superolive a écrit:iamaseb, tu parles finalement beaucoup de décroissance dans tes posts.
Tu nous parle du capitalisme, de la répartition des richesses. Soit.
Même si l'offre créé la demande, avec toutes les pubs, le marketing de masse, au lieu de s'attaquer à la production faudrait peut être s'attaquer aux consommateurs non ? Toi comme moi on n'est pas focalisés sur le dernier iphone12 ou d'autres produits à 2 balles...Mais comment changer le comportement des consommateurs ?
Déjà par honnêteté, et tu l'as déjà fait remarquer dans le passé concernant ma télé (qui marche tjs très bien ^^), me concernant je suis quand même assez technophile et donc je consomme quand même des produits "de merde", sans doute plus que toi visiblement, et sans aucun doute trop.
Mais ce que je dénonce ici, est plus large que l'attitude du consommateur, qui dans notre société reste pour beaucoup la conséquence du choix de société de production.
Surtout quand on met sur le même plan la consommation de produit et service annexe et des produits et services vitaux.
Comme j'ai pu le dire à mainte reprise, les inégalités et donc la richesse des quelques uns se fait dans le processus de production. Toute remise en cause de la production et donc de la croissance peut déboucher sur l'arrêt des privilèges de certains.
Ceux la même qui financent les publicités et acquièrent un monopole d'investissement.
C'est ça le problème aujourd'hui.
Tu as raison sur les changements a apporter du côté des consommateurs, et ca va pas être facile pour des gens comme moi, mais cela passe nécessairement par une refonte du modèle de production et donc des privilèges.
Comme dit Bib, l'éducation fait parti de la solution, sachant que le propre de l'Homme est de pouvoir offrir une meilleur éducation qu'il n'en a reçu, mais cela passe par l'intérêt générale, aujourd'hui encore plus qu'hier.
L'arbre est mort, impuissant mais lucides, nous regardons les feuilles tomber, les unes après les autres.
ce gouvernement
Le taux d'activité quand le travail rémunère en deçà de ce qu'on peut légitimement partager en terme de richesse est davantage un taux d'exploitation qu'autre chose.
