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Re: Rugby Saison 2014-2015

29 Avr 2015, 20:12

ah oui c'est un symbole Il ne verra donc pas la défaite de Clermont redaface2

Re: Rugby Saison 2014-2015

30 Avr 2015, 13:01


Information
Jamie Cudmore tentera d’étoffer son palmarès à l’occasion de la finale de la Champions Cup contre Toulon, samedi à Twickenham (18h). A quelques jours de l’échéance, le solide deuxième-ligne de Clermont a accueilli RMC Sport dans sa magnifique demeure en bois située face au Puy-de-Dôme. Sa cuvée, la carrière d’acteur de son frère, sa réputation de bad-boy… le Canadien de 36 ans a ratissé chaque sujet avec soin.
Jamie, on vous dit bad-boy, qu’en pensez-vous ?

Mais non. Il ne faut jamais croire ce que l’on voit sur Internet, il y a tout et n’importe quoi. Ma jeunesse était très heureuse. J’ai grandi dans un endroit magnifique, Squamish, sur la côte Ouest du Canada, avec une bonne bande d’amis. On s’éclatait dans la montagne, en allant faire du ski, de la motoneige. En été dans les grands lacs, dans les rivières en pêchant, en chassant dans la montagne. On était heureux comme tout.
Votre physique hors normes vous rend intimidant pour les gens…

Ce n’est pas mon but. Je souhaite complètement l’inverse. Je suis quelqu’un de très simple, je suis respectueux, j’essaie de marcher doucement, parler doucement, de ne pas faire trop de bruit. Mon père m’a toujours dit ça : il faut parler doucement mais être combatif.
Vous avez d’ailleurs été bûcheron dans votre jeunesse…

C’était le meilleur boulot dans ma ville quand j’étais jeune. Si tu arrivais à chopper un bon boulot de bûcheron, tu gagnais entre 18 et 20 dollars par heure, tout au black et c’était génial. A 14-15 ans, tu cours partout dans les bois et le week-end t’as une bonne paie. Nous on était les rois du pétrole à 15-16 ans à l’école. On allait acheter une voiture, des motos, des motoneiges parce qu’on avait bossé tout l’été. C’était un vrai boulot, un peu dangereux, mais on a passé de bons moments.
Votre petit frère, Daniel, a joué le rôle de Colossus dans X-Men et celui de Félix dans Twilight…

Ça me fait marrer à chaque fois. Quand il était dans le premier X-Men, j’étais avec des copains au pays de Galles, à Llanelli. On était allé à Cardiff pour voir le film et on était tous morts de rire au milieu de la salle, alors que ce n’était pas du tout marrant. Je suis très fier qu’il ait réussi dans ce boulot-là parce que c’est hyper difficile de se faire un nom dans le cinéma.
« Je n’ai pas trop compris certaines décisions »
Sur le terrain, vous êtes bien moins sanctionné qu’auparavant…

Bien sûr j’ai évolué. J’essaie de m’améliorer chaque semaine, après chaque match. C’est sûr que si je fais une connerie et que je reçois un carton dans le match, je vais éviter de la faire dans le match suivant. Mais c’est vrai que c’était difficile au début. Je n’ai pas trop compris certaines décisions. Mais après quelques années, je comprends très bien comment ça marche.
Votre ancien entraîneur Vern Cotter vous a-t-il alerté ?

Vern m’a mis deux ou trois fois des ultimatums mais j’étais au courant aussi. Je savais que si je voulais continuer à jouer au haut niveau, je ne pouvais pas pénaliser mon équipe de 10 minutes ou plus tous les deux matches.
Que représente l’ASM pour vous ?

C’est un grand club, ça fait dix ans que j’y suis maintenant et j’ai vu les choses évoluer. Là je suis très fier de faire partie de ce grand club et de cette équipe parce qu’on avait accroché un premier titre européen en 2007 (Challenge européen contre Bath, ndlr), après il y a eu ce fameux Bouclier de Brennus en 2010 (contre Perpignan) et là on est encore très proche d’arracher un titre européen. C’est sûr, moi je vais faire le maximum pour l’emporter et je suis très heureux de faire partie de ce grand club.
Vous avez une relation particulière avec les supporters clermontois…

Quand je pars en ville prendre un café, on parle rugby avec beaucoup de monde. Mais ça fait plaisir parce que les gens ici ne sont pas des spectateurs, ils sont des vrais supporters. Ils connaissent le rugby, ils connaissent le jeu. Même si on gagne, parfois ils nous engueulent, même si on perd, parfois ils nous félicitent parce qu’on a fait un bon match. Ils connaissent bien le rugby et ça c’est important parce que dans les moments difficiles, on sait que le public est toujours derrière nous.
Vous sentez-vous redevable envers lui ?

