Faits divers

Finalement, c'était un sale quoi ?

Àmandonné, faut arrêter de faire monter l'aïoli sur n'importe quoi.

Des sales "blanc", "arabe", "noir", "muslim", "juif", "yougo", "portugais", "métro", "chabin", "bushinéngé" (je reconnais que les trois derniers sont plus courants dans certains territoires ultra-marins) il y en a tous les jours dans les cours de récréation depuis toujours.

Un viol oui c'est quelque chose de très sérieux. Là ... par contre ...

C est sur , ça ne montre pas du tout le climat dans lequel est tombé la France...

Si on peut plus insulter les gens sur leur religion dans la rue, ou va t'on

A force de tolerer l'intolerable, on permet a l'inommable d'arriver.

IL y a quand même lieu de distinguer des insultes publiques faites par des majeurs de celles faites par des minots de 10 ou 11 ans ...

Effectivement lorsqu'un media non marginal commence à faire des articles sur des insultes de cours de récré et à les rapprocher de mouvements politiques il y a lieu de se se poser des questions quant à l'aspect apaisé de la situation actuelle en France.

D'ailleurs on discute singulièrement peu des programmes des différents partis, cela ne vous touche-t-il pas au moins un chouïa ?

Non mais bets relativise, franchement tu en fais des tonnes pour pas grand chose. Puis en plus toi t’as déjà quitté le pays donc bon

effrayant

effrayant aussi comme l'histoire n'est qu'un disque raye

Qui aurait pû prédire que répondre à la barbarie par de la barbarie engendrerait ce genre de conséquences

dxd92, tu mets sur le même plan le pogrom du 7 octobre et l'action militaire (disproportionnée et aux conséquences horribles amplifiées par la tactique du Hamas d'utiliser la population palestinienne comme des boucliers humains chair à canon, mais comme tu dis, qui pouvait s'y attendre ?) ? Et tu es en train de justifier les actes ignobles antisémites en France là ?

Àmandonné, faut arrêter de faire monter l'aïoli sur n'importe quoi.

Des sales "blanc", "arabe", "noir", "muslim", "juif", "yougo", "portugais", "métro", "chabin", "bushinéngé" (je reconnais que les trois derniers sont plus courants dans certains territoires ultra-marins) il y en a tous les jours dans les cours de récréation depuis toujours.

Un viol oui c'est quelque chose de très sérieux. Là ... par contre ...

Les violeurs de la petite de 12 ans de Courbevoie ont entre 12 et 13 ans et l’ont traité eux aussi de sale juive, alors la cour de récréation….

Information

«On sent une haine dans son regard» : qui sont les deux mineurs de 13 ans suspectés du viol antisémite d’une jeune fille de 12 ans à Courbevoie ?



Fugues, incivilités, déscolarisation... Les deux adolescents de 13 ans, livrés à eux-mêmes, connaissaient une dérive inquiétante.

C'est un môme perdu et très influençable, il a un pète au casque », lâche une habitante sur le pas de sa porte à propos de son voisin âgé de 13 ans. « On voit qu'il est mal dans sa peau. On sent une rage et une haine dans son regard », poursuit-elle, évoquant sa propension à « claquer les portes » dans la résidence.

Cet adolescent est l'un des deux mineurs suspectés d'avoir violé Axelle*, 12 ans, dans un local désaffecté à Courbevoie (Hauts-de-Seine). La plaignante dénonce également des propos antisémites (« sale Juive ») tenus lors de son agression. Deux mineurs de 13 ans ont été mis en examen et écroués. Un troisième mineur de 12 ans fait quant à lui l'objet d'une mesure éducative judiciaire provisoire prévoyant son placement dans un foyer de la protection judiciaire de la jeunesse.

Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime aurait eu une « amourette » avec le mineur de 12 ans qui, après avoir appris que la jeune fille était de confession juive, serait entré dans une colère noire. Elle lui avait en effet initialement fait croire qu'elle était musulmane. Selon les dires d'Axelle, cette diversion avait pour but de « se protéger » et d' « éviter toute agression » . Les investigations ont par ailleurs permis de retrouver des images à caractère antisémite, dont une photo d'un drapeau israélien brûlé, sur le téléphone d'un des suspects.

