MassaliaLive.com

[pretender]

Kolbeeeeee

Bon, belle victoire des Sudafs, félicitations à eux. Forts dans le défi physique et les plus à même de créer du jeu dans ce match, les Français devraient s'en inspirer.

Bien tapé pour les Anglais qui se voyaient sans doute déjà champions avant l'heure après leur victoire contre les Néo-Zélandais.

[pretender]

Finale à sens unique, les bodybuilders ont manger du rosbeefs, ils ont pris 30 points...

C'était quand même assez serré jusqu'à la 60e-55e.

[Thor]

Bib, les rugbymen prennent les même produits si ça peut te rassurer, même les français. Pourtant, ils sont tout pourris

[Bibpanda]

C'est pas dit que cela soit les mêmes.
Je voudrais bien avoir leurs bilans sanguins sous les yeux.

[Thor]

Bibpanda, gh, stéroides, clenbuterol etc... Ce qui change ça va être le dosage journalier/hebdo. De plus, pour l'image, globalement une fois congestionné après leur séance de muscu, globalement les muscles doublent de volume. Les Français prennent aussi des produit. Il suffit de regarder rien que le pack d'avant torse nul. Tu verras des abdos bien apparents alors qu'ils sont pas secs et qu'ils ont un bide. C'est l'effet de la GH.

Pour la photo que tu mets il y a aussi aucun doute : un pillier avec de gros abdos apparents, la quasi totalité des joueurs avec de grosses épaules et de gros trapezes. C'est ce qu'on appelle le sport de haut niveau mais le dopage tout le monde s'en fou.

PS : il a été testé que prendre des stéroïdes pendant deux mois sans faire aucune musculation te faisait prendre entre 2 et 5 kgs de muscle sans aucune graisse.... D'ailleurs, il faut "comprendre" les joueurs : le dopage fait quasi voir autant de dégats à moyen / long terme que l'alccol ou la clope, l'effet positif en moins. Le rapport gain/risque est bien plus intéressant, d'autant plus qu'ils sont tous suivis par des médecin qui connaissent tous les protocoles pour réduire les risques (nettoyer le foie etc).

[Bibpanda]

On prend pas les mêmes trucs, sinon Camille Lopaz ne ressemblerait pas à un petit goret.

[Thor]

Bibpanda, lui ne suit pas sa cure

[Dragan]

Information

Boudjellal

passe la main

Le président toulonnais ne sera plus propriétaire du club varois à partir de demain, au profit de l’homme d’affaires Bernard Lemaître. Ce sera officialisé lundi. DE NOTRE ENVOYÉ SPÉCIAL

ARNAUD REQUENNA TOULON – Mourad Boudjellal ne sera plus propriétaire du Rugby Club Toulonnais à compter de demain. Selon nos informations, l’officialisation interviendra lundi, puis  l’ensemble du personnel sera réuni mardi pour avoir la confirmation que Bernard Lemaître, 80 ans, est devenu l’actionnaire majoritaire. Il posséderait au moins 65 % des actions du club, via sa holding la Financière de La Seigneurie.

Lemaître, un pied-noir installé à Marseille et qui a fait fortune dans la fabrique de poches en plastique pour les perfusions, est entré au RCT en juin 2018. Il possédait alors 25 % des parts du club et avait injecté immédiatement 4 millions d’euros. Cet été, après une première recapitalisation, il est monté à 44 %. Avant que le conseil de surveillance du RCT vote, début novembre, une nouvelle augmentation de capital actant, cette fois, son contrôle sur la majorité du club. Une clause de confidentialité contraint Lemaître et Boudjellal au silence jusqu’à demain.

Le président varois candidat à la LNR ?

Ce changement marquera la fin d’une époque, même si Boudjellal devrait, selon nos informations, conserver la présidence du club cette saison. On lui prête aussi l’intention de viser (comme en 2016, où il avait échoué) la tête de la Ligue nationale de rugby, en 2020 ; dans son entourage, certains le poussent à faire campagne tôt pour bien expliquer ses idées et gommer son déficit d’image chez ses pairs.