Le mec qui sort du boulot le samedi, qui est un peu frustré de sa semaine, il veut qu’on essaie de bosser comme il faut sur le terrain, de donner deux, trois « carreaux » à l’adversaire en face. Ça relâche le stress pour les gens dans les tribunes. Moi j’apprécie ça parce que je bossais avant et je sais ce que c’est d’aller voir les matches de hockey sur glace chez moi et d’essayer d’envoyer un peu ton stress de la semaine en voyant ton équipe préférée batailler et arriver à gagner le match. Comme je disais, ce sont les supporters qui font vivre le club, ce sont eux qui payent mon salaire. S’ils ne sont pas contents, ils vont nous le dire mais nous on essaye de faire le boulot et d’assurer au maximum.
« Je suis toujours là et fier de l’être »

Vous allez défier Bakkies Botha dans cette finale de Champions Cup…

C’est un plaisir de retrouver des grands joueurs comme ça. Je viens du Canada, ce n’est pas une grande nation du rugby. Rivaliser avec des mecs comme Ali Williams, comme Botha, comme le reste de l’équipe, qui sont des noms du rugby mondial… Je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de monde qui pense à moi, qui parle du grand deuxième-ligne de ces dix dernières années parce que c’est un petit joueur du Canada. Mais je suis toujours là et fier de l’être. Je vais essayer de faire mon maximum comme chaque week-end.
C’est la fin de l’aventure pour les Clermontois Julien Bonnaire, Julien Pierre, Aurélien Rougerie et vous-même. Cette finale est donc particulière…

Cette année, on est bien placé pour la Coupe d’Europe et derrière, j’espère être en place pour le Bouclier aussi. Julien Bonnaire a parlé la semaine dernière en disant : « On n’a pas beaucoup de chance dans une vie de le faire pour nous les vieux, il faut la saisir comme il faut. »
Il vous reste encore un an de contrat et vous avez déjà pensé à l’après-rugby, en achetant des vignes autour de Clermont. Votre cuvée s’appelle « Sin Bin », exclusion-carton jaune en français…

Carton rouge, carton jaune et le rosé, carton rosé/troisième mi-temps. On a joué un peu avec mon passé dans le rugby, et mes nombreux cartons. D’ailleurs, c’est marrant que l’on parle de mon record dans la discipline ces dernières années parce que ma femme me demande toujours où sont les cartons, « parce que ça fait un bon coup de marketing pour le vin si t’arrives à chopper deux, trois cartons dans le match ». Je lui dis : « Non, non désolé chérie, ce n’est pas possible ! ».

Certain joueurs de football devraient s'en inspiré...

Re: Rugby Saison 2014-2015

30 Avr 2015, 22:58

A pisser de rire. La Boucherie a imagine la finale de 2013 a dublin si l'arbitre etait revenu a l'avantage :


http://boucherie-ovalie.org/2015/04/29/ ... -a-dublin/

Et si… Alain Rolland était revenu à l’avantage, le 18 mai 2013, à Dublin

Finale de la HCup 2013 à l’Aviva Stadium de Dublin, 18 mai 2013,

Nous sommes aux premiers instants de la seconde mi-temps, Clermont a tué le match en plantant deux essais d’école à des Toulonnais apathiques. Les Auvergnats prennent le large et Rougerie se permet même de chambrer Wilkinson et Armitage. La banda jaune et bleu entame pour la douzième fois l’intégrale de Lady Gaga et Valéry Giscard d’Estaing s’apprête à annoncer son retour en politique. En face, les douze supporters toulonnais ayant fait le déplacement jusqu’en Irlande sont dépités.



Poseeey !



63e minute de jeu, sur un contre-ruck gagnant, l’inoxydable© Julien Bonnaire fait commettre un en-avant à un Toulonnais qui perd la balle. Fidèle à ses principes et sûre de sa force face à une équipe de stars vieillissantes, l’ASM déclenche sa combinaison « humiliation de l’adversaire » en envoyant du jeu large-large© n’importe comment, tant que la balle retombe dans les mains de Fofana, dont les appuis se joueront des reins transplantés des joueurs de la Rade. Tactique qui fonctionne à merveille : en deux passes, le feu follet© auvergnat fonce à travers quatre maillots rouges, mort de rire. Mais là, Bakkies Botha, essoufflé parvient tout de même à stopper le centre auvergnat et Fernandez-Lobbe, en trébuchant, tombe sur le ballon sur le côté de l’axe-de-la-porte-du-ruck et parvient, dans un éclair technique, à passer les bras et le ballon par-dessus la défense clermontoise.

Ce dernier arrive dans les mains de Delon Armitage, qui s’en va aplatir l’essai de la victoire tout en insultant copieusement d’un coucou Miss France, le génie australo-auvergnat, Brock James. Les douze supporters toulonnais exultent… un instant seulement : l’arbitre, Alain Rolland, irlandais-mais-qui-parle-couramment-la-langue-de-Molière-car-je-ne-sais-pas-si-vous-savez-mais-son-père-est-français©, revient à l’en-avant toulonnais et ordonne une mêlée…



Alain Rolland, faut pas test ! OK Delon ?



