Faits divers

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Re: Faits divers

Messagepar fourcroy » 08 Juil 2024, 14:47

Il ne faut pas s'emballer, mais on ne peut peut-être pas exclure quelques améliorations du côté de l'Iran.
"La société de surconsommation, fruit d'un capitalisme dérégulé, relève d'une logique compulsionnelle dénuée de réflexion, qui croit que le maximum est l'optimum et l'addiction, la plénitude." Cynthia Fleury
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Re: Faits divers

Messagepar ideh » 10 Juil 2024, 12:57

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Re: Faits divers

Messagepar Kim Nielsen » 10 Juil 2024, 15:14

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Re: Faits divers

Messagepar dxd92 » 11 Juil 2024, 01:47

Sacrée sortie de Ruth
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Re: Faits divers

Messagepar Dragan » 11 Juil 2024, 08:44

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Re: Faits divers

Messagepar Kim Nielsen » 11 Juil 2024, 09:40

L'affaire BFM/Sarko.

Information
Comment BFMTV, Fogiel et Elkrief ont participé à l’opération « Sauver Sarko »

Mediapart révèle comment les têtes de pont de la chaîne d’info ont, en 2020, voulu mettre en scène les lignes de défense de Nicolas Sarkozy, empêtré dans l’affaire libyenne.

POLITIQUE - Une journaliste de premier plan, officiant sur l’une des principales chaînes d’information du pays, peut-elle donner du « Je t’embrasse fort » à l’attachée presse d’un ancien Président de la République mis en examen pour association de malfaiteurs ? Le site d’information Mediapart révèle ce mercredi 10 juillet une série de SMS et de conversations téléphoniques, qui indiquent comment la chaîne BFMTV, et sa cohorte de journalistes-éditorialistes-stars, s’est alignée sur un plan de communication en faveur de Nicolas Sarkozy.

Dans son article, Mediapart indique que tous ces messages ont pu être consultés par des juges d’instruction enquêtant sur la fausse rétractation de Ziad Takieddine - une enquête démarrée en 2021. Dans le cadre de ces investigations, les enquêteurs ont exploité les données d’un téléphone d’une personne clé de l’entourage de Nicolas Sarkozy : celui de Véronique Waché, sa chargée de communication. Ce sont ces conversations qui permettent à Mediapart de publier toutes ses révélations.

L’intéressée, Véronique Waché, regrette d’ailleurs le procédé, dans une réponse publiée également par Mediapart : « Mediapart publie des échanges ou messages téléphoniques que j’ai pu avoir avec des journalistes piétinant sans vergogne le secret d’une instruction que je ne connais pas, étant précisé que je ne suis ni mise en examen ni témoin assistée dans aucune procédure judiciaire quelle qu’elle soit », écrit-elle.

« Peux-tu appeler NS ? Je t’embrasse »

Tout commence le 16 octobre 2020, quand l’ex-locataire de l’Elysée est une nouvelle fois mis en cause dans l’affaire libyenne. Ruth Elkrief, alors l’un des visages de la chaîne, envoie un texto à Véronique Waché. « Chère Véronique, je suis là, je pense à vous, et si vous avez envie de vous exprimer je suis à votre disposition, on peut monter ce que vous voulez ! Je t’embrasse fort et transmets mes amitiés à NS », écrit Ruth Elkrief, selon Mediapart.

Une demande qui intervient avant un moment clé du dossier. Le 11 novembre 2020, le sulfureux Ziad Takieddine, accusé d’avoir joué un rôle d’intermédiaire entre Nicolas Sarkozy et l’ancien dictateur libyen Mouammar Kadhafi, se rétracte et dédouane l’ancien président français, dans une courte déclaration diffusée par BFM. Sauf que ce revirement n’est pas sincère et s’est fait en échange de plusieurs centaines de milliers d’euros, selon un chiffre donné par les enquêteurs en avril 2023.

Et Mediapart dévoile comment, à ce moment-là, BFMTV se met en branle pour décrocher une interview exclusive de Nicolas Sarkozy. « Coucou Ruth peux-tu appeler NS ? Je t’embrasse », textote Véronique Waché le jour même. La journaliste parlera durant plus de neuf minutes avec l’ex-chef de l’État selon Mediapart.

