peezee a écrit:on va en rester là pour éviter l'écueil malsain du "comparatif".
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peezee a écrit:on va en rester là pour éviter l'écueil malsain du "comparatif".
bassir a écrit:C’est un bot c’est pas possible
ideh a écrit:C'est vrai qu'avant le malheureux drame du 7 octobre, tout se passait merveilleusement bien pour les Palestiniens, les Gazaouis ne vivaient pas dans "une prison à ciel ouvert", et en Cisjordanie pas de colonisation.
Dragan a écrit:Bon on va changer de sujet un peu Ca vous est déjà arrivé ça en rando ? Ca m'est déjà arrivé (pas jusqu'à l'attaque) mais quand tu vois l'équivalent du chien de belle et sébastien tu te dis pas de prime abord qu'il va te sauter dessus.. et pourtantInformationNouvelle attaque de chiens patous : les randonneurs stressés dans les Alpes
Ces chiens de protections, censés défendre les troupeaux de brebis face au loup, agressent régulièrement les sportifs en montagne. Un conflit d’usage qui semble prendre de l’ampleur. Cette semaine, un couple a été évacué par hélicoptère, victime de morsures suite à une énième attaque de patous en Chartreuse.
Chaque été, à l’heure où les troupeaux de brebis montent paître en montagne, une peur saisit de plus en plus de randonneurs : celle du patou. Ce gros chien blanc haut sur pattes, originaire des Pyrénées, est largement utilisé par les éleveurs pour repousser les attaques du loup, revenu dans les Alpes françaises depuis une trentaine d’années. On compte 8 000 patous environ dans le massif alpin. Le problème, c’est que ces bergers peuvent aussi s’en prendre aux humains qui passent trop près des troupeaux qu’ils défendent.
Les attaques de patous se sont ainsi multipliées ces dernières semaines. Si elles n’ont fait aucun mort, leur violence interroge et entraîne parfois des blessures sérieuses. Encore ce mardi, un couple de jeunes randonneurs s’est fait mordre par des chiens de protection dans le massif de la Chartreuse, sur un chemin balisé et très fréquenté qui permet d’atteindre le sommet de la Lance de Malissard (2 045 m). Si on ignore les circonstances exactes de l’accident et la gravité des morsures, les deux victimes ont néanmoins dû être secourues par le peloton de gendarmerie de haute montagne de l’Isère, avant d’être héliportées au CHU de Grenoble-Alpes. C’est la troisième attaque recensée en à peine deux semaines dans le département, un chiffre sûrement sous-estimé car les randonneurs ne se signalent pas systématiquement. Le 23 juillet, un patou avait mordu la fesse d’un marcheur, toujours en Chartreuse. Dans le Vercors voisin, une autre randonneuse a dû se réfugier dans un arbre pour échapper aux crocs des chiens qui l’avaient encerclée à son réveil, après une nuit de bivouac. L’hélicoptère de la sécurité civile était venu à son secours.
« Je me suis retrouvée piégée »
« C’est exactement au même endroit que des patous m’ont attaquée il y a deux ans ! », témoigne Annabelle, une Iséroise de 49 ans qui avait été surprise dans ce coin du Vercors, alors qu’elle avait pourtant pris soin de marcher loin d’un troupeau de moutons. « Ils sont arrivés dans mon dos, je me suis retrouvée piégée. C’était très angoissant. Ils me poussaient, mordaient mon sac à dos, cognaient leur tête contre moi. J’ai tenté de rester calme, comme ce qui est recommandé sur les panneaux à l’entrée de l’alpage. Pas de geste agressif, parler avec douceur, rebrousser chemin doucement. Ça a duré plusieurs centaines de mètres avant qu’ils ne me lâchent. Je m’en suis bien tirée. Mon sac était en lambeaux, mais si ça avait été un enfant ? », imagine-t-elle. « Pour moi, les chiens ont un problème sur cet alpage, c’est trop facile de rejeter la faute sur les randonneurs. » « Comme dans tous les métiers, il y a des gens qui font plus ou moins bien leur boulot », concède Julien Vilmant, berger depuis deux ans au col du Coq, en Chartreuse, où il veille sur 1 300 brebis.
Le comportement des randonneurs mis en cause
« Il faut composer avec les comportements problématiques de pratiquants de la montagne qui sont de plus en plus nombreux, même avec des chiens bien éduqués. Hier, un parapentiste a atterri en plein milieu du troupeau. Si je n’étais pas intervenu, il se serait fait déchiqueter. C’est irresponsable, se désole le berger. Nous, en face, on n’a pas le choix avec les loups, les patous sont le meilleur rempart contre cette prédation. » « Rien qu’en Isère, on dénombre 450 demandes de constat d’attaque de loup, compte Bruno Caraguel, directeur de la Fédération des alpages de l’Isère. Il y a donc une réelle pression. Sans les patous, les éleveurs subiraient beaucoup plus de pertes. »
Julien Michelon, un traileur, a lui aussi essuyé une attaque dans les Écrins le week-end dernier : « On comprend que ce soit nécessaire, mais pourquoi les bergers ne les tiennent pas ? Ils m’ont sauté dessus alors qu’il n’y avait pas de troupeau. Ce n’est pas normal. » « Ce ne sont pas des chiens de pied, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas avec le berger mais plus loin, avec le troupeau, là où l’humain ne peut pas surveiller, explique Bruno Caraguel. Donc, si un randonneur passe près d’un patou, c’est rare qu’il soit retenu. »
Si on s’approche par mégarde d’un troupeau et qu’un de ces canidés se manifeste, « il faut s’arrêter et le laisser venir, conseille Julien Vilmant. Il va vous renifler, voir qu’il n’y a aucune menace, et repartir ». S’il se montre insistant, il faut éventuellement reculer d’un ou deux mètres, en le gardant dans le viseur, mais surtout ne pas partir en courant. Pour éviter les troupeaux sur un itinéraire de randonnée, on peut consulter en amont la carte appelée « Map Patou », sur le site Pasto Kezako.
Le Parisien
bassir a écrit:On a l'impression avant le 7 octobre c'était disneyworld que muslim et juifs marchaient main dans la main entre tous les quartiers de jerusalem..
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