Dans la petite résidence HLM du nord-ouest de l'Île-de-France où vivait un des suspects avec sa mère, les langues se délient. Ici, certains habitants ont évidemment entendu parler du viol sordide de Courbevoie sur les chaînes d'info en continu. « Qu'est-ce que des enfants foutent dehors à 12 ans ? Il n'y a plus d'autorité » , fulmine une voisine. L'implication de leur voisin ? « Ça ne m'étonne pas du tout qu'il soit dans ce genre d'histoires », poursuit-elle. « Je ne suis pas surpris, je l'ai vu mal évoluer » , abonde un résident, décrivant « une petite frappe mal éduquée qui ne dit ni bonjour ni au revoir ». D'autres, à l'inverse, se montrent très surpris. « Je le croise parfois quand il fait du vélo. C'est un gamin normal. Il n'a pas l'air turbulent. Si on devait donner le bon Dieu sans confession à quelqu'un, ce serait à lui » , explique un voisin qui peine à imaginer l'implication de ce blondinet dans des faits aussi sordides.

Une chose semble établie : la famille de l'adolescent était connue dans l'immeuble pour ses incivilités et son manque de savoir-vivre. Disputes et hurlements dans l'appartement, crottes de chien non ramassées, encombrants laissés dans les parties communes, « jeux » à vélo et en trottinette sur le parking... « Ce sont des gens particulièrement mal élevés qui vivent sans se soucier des autres » , résume un habitant.

Mauvaises fréquentations

Le voisinage évoque aussi l'environnement familial instable dans lequel ce petit dernier d'une fratrie de trois frères et une soeur a grandi. Trois des enfants sont « issus » du même père, le mis en cause d'un autre homme parti du domicile il y a plus de dix ans. La mère a donc élevé seule ses quatre enfants. Et selon plusieurs témoignages concordants, cette femme, qui travaille dans le secteur de l'aide à la personne, aurait subi des violences de la part de ses ex-maris - violents et alcooliques -, mais aussi de ses propres enfants. « Il tapait sa mère » , assure une voisine. Cette situation aurait conduit les policiers à intervenir au domicile à plusieurs reprises pour protéger la mère de famille.

« Elle essaie de s'en sortir mais elle est totalement dépassée, elle n'a aucune autorité sur lui », explique une autre source. Déscolarisé, l'adolescent était en conflit ouvert avec sa mère. Cette dernière souhaitait en effet déménager en province avec lui pour « l'éloigner de ce carcan ». Mais le jeune garçon y était farouchement opposé. Face à une juge pour enfants, il aurait même déclaré qu'il préférait aller dans un foyer plutôt que de suivre sa mère. Preuve de ces tensions, il avait aussi fugué à plusieurs reprises. Il pouvait alors s'évaporer dans la nature pendant plus de quinze jours sans donner aucune nouvelle.

L'adolescent avait, semble-t-il, de mauvaises fréquentations. Selon nos informations, il aurait déjà été placé en garde en vue et aurait été mis en cause dans une affaire de vol de scooter. Le garçon de 13 ans n'était néanmoins pas connu comme un délinquant notoire, selon la mairie de Rueil-Malmaison. « Il n'était pas dans le viseur de la mairie pour des faits répétés, contrairement à certains jeunes qui font l'objet d'un focus » , fait-on savoir. Était-il connu pour son antisémitisme ? Difficile à dire à ce stade. Converti à l'islam, il acceptait en tout cas très mal l'homosexualité d'un de ses frères, indique-t-on de sources concordantes. L'autre suspect, 13 ans également, vivait de son côté dans un foyer du nord-ouest de l'Île-de-France. Cet adolescent aux cheveux noirs mi-longs faisait partie de la petite trentaine de jeunes de 12 à 17 ans accueillis dans une belle bâtisse de briques rouges, située dans une rue calme.