S’ensuit un échange de messages entre Marc-Olivier Fogiel, le directeur général de BFMTV, et l’attachée presse, qui traduisent une relation de proximité et d’entente plus que cordiale. « En diffusion, quel moment te semble le mieux ? », questionne Véronique Waché. Réponse du patron de BFMTV, selon Mediapart : « S’il parle à Ruth, on le multidiffusera. Donc peu importe la première diff j’allais te dire mais il pourrait par ex 19h d’abord […] Ce serait quoi ton calendrier ? » Dans un autre message, Marc-Olivier Fogiel insiste, toujours selon Mediapart : « Il faudrait faire ça demain matin et bastonner dès que c’est prêt ».

« On lui donne du caviar et elle mégote »

Ce même 11 novembre, BFMTV est en édition spéciale sur la rétractation de Ziad Takkiedine : la chaîne invite ses meilleurs éditorialistes, sort ses plus beaux bandeaux (« Takieddine change de version, dédouane Sarkozy »). Sur le plateau, l’éditorialiste Bruno Jeudy s’exprime sur l’affaire. La journaliste judiciaire de la chaîne Sarah-Lou Cohen lui fait face, et se veut la plus mesurée possible : elle rappelle à l’antenne que « l’affaire ne repose pas essentiellement sur le témoignage de Ziad Takieddine », selon Mediapart.

Bruno Jeudy échange pendant ce temps-là en direct par SMS avec l’attachée presse de Nicolas Sarkozy. Il s’en prend à sa collègue journaliste, présente à quelques mètres de lui. « On lui donne du caviar et elle mégote », écrit-il à Véronique Waché, selon Mediapart, avant de la critiquer sur le plateau également. « Tu l’as bien mouchée cette nullos », répond Waché à Jeudy, toujours selon Mediapart.

« Excellent !!! Merci ma chère Ruth ! »

Le plus surprenant arrive après la diffusion de l’interview de Nicolas Sarkozy par Ruth Elkrief, le 13 novembre. Un échange qui a été particulièrement tendu, selon les articles de presse à l’époque - dont celui du HuffPost, qui retranscrit l’échange entre l’ancien président et la journaliste.

« Un ancien président de la République, qui a un téléphone caché avec un faux nom, alors les plus gentils vont dire : ’c’est une affaire de cour de récréation’ ; et les plus méchants vont dire : ‘c’est une affaire de voyous’. (...) C’est très étrange quand même ? », lançait alors Ruth Elkrief.

La réponse de Nicolas Sarkozy était cinglante : « Madame, faites très attention au vocabulaire que vous employez, parce que je ne suis pas quelqu’un qui plaisante. Donc vous ne parlez pas de moi comme un voyou, parce que moi je pourrais dire aussi qu’inviter M. Takieddine chez BFM comme vous l’avez fait, c’est une affaire de voyous. Donc mesurez votre vocabulaire, et les choses iront beaucoup mieux. »

Pourtant, Mediapart révèle que l’interview en question n’a pas déplu à Nicolas Sarkozy. Selon le site d’investigation, les figures de BFMTV s’assurent que l’ancien président était satisfait de son passage chez eux. « Ruth et Marco très satisfaits. J’espère que toi et le chef aussi », textote ainsi Arthur Dreyfuss, le directeur général d’Altice Media, propriétaire de la chaîne à Véronique Waché.

Elle répond : « Oh super !!! Oui tout s’est très bien passé ! Important moment me semble-t-il ! » Ruth Elkrief et Marc-Olivier Fogiel font la même chose et demandent à la collaboratrice de l’ancien président si les échos sont « bons ». « Excellent !!! Merci ma chère Ruth ! Émission décisive pour nous », répond-elle. « Sincèrement, je l’espère du fond du cœur », répond alors la journaliste, selon Mediapart.

Des SMS « maladroits, non destinés au public »

Des échanges qui, s’ils avaient vocation à rester privés, révèlent l’ampleur de la collusion entre des acteurs de premier plan de la vie politique et médiatique. Auprès de Mediapart, Marc-Olivier Fogiel s’est défendu en expliquant que « les équipes travaillent en toute indépendance ». « Sur la séquence visée comme pour le reste aucune consigne évidemment n’a été donnée », se justifie-t-il.