Boudjellal, qui avait acheté – à parité avec le restaurateur Stéphane Lelièvre, avant de lui racheter ses 25,5 % de parts un an plus tard – le RCT relégué en Pro D 2 en mai 2006, en a fait une réussite exceptionnelle : trois Coupes d’Europe (de 2013 à 2015), un Brennus (2014), des vedettes enchanteresses (Umaga, Giteau, Nonu, Wilkinson, Botha, etc.). Mais depuis deux saisons son modèle s’est essoufflé et il ne peut plus suivre financièrement. Le grand RCT à la sauce Mourad foutu ? Il s’agaçait, jurait que non.

Pourtant, à relire l’interview que Bernard Lemaître nous avait accordée le 12 décembre 2018, on comprenait que ce dernier n’était pas venu jouer les papys gâteaux : « J’ai souhaité qu’on fasse un grand nettoyage, qu’on remette tout à niveau. […] Ce nettoyage coûte cher. »

Lemaître a d’abord investi dans « la fabrique à champions », le nouveau centre d’entraînement au stade Ange-Siccardi, qui devrait ouvrir en juin 2020. « J’ai donné une date, on la tiendra ; mes usines ont toujours ouvert au moment annoncé », nous confiait-il il y a quelques mois. Très carré, pragmatique, calme, il est l’antithèse d’un Boudjellal flamboyant, ardent. Au fil du temps, et les joueurs encore présents ou partis du RCT nous l’expliquaient unanimement : « Bernard a pris la main sur Mourad. » Lemaître rencontrait les futures recrues avec le président, discutait des prolongations de contrat. Les joueurs comme les petites mains du club lui reconnaissent une grande qualité : son management humain. Boudjellal, lui, timide, consacre peu de temps aux employés. Ce n’est pas son truc, il l’admet. Il aura plus de mal, évidemment, à digérer le fait de ne plus être le patron du RCT, qu’il a sauvé. En interne, on le dit attristé. On l’a d’ailleurs constaté lors de la présentation d’Eben Etzebeth. Hier, le Springbok dont il rêvait depuis quatre ans était assis à côté de Lemaître, qui lui traduisait des propos. Boudjellal était à la gauche de ce dernier. Et on l’a très peu entendu. Déjà le début d’une autre histoire.

Information

Eben Etzebeth « JE NE VEUX PAS ÊTRE VU COMME UNE SUPER STAR »

Le deuxième-ligne sud-africain, présenté hier après-midi au siège du RC Toulon, a accordé une interview à « L’Équipe » jeudi, à l’occasion de sa première soirée en France. Il est revenu sur son choix de jouer en Top 14 et ses ambitions dans le Var. De notre envoyé spécial

Arnaud Requenna Toulon – Pour sa première soirée toulonnaise, jeudi, Eben Etzebeth n’a pas connu de dépaysement. Dans un restaurant du Mourillon où nous l’avons retrouvé, il s’est attaqué à de solides côtes de bœuf tout en discutant en afrikaans, sa langue maternelle, avec Marcel Van der Merwe, le pilier droit du RCT.

Les deux hommes sont tombés dans les bras l’un de l’autre : sur ses sept sélections avec les Springboks, Van der Merwe en a connu six avec Etzebeth juste derrière lui. Ça tisse des liens. Très vite, le récent champion du monde avec l’Afrique du Sud, fantasme de Mourad Boudjellal depuis des années, a demandé des renseignements sur le club pour ne pas perdre de temps. « Premier numéro de téléphone que tu dois récupérer, celui de Justine, la team manager », a répondu Van der Merwe.


 Welcome @EbenEtzebeth ! Notre champion du Monde est arrivé 朗 pic.twitter.com/BiaY5aJind
— RCT - RC Toulon (@RCTofficiel) November 28, 2019 Arrivé du Cap trois heures plus tôt à l’aéroport de Marseille, où le président Boudjellal l’attendait, Eben Etzebeth est de bonne humeur. Il évoque sa villa face à l’océan au Cap, la nécessité pour lui de vivre le plus souvent près de la mer, « même si je ne surfe pas car je suis trop lourd  ! ». Belle gueule, voix grave, il a accordé sa première interview de joueur toulonnais (il le sera officiellement dimanche) à L’Équipe, avant d’être présenté au siège du club, hier. Entre-temps, il a pris possession de sa maison en bord de mer.