« Lors de leur interrogatoire de première comparution, les mis en cause ont fait de brèves déclarations spontanées, exprimant des regrets vis-à-vis de la victime, sans aborder leur implication dans les faits », soulignait mercredi le parquet de Nanterre. « Un de suspects a un profil inquiétant par rapport aux autres, il n'a pas conscience de la gravité de son acte » , confie une source proche du dossier. Les deux mineurs risquent 20 ans pour le viol aggravé, 10 ans si l'excuse de minorité est retenue. Contactées, les avocates des suspects « appellent à la mesure afin que l'instruction puisse se poursuivre sereinement » . G.P.

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/on ... ce=Twitter

C'est malheureusement tous les jours désormais

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Paris : six mineurs de confession juive agressés à la sortie d’un cinéma

Trois individus ont proféré des insultes antisémites et giflé à plusieurs reprises un des mineurs, samedi soir dans le 17e arrondissement.

Six mineurs de confession juive ont été agressés verbalement et physiquement samedi 22 juin peu après 22h, à proximité de la place de Jérusalem et du centre européen du judaïsme (Paris 17e), a appris Le Figaro de source policière.

Selon nos informations, les six mineurs sortaient d’un cinéma situé dans le centre commercial «So Ouest», à Levallois-Perret (Hauts-de-Seine). Puis ils ont été pris à partie sur le chemin du retour par trois individus. Ces derniers sont suspectés d’avoir proféré des insultes à caractère antisémite et giflé à plusieurs reprises un des mineurs.

«Une enquête de flagrance des chefs de violences ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à 8 jours commis en réunion et à raison de l'ethnie ou de la religion, et injures publiques en raison de la religion a été confiée au commissariat du 17ème arrondissement», confirme au Figaro le parquet de Paris. «Je condamne l’agression physique à caractère antisémite dont ont été victimes plusieurs jeunes mineurs hier soir (...) J’ai fait le point avec le commissariat qui a confié l’enquête à la Sûreté territoriale», a réagi sur X le maire du 17e arrondissement, Geoffroy Boulard.

https://www.lefigaro.fr/faits-divers/pa ... a-20240623

Antisémitisme décomplexé encouragé par les discours de certains...

Les 3 connards qui ont fait ça doivent être jugés immédiatement et punis bien comme il se doit. Amant donné on finira bien par décourager ces actes, non ? Ou alors on est totalement dépassés ?

Une vie detruite https://rmc.bfmtv.com/actualites/police ... _brand=RMC

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Au Soudan, les ravages de la guerre civile dans le silence international

Les combats, qui s’étendent, risquent de faire sombrer le pays dans la pire des crises humanitaires.



Les janjawids, « les diables à cheval », ont délaissé leurs montures depuis très longtemps. Mais ces miliciens, en majorité arabes, responsables du génocide contre des ethnies africaines du Darfour il y a vingt ans, commettent à nouveau des crimes de masse. Tueries de civils, violences sexuelles... À bord de pick-up, ils foncent dans les villages et les villes, pillent les stocks de nourriture, détruisent des marchés aux bestiaux, incendient des maisons de cette région de l'ouest du Soudan, grande comme la France.

Ces miliciens forment aujourd'hui le cœur des Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohammed Hamdan Daglo, dit « Hemetti », opposées aux forces armées soudanaises (FAS) du général Abdel Fattah Abdelrahman Al-Bourhane. Les FSR sont près de contrôler tout le Darfour. Il ne leur manque que la ville d'El-Fasher, seule capitale de la région - comptant cinq États - qui résiste encore.

Dix millions de déplacés

Quatorze mois après le déclenchement de la guerre civile entre les deux armées, le 15 avril 2023, les atrocités commises contre la population et le risque de famine passent presque inaperçus. Pourtant, le conflit aurait fait au moins 100000 morts, d'après des estimations d'experts et de membres d'ONG. Selon le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, 7,2 millions de Soudanais ont dû quitter leur maison.

Avec les 2,8 millions déjà déplacés à la suite des précédents conflits, c'est près d'un quart des 44 millions d'habitants qui le sont aujourd'hui dans leur propre pays ou sont réfugiés chez les voisins, le Tchad et le Soudan du Sud. « Le Soudan est marqué par l'une des pires crises que le monde ait connues depuis des décennies, et la réponse humanitaire est profondément inadéquate », a écrit jeudi sur X le président international de Médecins sans frontières (MSF), Christos Christou. « Ce conflit, d'une violence inouïe, est conduit sans aucun respect des civils et du droit humanitaire », précise Michel Lacharité, responsable des opérations d'urgence de MSF France.