Bruno Jeudy indique que ces SMS ont été envoyés « à chaud », sont « forcément maladroits, et non destinés au public ». Enfin, Ruth Elkrief - dont Mediapart publie également la réponse intégrale - explique : « Je vois d’abord un rebondissement dans une affaire de première importance et c’est en tant que journaliste que j’y vois une opportunité professionnelle ».

Sur les réseaux sociaux, les réactions indignées se multiplient. Notamment en provenance de journalistes. Mais aussi (plus rarement) de politiques. Le député LFI Aurélien Saintoul considère « qu’il ne faut pas oublier comment BFM a pu rouler pour Sarkozy. Le système médiatique agit au service du pouvoir. »

Huffpost
https://www.huffingtonpost.fr/politique ... 36723.html
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Re: Faits divers

Messagepar Kim Nielsen » 11 Juil 2024, 09:44

Du coup, Fogiel se prend les syndicats sur le râble.

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Re: Faits divers

Messagepar Dragan » 11 Juil 2024, 09:45

Fait divers absolument horrible relaté par le Midi Libre :?

Information
Ivre, elle arrache un morceau du bras de sa mère avec ses dents

Ce mercredi 10 juillet, au tribunal correctionnel de Nîmes, la dernière affaire de la matinée se distingue à plusieurs titres. De par la violence extrême des faits reprochés tout d’abord, alors que l’élégante mise en cause de 48 ans debout dans le box comparait pour des

« violences aggravées » perpétrées sur sa propre mère de 79 ans. Mais aussi, en raison du profil particulièrement singulier de cette prévenue qui se distingue durant l’audience par son insertion sociale, son haut niveau d’études, ses revenus élevés ou encore son langage relativement élaboré. Le 9 juillet dernier dans la soirée, la police était amenée à intervenir à Bagnols-sur-Cèze chez une personne âgée. Celle-ci, qui héberge sa fille pour quelques jours, est recluse dans un coin. Manifestement gravement blessée. Alertés par le petit-fils de cette ancienne institutrice, les policiers viennent alors secourir une vieille dame frêle de 79 ans, victime a priori de la violence de sa propre fille. Une femme de 49 ans à l’allure BCBG, présente dans le logement à leur arrivée en état d’ébriété très avancé. Dans leur signalement au parquet de Nîmes, les policiers évoqueront, entre autres, les nombreuses traces de coups et contusions portées par la victime, dont des hématomes au visage, ou encore, le fait qu’ «

un morceau du bras de cette femme semble avoir été mangé ».

« Cette addiction aurait pu être fatale ! » Durant l’audience devant le tribunal correctionnel, la septuagénaire victime est absente de l’audience. Comme pour ne pas accabler par ses blessures sa propre enfant qui se tient, elle, debout dans le box des prévenus entre deux policiers. Interrogée par le président Perez, la quadragénaire mise en cause, docteure en génétique moléculaire dans l’un des plus grands laboratoires français, raconte, honteusement :

« Ce soir-là, j’éprouvais comme souvent un sentiment d’oppression. J’ai alors acheté puis bu en cachette une bouteille de champagne, entière. Mais cette sensation d’oppression continuait ! J’ai trouvé puis commencé à boire une bouteille de rhum jusqu’à ce que je me sente menacée… et puis… . j’ai perdu pied. Et ne me souviens plus de rien ! » Lisant, à son tour, le témoignage de la mère, le président poursuit :

« Ce soir-là, ma fille qui souffre depuis 10 ans d’une addiction à l’alcool a commencé à m’insulter, à me faire des reproches, à me suivre dans l’appartement avant de m’attraper par les cheveux dans le couloir. Déséquilibrée, j’ai alors chuté sur le sol. Elle m’a ensuite cognée de partout et m’a mordu le bras, extrêmement fort. ». «

Je suis un monstre, qui peut continuer à vivre après ça ? », interrompt la fille, abattue. «

Sur le bras de votre mère, il manque un morceau de chair, on le voit bien sur les photos », enchaîne le président. Dans ses réquisitions contre cette femme qui certifie aimer sa mère, la procureure Compan requiert une peine mixte de 18 mois de prison, dont dix fermes et huit autres assortis d’un sursis probatoire. «

À l’arrivée des policiers, la victime était marquée de-par-tout, de-par-tout !! Sur son bras il y a désormais une cavité », dénonce la magistrate s’adressant ensuite au tribunal :

