugés à ses côtés. La cour devrait dans les prochains jours poursuivre l’examen, déjà entamé, de quatre d’entre eux : Jean-Pierre M., 63 ans, Jacques C., 72 ans, Lionel R., 44 ans, et Cyrille D., 54 ans.

Le Monde avec AFP

Re: Faits divers

Hier, 00:28

Encore ces hordes de migrants polygames qui violent collectivement nos femmes :zemmour:

Re: Faits divers

Hier, 00:32

Et qui viennent jusque chez nous pour manger nos chats et nos chiens ! :trump:

Re: Faits divers

Hier, 00:55

peezee, j'avais hésité entre les 2 versions :sagnol:

Re: Faits divers

Hier, 07:04

Habitant a côté d'Avignon, ça fait un moment maintenant que l'on parle de cette affaire ici. Je me suis toujours posé la question de savoir comment sa femme ne s'est pas aperçu des atrocités que l'autre lui faisait subir.

Quant aux hommes qui venaient et "n'étaient pas au courant", j'espère qu'ils prendront cher aussi

Re: Faits divers

Hier, 08:47

A priori elle souffrait de bcp de troubles de santés inexplicables .
Jusqu’à ce que ne ne soit révélé toute cette affaire …

Re: Faits divers

Hier, 10:18

Vu comment elle était shootée, le cerveau n'a rien capté, ou alors, il a volontairement refoulé ce vécu.

Mais les merdes pseudo-mecs qui l'ont violée sont incapables pour la grande majorité d'assumer leurs actes.
Qu'ils prennent cher.

Re: Faits divers

Hier, 13:12

negrOM a écrit:Je me suis toujours posé la question de savoir comment sa femme ne s'est pas aperçu des atrocités que l'autre lui faisait subir.


gob corrigera, mais le GHB est déjà un outil incroyable pour les violeurs de nos jours.
Et c'est pas plus dur de s'en procurer que du cannabis ou la coke.

Re: Faits divers

Hier, 16:50

Le GBL est un précurseur du GHB, utilisé à des fins récréatives dans certains milieux festifs.

La vente de GBL est interdite au particuliers mais cela reste un solvant industriel qu'il est très facile de se procurer.

Celui-ci, qui a un goût et une odeur prononcé et est transformé directement en GHB par une enzyme après ingestion. Le dosage reste délicat.

J'avais entendu dans certains cercles de la nuit marseillaise que transformer du GBL en GHB (qui a donc les mêmes effets mais est inodore, donc n'est pas utilisé à des fins récréatives mais à des fins bien plus sinistres) était largement faisable. Ceci expliquerait pourquoi il est assez facile de s'en procurer.

Il n'est d'ailleurs pas certain que ce soit cette molécule qui ait été utilisée. Des substances comme la scopolamine (utilisée dans les agressions "sans violence" dans certains pays d'Amérique Latine) pourrait sans doute aussi fonctionner. Et sans doute une myriade d'autres molécules moins connues - donc moins contrôlées - mais tout aussi dangereuses.

C'était la minute chimie. Je conchie évidemment les connards qui seront reconnus coupables des faits abjects commis.

Re: Faits divers

Hier, 19:25

Et ben mister Voj est un connaisseur :? Promis tu m'invite pas chez toi à l'apéro hein :cry: :mrgreen:

Re: Faits divers

Hier, 20:21

Ça va se finir en Breaking Bad !

Re: Faits divers

Hier, 21:03

Mon ex-femme était elle vraiment chimiste. Et j'ai un peu fréquenté des milieux ... hum interlopes ... en ville.

Sinon je suis juste un matheux appliqué inoffensif :D

Re: Faits divers

Hier, 21:42

aristote2 a écrit:Vu comment elle était shootée, le cerveau n'a rien capté, ou alors, il a volontairement refoulé ce vécu.

Mais les merdes pseudo-mecs qui l'ont violée sont incapables pour la grande majorité d'assumer leurs actes.
Qu'ils prennent cher.


Il semble que son "mari" avait fait copain copain avec un infirmier anesthésiste qui lui avait expliqué comment endormir profondément quelqu'un. L'infirmier n'est pas en cause dans l'histoire. :wink:

Sinon gros coup de gueule de la VICTIME ce jour, qui au delà d'être totalement COURAGEUSE malgré ce procès en mondovision, qui arrive à trouver les mots justes et qui frappent :

«Depuis que je suis arrivée dans cette salle d’audience, je me sens humiliée. On me traite d’alcoolique, on dit que je me mets dans un état d’ébriété tel que je suis complice de M. Pelicot»

J"’étais dans un état de coma et les vidéos qu’on va diffuser vont pouvoir l’attester. En tant que femme, l’humiliation est totale.»

«Est-ce que le viol est une question de temps ? Trois minutes, trois secondes, une heure. [...] Ils sont venus me violer. Peu importe le temps qu’ils y ont passé. C’est tellement humiliant et dégradant d’entendre ce que j’entends dans cette salle…»

Femme Courage. Elle ne va pas lacher. =D>
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