« Vous êtes le septième Springbok champion du monde à rejoindre le RCT (*)... C’est agréable d’arriver à Toulon après des gars comme Bryan (Habana), Bakkies (Botha), Victor (Matfield)… J’ai bien sûr discuté avec eux de Toulon, du club. Et aussi beaucoup avec Duane (Vermeulen), avec qui je joue en sélection, qui n’avait pas encore gagné la Coupe du monde lorsqu’il jouait ici. Au Japon, pendant le Mondial, j’ai croisé de nombreux ex-Toulonnais comme Wilkinson, Nonu… On a échangé et j’ai écouté tout ce qu’ils me disaient.

Ce n’est pas votre première expérience à l’étranger, vous avez joué au Japon après la Coupe du monde 2015. Pourquoi la France, pourquoi Toulon cette fois ? J’ai effectivement joué au Japon en 2015. Mais, depuis longtemps, quand j’étais un plus jeune joueur et que je regardais les matches de Toulon, c’était l’équipe qui me plaisait, avec toutes ces superstars. On ressentait quelque chose dans ce groupe, qui a remporté trois fois la Coupe d’Europe de suite (2013,2014,2015). Je me disais que faire partie de cette équipe spéciale devait être quelque chose. Pour ce nouveau départ d’Afrique du Sud, j’ai pensé que ce serait la meilleure destination pour moi à l’étranger.

Les gens à Toulon aiment, adorent plutôt, les joueurs rudes comme vous. Bakkies Botha, par exemple, était un dieu à Mayol… Oui, je sais ça. J’ai compris que les supporters ici aiment les gars comme Bakkies, Duane, d’autres Sud-Africains. C’est bien, et je suis heureux de m’inscrire dans cette lignée au RCT.

Le rugby français, actuellement, est en quête d’identité. Quand on voit jouer les Springboks, qu’ils gagnent ou qu’ils perdent, ils sont toujours les mêmes… Définitivement. Chez les Springboks, traditionnellement on joue physique. Il y a deux, trois ans, on perdait beaucoup de matches, on n’était pas bons, mais on a gardé notre ligne. La France, puisque vous en parlez, est une bonne équipe qui peut bien jouer, trouver son style.

Tout le Top 14 attend de vous que vous jouiez comme un grand Springbok, physique, rugueux. Vous savez cette impatience ? Je comprends ça, évidemment. Tous les gars de la sélection, pendant la Coupe du monde, parlaient de cette attente de nos nouveaux clubs, que ce soit Handré Pollard à Montpellier ou moi. On savait exactement ce qu’on attendait de nous en France : être performants, montrer à nos nouveaux clubs le meilleur de nous-mêmes en restant nous-mêmes.

Qu’avez-vous fait depuis le succès en Coupe du monde, le 2 novembre ? Beaucoup de célébrations ! Mais j’ai aussi passé beaucoup de temps en famille, avec mes parents et mes frères, ma petite amie, car je savais qu’un mois plus tard je partais pour Toulon. J’ai passé du bon temps, c’était sympa mais, maintenant, je reprends le business. Il me tarde de rejouer, dès le week-end prochain.

Qu’attendez-vous de cette expérience toulonnaise ? Gagner des titres ? Oui. Pendant le Mondial, et après, j’ai suivi le parcours de Toulon, son classement en Top 14, le Challenge européen. Je m’attends à jouer des matches durs chaque week-end, avec l’objectif de jouer le Rugby Championship l’année prochaine avec les Springboks. Je ne suis pas là seulement pour jouer, mais pour gagner. Ça va être bien, j’en suis persuadé.