« Face à un tel déferlement de violences, sa maman aurait pu y laisser la vie ! Il est urgent de marquer un coup d’arrêt net à cette addiction qui aurait pu être fatale à une femme de 80 ans. » Vers 13 h 30, la prévenue a été condamnée à une peine mixte de 18 mois de prison, dont 10 assortis d’un sursis probatoire et 8 autres ferme, sans mandat de dépôt. Échappant d’un cheveu à l’incarcération, la condamnée purgera donc cette partie ferme ultérieurement. Et, sous réserve de la décision du juge d’application des peines à venir, sous le régime de la semi-liberté ou de la surveillance électronique à domicile. Camille Salvador csalvador@midilibre.com La procureure Véronique Compan (ici dans la salle des assises), a requis une peine mixte contre la prévenue.

« Garder sa tête hors de l’eau » PLAIDOIRIE

« Pour beaucoup d’alcooliques, le travail c’est une bouée de sauvetage ! », a plaidé Me Alliez en défense. Entendue, l’avocate a permis à sa cliente – certes condamnée – d’échapper néanmoins à l’incarcération dès la fin de son procès.

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Re: Faits divers

Messagepar dxd92 » 11 Juil 2024, 11:49

Dragan, tu devrais prendre l'air un peu. Ce n'est pas pour faire du mauvais esprit hein.


Sinon, on voit bien que le problème le plus grave dans la société c'est le cannabis. L'alcool est festif uniquement (et rapporte énormément par un heureux hasard)
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Re: Faits divers

Messagepar peezee » 12 Juil 2024, 00:00

Joe Biden au sommet de l 'OTAN qui ce soir accueille Zelinskyi par un "le président Poutine"... (il s'est repris après)

Perso ça me fait plus du tout rire, je trouve qu'il a fait un super mandat le meilleur préz' US depuis bien longtemps, mais là avec Trump qui est en train de lui passer devant dans les sondages... :|

Conf de presse à laquelle i va participer vers 19h (donc 1h du mat' ici, dans 1h quoi), ça va être scruté mot par mot ils vont pas louper la moindre gaffe ou bizarrerie orale


"Well done. Religion has just killed another person"@DrHouse
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Re: Faits divers

Messagepar Dragan » 12 Juil 2024, 03:27

Il a aussi parlé du vice président trump et de devoir se coucher à 20h

Dur dur
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Re: Faits divers

Messagepar Kim Nielsen » 14 Juil 2024, 18:20

Écoutez donc les propos de ce psychiatre au sujet de l'affaire des 2 rugbymen accusés de viol et plus, en Argentine.
Bien entendu, c'est sur Cnews. Morandini.

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Re: Faits divers

Messagepar Kim Nielsen » 15 Juil 2024, 13:01

Je suis effondré ! Le blog complotiste France Soir perd son agrément CPPAP !

:bana:
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Re: Faits divers

Messagepar dxd92 » 15 Juil 2024, 15:27

Kezako ? Plus journalistique un truc du genre ?
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Re: Faits divers

Messagepar Kim Nielsen » 15 Juil 2024, 17:33

Dans la bonne section, c'est mieux ! :mrgreen:

Information
Désinformation : ces manquements déontologiques qui privent France-Soir de son agrément

Médias. Accusé de désinformation, le site n’est de fait plus considéré comme un titre de presse, et ne peut plus prétendre aux dons défiscalisés sur lesquels il reposait jusqu’à présent.

Coup dur pour France-Soir. L’ancien journal a perdu, ce lundi 1er juillet, l’agrément délivré par la commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) aux titres et services de presse. La CPPAP, institution présidée par un membre du Conseil d’Etat et constituée de représentants de médias, considère que l’entreprise n’est pas en mesure de répondre aux conditions nécessaires, notamment déontologiques, pour obtenir le statut d’entreprise de presse.

Fondé en 1944, ancien poids lourd de l’information dans l’Hexagone, ce qui n’est plus aujourd’hui qu’un site Internet se trouve aujourd’hui accusé d’être l’un des principaux relais de désinformation du pays. La CPPAP estime notamment que France-Soir "expose sous un jour favorable des conduites thérapeutiques et préventives qui sont susceptibles de détourner des malades de thérapies conformes à l’état actuel des connaissances scientifiques". Ce que l’entreprise conteste.