À El-Fasher, la ville assiégée par les FSR, l'ONG a été témoin ce dernier mois de la fermeture de deux établissements hospitaliers où elle opérait. « Le 8 juin, les FSR sont entrés dans l'hôpital Sud, ont ouvert le feu, pillé la pharmacie, la caisse de l'administration de l'hôpital et une ambulance de MSF, détaille le responsable au sein de l'ONG.

Le 11 mai, un bombardement aérien des FAS à côté de l'hôpital pédiatrique a entraîné l'effondrement du toit et tué deux enfants et un soignant. » Face aux FSR de Hemetti, les FAS d'Al-Bourhane usent en effet d'artillerie et de bombardements aériens pour essayer de désenclaver certains de leurs bataillons. Et peu importe le nombre de victimes civiles directes. « Les forces armées soudanaises utilisent aussi depuis des décennies la famine comme méthode de guerre pour tuer les personnes qui ne sont pas sous leur contrôle, affirme Kholood Khaïr, directrice du think tank Confluence Advisory. Elles empêchent aujourd'hui l'acheminement d'aide humanitaire du Tchad vers les populations civiles du Darfour. »

Seul espoir de répit, les pluies

Nouveauté dans cette guerre civile, c'est tout le pays qui est touché par les combats, la capitale, Khartoum, l'État d'AlJazirah comme la région du Kordofan. « On peut parler de longue descente aux enfers, remarque un expert qui connaît le pays depuis plus de vingt ans et préfère rester anonyme. Je n'ai jamais vu une telle faillite d'un État. Cette guerre s'ajoute à de multiples crises. Il y a, de plus, un renfermement des Soudanais sur leur communauté tribale. C'est très inquiétant pour l'avenir. »

Le conflit entre les FSR et les FAS se double en effet de rivalités tribales, de rancœurs historiques et de luttes pour l'accès aux ressources minières et pétrolières du pays. Hemetti est un fils de chamelier originaire du Darfour, région périphérique délaissée, et Al-Bourhane, le rejeton de l'élite traditionnelle riveraine du Nil, proche des islamistes au pouvoir sous la dictature d'Omar Al-Bachir (1989-2019). Le premier est soutenu par les Émirats arabes unis, la Libye et les Russes de Wagner, le second par l'Égypte, l'Iran et le Qatar.

Aucun acteur international n'a réussi à forcer les belligérants à négocier un cessez-le-feu, malgré le risque de famine. Le climat pourrait-il le faire ? La saison des pluies vient d'arriver, celle des inondations ne va pas tarder. « Les FSR se battent principalement au sol, analyse Kholood Khaïr. Les offensives terrestres vont devenir plus difficiles avec les inondations. Les généraux devraient donc porter leur guerre à la table des négociations. »

La Tribune

Dragan, +1. On n'en parle pas assez.

Le monde est dans un sale état.

fourcroy, apparemment Arthur de Watrigant et Céline Pina prépare une intervention sur le sujet ce midi : "Les Ganjaweeds du Soudan, des membres du NFP se cachent sous les robes de chambres!).

Dommage que tout le monde s'en branle , ca aurait pu être rattrapé par LFI pour leur apporter plus de voix

oukimaya, oui c'est sur, soutenir les "diables à cheval" c'est payant électoralement.

le Soudan tout le monde s'en branle malheureusement, Si ca n'etait que la LFI par calcul electoral ce serait bien, mais la meme l'aide humanitaire semble ne pas etre une priorite

dxd92, tu mets sur le même plan le pogrom du 7 octobre et l'action militaire (disproportionnée et aux conséquences horribles amplifiées par la tactique du Hamas d'utiliser la population palestinienne comme des boucliers humains chair à canon, mais comme tu dis, qui pouvait s'y attendre ?) ? Et tu es en train de justifier les actes ignobles antisémites en France là ?

T'as un problème certain niveau réflexion pour sortir ça. Continue à t'abreuver sur BFM.