 Pas mal ce maillot non @EbenEtzebeth ? 朗 pic.twitter.com/S2DHlsvPJe
— RCT - RC Toulon (@RCTofficiel) November 28, 2019 Vous avez seulement 28 ans et vous venez de remporter la Coupe du monde. Toulon, ce sera pour vous des vacances, du bon temps ? Non, non, non (il rit). Je veux évidemment continuer à jouer pour l’Afrique du Sud, jusqu’en 2023, pour essayer de gagner une autre Coupe du monde. Donc, il faut que je conserve mon niveau. Je ne suis pas fatigué. Mais je veux également remporter d’autres trophées. Je vais m’engager à fond et essayer d’aider Toulon à remporter le Top 14 et, pourquoi pas plus tard, la Coupe d’Europe.

Vous connaissez quelques deuxième-ligne du Top 14 ? (Ennuyé.) Euh… Pas beaucoup… De nombreux joueurs passés par Toulon – on pense en particulier à Carl Hayman – ont découvert que le Top 14 n’est pas un Championnat très rapide mais une guerre hebdomadaire. Je comprends très bien ce qu’ils veulent dire. J’ai vu que, effectivement, le jeu ici est assez lent, mais très physique, dur.

Avez-vous une appréhension quelconque avant cette aventure toulonnaise ? Non. La seule chose qui m’anime, c’est une grande excitation de montrer ce que je sais faire. Je suis très excité à l’idée de rencontrer les joueurs, puis de commencer à m’entraîner la semaine prochaine et de jouer.

Vous étiez un grand joueur lorsque vous avez signé à Toulon, en décembre 2018. Vous êtes désormais champion du monde et la superstar du Top 14. Est-ce une responsabilité particulière ? Je ne veux pas trop penser à ça, je ne suis qu’un joueur parmi d’autres du Top 14. C’est une responsabilité, peut-être, mais je ne veux pas être vu comme une super star. Je veux juste commencer à jouer pour Toulon, récolter beaucoup de victoires et un ou deux trophées, être le meilleur pour l’équipe.

Le titre de champion du monde a-t-il changé quelque chose pour vous ? Oui. Déjà, il a rendu heureux de très nombreux Sud-Africains. On les a croisés très joyeux.

Est-ce le plus fort de vos trois titres de champion du monde (1995, 2007, 2019) comme certains anciens l’affirment ? Je l’ai entendu dire, oui. (Exalté.) Pour moi, c’est un moment où la vie et le rêve se rejoignent. »

(*) Victor Matfield, Bakkies Botha, Juanne Smith, Dannie Rossouw, Bryan Habana, J.P. Pietersen. Duane Vermeulen a été champion du monde après son passage au RCT (2015-2018).

[Dragan]

Super RCT face à Clermont

[gob]

pas trop suivi mais c'était ses débuts ?

[Dragan]

En top14 oui

[gob]

belle entrée en matière.

[pretender]

Beau dimanche de sport après ce Thiem-Djoko et avec ce France-Angleterre à 16h en mode insupportable Laurent luyatesque.

Hâte de voir si l'on va se faire littéralement ouvrir et pulvériser, notamment en première ligne. Ou si l'on va quand même réussir à jouer un peu au rugby et surprendre ces Anglais.

[pretender]

Beau dimanche de sport après ce Thiem-Djoko et avec ce France-Angleterre à 16h en mode insupportable Laurent luyatesque.

Hâte de voir si l'on va se faire littéralement ouvrir et pulvériser, notamment en première ligne. Ou si l'on va quand même réussir à jouer un peu au rugby et surprendre ces Anglais.

[Fennec]

L'absence de Penaud douche un peu mon optimisme.

[gob]

Au moins, le changement demandé est arrivé.
Faudra serrer les fesses et accepter une période de résultats moyens.

Je ne sais pas ce qu’en pensent les spécialistes ici ?

[FabMars]

Bon, c’est moins pire que prévu. Comment va-t-on tout faire foirer?

[Remind]

Ben voilà deux touches perdues coup sur coup et on a failli prendre un essai Anglais. Ou comment remettre les Anglais dans le match.
Mêlée sous les poteaux.

[Kenshi]

Ils font plaisir pour le moment

[Remind]

Yes grosse défense. 3 essais marqués.
Les anglais viennent de marquer.