"C’est une décision importante, courageuse, mais nécessaire pour s’assurer du respect de la déontologie des titres de presse", estime Anne-Claire Marquet, directrice générale du Syndicat de la Presse Indépendante d’Information en Ligne (SPIIL), qui siège à la commission CPPAP. De fait, le site ne pourra donc plus prétendre aux aides à la presse, et surtout, aux dons défiscalisés autorisés au titre du soutien au pluralisme de l’information.

France-Soir dénonce de son côté une croisade à son encontre : "Devant cette nouvelle tentative de la CPPAP de porter atteinte au pluralisme des opinions et plus particulièrement dans ce qui s’apparente à du harcèlement contre notre média, France-Soir a décidé de faire appel de cette décision pour défendre la liberté de la presse et la liberté d’expression", est-il écrit sur le site, dans un communiqué publié le 1er juillet 2024.

Dirigé par Xavier Azalbert depuis 2016, l’ancien média a perdu tous ses journalistes et s’est mis à systématiquement épouser de nombreuses thèses contre-factuelles, de la "fausse pandémie" de Covid-19, à la "fraude" qui serait responsable de la défaite de Donald Trump aux élections américaines. En 2021, France soir a ainsi publié un article désignant plusieurs scientifiques français comme responsables de la crise sanitaire, et se terminant par : "La veuve [NDLR : le surnom de la guillotine] s’impatiente". Un article compris comme un appel à la décapitation par de nombreux scientifiques, signataires d’une tribune dans L’Express.

500 000 euros en quelques mois

Expulsé de Google Actualités, YouTube et de leurs réseaux publicitaires depuis lors, déserté par les annonceurs historiques, le site reposait jusqu’à aujourd’hui en grande partie sur des dons défiscalisés. Rien que de décembre 2020 à septembre 2021, le site avait récolté plus de 500 000 euros - un montant révélé par une enquête de L’Express publiée en mai dernier.

A chaque procès à son encontre, l’entreprise tirait parti de la polémique suscitée pour appeler à la générosité de ses lecteurs. Comme en juin dernier, où l’entreprise profitait des interrogations sur son agrément pour demander de nouveaux dons. Selon une ordonnance du tribunal administratif de Paris de janvier 2023, également révélée par L’Express, France-Soir serait au total financé à 92 % par des dons. La décision de la commission paritaire des publications et agences de presse pourrait donc gravement affecter le fonctionnement du site.

La décision de la CPPAP est le point d’orgue d’un affrontement judiciaire de plus d’un an et demi. Dès novembre 2022, l’agrément avait été retiré une première fois à France-Soir. La commission constatait alors l’absence du "caractère d’intérêt général quant à la diffusion de la pensée", l’un des critères nécessaires pour obtenir le statut. Mais le 13 janvier 2023, suite au recours de l’entreprise, le tribunal administratif de Paris a suspendu l’exécution de la décision, pour un vice de forme. Saisi par la ministre de la Culture d’alors, Rima Abdul-Malak, le Conseil d’Etat a finalement demandé en mars 2024 à la commission de réexaminer le cas de France-Soir. Un réexamen qui n’a pas été plus favorable.

D’autres procédures sont en cours contre le fondateur de France-Soir. En mai dernier, le vidéaste Thomas Durand, fondateur de la chaîne YouTube "La tronche en biais" a déposé plainte pour cyberharcèlement contre Xavier Azalbert, très influent sur les réseaux sociaux et suivi par plus de 60 000 personnes sur Twitter. Début juin, ce même Xavier Azalbert a été débouté de ses poursuites en diffamation contre le médecin urgentiste Mathias Wargon, qui n’avait pourtant fait que critiquer les provocations relayées par le site à l’encontre de la communauté scientifique, d’après la justice.

L'Express
https://www.lexpress.fr/sciences-sante/ ... CJ7IQY2NA/
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Re: Faits divers

Messagepar Dragan » 17 Juil 2024, 15:23

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Re: Faits divers

Messagepar Dragan » 17 Juil 2024, 16:50

Information
Dix ans après le génocide, le calvaire sans fin des Yézidis

La communauté yézidie, qui, faute de soutiens internationaux, peine à se reconstruire après les massacres perpétrés par Daech en Irak, craint de retomber dans l'oubli.

Jamais elles n'auraient imaginé franchir un jour les portes du musée des Beaux-Arts de Stuttgart, vénérable institution fondée en 1843 par l'empereur Guillaume 1er, et encore moins qu'une oeuvre puisse leur être dédiée. Un groupe de femmes yézidies vêtues de noir s'approche timidement de l'auditorium.

Ce 3 juillet, une sculpture en hommage aux survivantes du génocide dont furent victimes il y a dix ans les Yézidis d'Irak y est dévoilée, en présence de la plus illustre d'entre elles, Nadia Murad, Prix Nobel de la paix 2018. La statue représente une femme debout qui, d'un bras, protège son enfant, et, de l'autre, brandit la balance de la justice. Une allégorie des combats que mènent ces femmes. Quand le tissu qui recouvre la sculpture tombe, les survivantes éclatent en sanglots. Elles se serrent spontanément pour prier leurs disparus.

Se confronter avec son bourreau

D'une voix presque chuchotée, Nadia Murad raconte à l'assemblée, pour la énième fois, le traumatisme d'août 2014, lorsque les djihadistes ont fondu sur son village natal de Kocho. « Ils ont tué mon père, ma mère, mes frères. Ils nous ont capturées avec mes soeurs et nous ont soumises à une violence terrible. Je me souviens de ce sentiment de vulnérabilité et d'abandon, lorsqu'ils nous poussaient vers l'école où nous avons été séparés, tuant les hommes et les adolescents d'un côté, envoyant les femmes et les enfants de l'autre pour les vendre comme esclaves. Certaines de ces femmes ont pu s'échapper et ont donné un sens à leur survie », dit-elle.

Comme cette anonyme, appelée N., qui est venue spécialement d'Irak en 2023 pour se confronter, les yeux dans les yeux, avec son bourreau, six jours durant, devant la justice allemande, obtenant ainsi la reconnaissance par les juges du génocide de Sinjar. C'est ce témoin qui a inspiré l'allégorie exposée au musée.

Dix ans après les sévices infligés par Daech, Nadia Murad et nombre d'autres survivantes ont pu trouver refuge en Allemagne. Le pays accueille la plus grande communauté yézidie en dehors de l'Irak : au moins 250 000 personnes. Stuttgart, la capitale du Bade-Wurtemberg, a été pionnière. Dès les premiers mois qui ont suivi les massacres, elle a mis en place un programme d'aide pour prendre en charge près de 1 100 femmes et enfants yézidis victimes de Daech, dont Nadia Murad.

Persécutés par les islamistes, les Yézidis, minorité ethnoreligieuse kurdophone d'Irak originaire de la région de Sinjar, ont dû fuir vers le Kurdistan irakien, où ils se sont installés dans des camps.

« Se sentir en sécurité, protégées » est leur première victoire. Mais « le combat n'est pas terminé, prévient aussitôt celle qui est devenue la porte-voix de toute une communauté. La quête de justice, les réparations aux victimes, la recherche des disparus... Dix ans après, l'objectif reste incomplet. »

Cette jeune femme à la frêle silhouette et à la voix douce est aujourd'hui l'incarnation de la force, de la résilience, des femmes yézidies, « un exemple de courage et de dignité », salue Winfried Kretschmann, président du Land de Bade-Wurtemberg depuis 2012 et qui, depuis le début, a soutenu leur cause. « Elles se battent pour leur communauté, pour la justice, pour nous », rappelle l'élu écologiste devant un parterre d'officiels et de diplomates, parmi lesquels la rapporteuse spéciale de l'ONU sur les violences sexuelles dans les conflits, Pramila Patten.

« Ils l'ont mis à genoux et l'ont tué »

Farhad Alsilo avait 5 ans en 2007, lorsqu'il a perdu un de ses frères dans le terrible attentat-suicide qui a frappé son village yézidi de Qahtaniya et reste à ce jour l'un des pires carnages terroristes (796 morts). Cette date marque la fin avant l'heure d'une enfance « simple mais heureuse ». « Tout n'était plus qu'un tas de lambeaux de corps, ce fut le premier traumatisme familial », se souvient le jeune homme.

Mais le plus terrible survient en 2014, sept ans plus tard. Il a 12 ans. Les enfants dorment sur le toit de la maison pour échapper à la touffeur du mois d'août. « Au milieu de la nuit, des explosions et des flammes dans les villages voisins nous ont réveillés. » Par téléphone, un oncle les prévient : « Ils attaquent ! » Qui ? Les partisans du califat.

« Tous les voisins commençaient à fuir vers la montagne. Mais nous n'avions qu'une voiture pour une quarantaine de personnes, en comptant les familles de mes frères qui travaillaient à Erbil », se rappelle Farhad. Quand les djihadistes sont arrivés au seuil de leur porte, leur plan était précis. « Ils ont séparé les femmes de 14 à 40 ans et les enfants, qu'ils ont enfermés dans la cuisine. Je regardais dehors par la trappe d'aération. Ils ont demandé à mon père de se convertir à l'islam. Il a répondu qu'il préférait mourir. Ils l'ont mis à genoux et l'ont tué. »

Neuf autres hommes, ses oncles, cousins, le plus jeune âgé de 16 ans, sont abattus ou décapités. Les djihadistes emmènent ses grandes soeurs mais laissent derrière eux le reste de la famille. « Ma mère a décidé de partir à pied vers la montagne avec les trois enfants qui lui restaient. Nous la portions sur nos épaules. Il faisait plus de 40 degrés et nous n'avions pas d'eau. Nous avons passé huit jours dans la montagne. Cela nous a fait devenir adultes », dit Farhad.

Violées, martyrisées

Aujourd'hui, le jeune homme de 22 ans incarne la renaissance yézidie. Devenu un brillant étudiant en ingénierie mécanique à l'université de Stuttgart, il passe des heures chaque jour à la bibliothèque. Il a écrit un livre, un récit de son parcours traduit en plusieurs langues. Il parle allemand sans accent et veut mettre ses talents d'orateur au service de sa communauté.

À ses côtés, dans le salon de l'appartement familial, ses soeurs Zeytoun, Khawla et Basma mènent désormais « une vie de rêve en Allemagne », « libres de vivre en sécurité, de circuler librement ». Les deux premières sont arrivées à Stuttgart en 2015 avec le premier groupe de survivantes.À LIRE AUSSI Nadia Murad : « La violence nous a changés pour toujours »

En août 2014, elles ont été enlevées par Daech et revendues de combattant en combattant, abusées, martyrisées pendant des semaines. La plus âgée, Zeytoun, est encore marquée dans sa chair. Avant de parvenir à fausser compagnie à ses tortionnaires, cette femme de 32 ans a été si sévèrement battue qu'elle a eu le dos brisé et a perdu une partie de la vue et de l'audition.

Séquestrée avec d'autres jeunes filles, elle tentait de s'interposer à chaque fois que les djihadistes s'apprêtaient à violer celles qui n'étaient encore que de frêles adolescentes. « Nous avons d'abord pensé à toutes nous suicider, souffle-t-elle. Puis nous avons décidé de résister et de ne leur montrer que notre force. »

« Un traumatisme individuel et collectif »

Dès 2015, l'accompagnement psychologique de ces survivantes, lourdement traumatisées, est un pilier du programme mis en place par le Bade-Wurtemberg. L'un de ses architectes, le Pr Jan Ilhan Kizilhan, un Allemand d'origine yézidie, en saisit immédiatement l'importance. « Le traumatisme est à la fois individuel et collectif, transgénérationnel, et se renforce avec l'impunité. La thérapie doit inclure ces connaissances. Ce sont les rescapées d'un génocide, nous avons le devoir d'en faire plus. »

Le Pr Ilhan Kizilhan, à Berlin, le 3 juillet. Spécialiste des traumatismes, le psychologue, d'origine yézidie, dirige le programme spécial pour les femmes yézidies mis en place par le Bade-Wurtemberg.

© Amin Akhtar/Laif-Réa

Ces dix dernières années, il a soutenu et réparé ces femmes, pas à pas. Il se félicite que, sur le millier de survivantes, il ne compte « aucun suicide », et même une cinquantaine de mariages. « Le plus remarquable, dit-il, est que les femmes ont réussi à changer le paradigme sur l'honneur dans une communauté yézidie très patriarcale. La voix des Yézidis est désormais portée par les femmes. »

« La honte et la stigmatisation ne sont plus du côté des femmes », souligne Nadia Murad. C'est Jan Ilhan Kizilhan qui, en 2015, a proposé à Nadia d'aller plaider devant les Nations unies pour la première fois. « C'était l'une des seules qui parvenait à parler clairement et sans tabou. Il y a cette Nadia-là sur la scène, mais il ne faut pas oublier que c'est une survivante, avec ses traumatismes. Elle arrive à gérer les deux aspects, c'est sa force. »

À Sinjar, ruines et désolation

Une force qui manque parfois à Sara, une autre ancienne esclave de Daech. Depuis neuf ans à Stuttgart, elle a passé la plus grande partie de son temps sur un lit d'hôpital. En février 2015, après avoir échappé aux griffes des djihadistes et avoir échoué dans un camp de réfugiés du nord de l'Irak, elle avait tenté de mettre fin à ses jours en s'immolant par le feu. En Allemagne, elle a subi plus de 180 opérations chirurgicales pour tenter d'atténuer ses souffrances. Elle veut continuer à se battre malgré ce qu'elle ressent comme un abandon.

« Je suis une jeune femme de 27 ans, avec des buts dans la vie, étudier, travailler. Mais je me bats toute seule, j'ai perdu toute confiance », lâche-t-elle. Récemment, Sara a même envisagé de vendre l'un de ses reins pour financer les prochaines opérations qui lui permettraient de poursuivre sa reconstruction physique et psychologique.

Dix ans après le génocide, les Yézidis craignent de retomber dans l'oubli de la communauté internationale. « Depuis 2019, le soutien financier à nos projets s'est réduit », note le Pr Kizilhan, qui a dû renoncer à faire venir plusieurs dizaines d'enfants du génocide à Stuttgart. La majeure partie de l'aide européenne s'est concentrée sur les camps de réfugiés, que l'Irak a annoncé vouloir démanteler, tandis que la région de Sinjar demeure largement inhabitable faute de logements et d'infrastructures.

« C'est un génocide après le génocide », déplore le psychologue. Ceux qui sont retournés à Sinjar après sa libération en 2017 - quelques dizaines de milliers de personnes - n'y ont trouvé que ruines et désolation. Le berceau des Yézidis reste une région disputée entre Arabes et Kurdes irakiens, où la sécurité demeure précaire et où les milices ont imposé leur loi. La reconstruction des infrastructures progresse trop lentement.

Des manifestations islamistes pour la charia

D'un autre côté, l'accueil des réfugiés par les pays occidentaux se fait encore au compte-gouttes, laissant des familles déchirées et des survivants abandonnés à leur douleur. L'Allemagne menace de renvoyer 20 000 Yézidis arrivés illégalement. L'Irak, estime Berlin, serait devenu un pays sûr !

Les djihadistes y sont pourtant actifs, et la menace a même repris de la vigueur. « Quel manque de considération ! », s'insurge Farhad. L'un de ses frères est arrivé clandestinement en payant des passeurs. L'idée d'un retour vers l'enfer plonge ses soeurs dans l'angoisse.

À LIRE AUSSI Dix ans après, des femmes et des enfants yézidis encore aux mains de Daech Les Yézidis se retrouvent pris entre deux feux. D'un côté, l'Allemagne, qui durcit les conditions d'accueil et où le racisme s'exprime parfois. De l'autre, la présence de plus en plus visible de militants islamistes radicaux, qui les inquiète tout autant. « L'Allemagne compte de grosses communautés arabes et turques. Les autorités permettent des manifestations islamistes pour le califat, pour l'application de la charia... C'est une honte, pourquoi laissent-elles faire cela ? », reprend Farhad. Chaque fois qu'elles voient ou entendent ces slogans islamistes, ma mère et mes soeurs sont replongées dans des flash-back qui les terrorisent. »

De notre envoyé spécial en Allemagne, Guillaume Perrier

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Re: Faits divers

Messagepar gigi » 17 Juil 2024, 17:48

Dragan a écrit:

Oui mais selon Guy Roux c'était un bon joueur de foot.
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Re: Faits divers

Messagepar John » 17 Juil 2024, 18:28

Franchement il était vraiment à part l’abbé… il pouvait pas juste se taper des gosses comme les autres ?
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Re: Faits divers

Messagepar gigi » 17 Juil 2024, 19:39

:lol: :oops:
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