Ce fait de jeu a pour effet de réveiller un instant le public irlandais qui commençait à s’endormir profondément devant ce match de Top 14 délocalisé. Une fois la mêlée jouée, la petite mécanique clermontoise se remet en route. Jeux de passes, redoublements, chisteras, coups de pied par-dessus, à ras de terre, toute la palette des gestes techniques possibles à Rugby Challenge y passe.

Doucement mais sûrement, l’ASM ajoute 6 points, par un drop de Rougerie à 40 mètres en face (qu’il fête en pinçant les tétons de Bastareaud, hors-caméra) et une pénalité de David Skrela, tentée du talon. 21-9, jusqu’à la dernière minute où Sivivatu, passe en revue les 15 joueurs toulonnais, l’ensemble des remplaçants, le staff technique, les douze supporters, les stadiers, les roux, les gouttes de pluie, les mecs coiffés d’un bonnet en forme de coq et puis ceux avec un bonnet en forme de pinte pour aller inscrire le dernier essai auvergnat entre les perches (non transformé par David Skrela). 26-9 score final.


Paulo qui casse les reins de Michalak : l’humiliation est totale.



Pendant que les Clermontois triomphent avec leurs 150 000 supporters présents sur la place de Jaude (qui, pour la plupart, découvre pour la première fois ce sport rigolo, attirés par l’idée de boire de la bière toute la nuit), c’est la débandade dans le camp toulonnais. Pour les joueurs multimilliardaires, cette défaite ne leur semble pas plus triste qu’une défaite au Scrabble contre les autres résidents de leur maison de retraite.

Tous décident donc de prolonger le week-end par un séjour en Écosse, à Saint-Andrews, afin d’y travailler leur swing. Tous, à l’exception de Wilkinson qui s’enferme dans un monastère, cesse de se nourrir et s’inflige des tirs de ballons de rugby, afin de se purger de son échec. Les membres du staff s’affairent, quant à eux, à rechercher Mourad, introuvable depuis le début de la seconde mi-temps. La légende veut qu’il continue de tourner inlassablement autour du stade, dans son taxi.



Allez Mourad, fais pas le con, Mourad, sors de ce taxi, Mourad… Mourad !?



Dans l’euphorie de la victoire, la préparation de la demi-finale du Top14 à Clermont passe totalement à la trappe. Il est vrai que la perspective de jouer contre le champion de l’Aveyron dans un stade rempli de Bretons plus qu’avinés a un caractère plus exotique et parodique que véritablement sérieux pour une équipe déjà championne du Monde des matchs amicaux, des matchs de championnat, des premières mi-temps, des avants-matchs et des vidéos YouTube et désormais championne d’Europe. Cotter décide d’ailleurs, pour la première fois de sa carrière, de titulariser Nakaitaci, Lapandry, Chaume et même Buttin. Les autres font un poker. Lhermet complète l’équipe pour pallier les absences.

Mais le match n’aura pas lieu : les joueurs aveyronnais épuisés par leur voyage de cinq jours en charrette, déclarent forfait. La veille, Toulon, avec ses Espoirs, s’est imposé contre Toulouse sur le score de 20 à 18. Les jeunes varois menaient de cinq points dans les arrêts de jeu, mais Dusautoir a obtenu une pénalité à cinq mètres de l’en-but. Novès a alors décidé de prendre les trois points, afin de ne pas risquer la prolongation en cas d’essai non-transformé et ainsi protéger le temps de jeu de ses joueurs, surchargés par les doublons. Sans pression, Beauxis a passé la pénalité et Toulon a remporté son ticket pour le Stade de France.



Ivre, Lhermet apprend qu’il est titulaire en demi-finale contre Castres.



La finale du Top 14 est donc la revanche de la finale de Coupe d’Europe. Les stars toulonnaises ayant refusé de rentrer précipitamment de vacances, Laporte est obligé de réaligner ses jeunes joueurs et Maxime Mermoz. Michalak reste tout de même sur le banc. En face, Cotter remobilise ses joueurs et aligne son équipe-type. Le début de match est à sens unique, les Auvergnats marchent sur les jeunes Toulonnais, Bardy – pourtant remplaçant – fait des ravages dans la tribune sud du Stade de France, seul contre tous les supporters varois. A dix minutes de la fin, Clermont mène par plus de trente points d’avance, la Place de Jaude est en ébullition et Michelin en profite pour licencier allègrement la moitié de ses employés/de la ville.

Mais, James, sur une pénalité anodine, s’aperçoit soudainement qu’il est en train de jouer la finale et ne trouve pas la touche. A partir de ce moment-là tout se dérègle, les Auvergnats sont comme tétanisés par la pression et les jeunes Toulonnais reprennent la main sur le match. Ils enchaînent quatre essais et reviennent, à la 79e minute à 30-28. Bardy assène alors un coup de genou tactique au jeune dix inconnu de Toulon ce qui oblige Laporte à faire rentrer Michalak. C’est donc au pied tremblant de l’égérie Sofinco que les Sudistes s’en remettent pour décrocher leur premier Brennus depuis 1992. Les Clermontois, supporters comme joueurs, semblent soulagés. On voit même poindre dans la tribune Nord une banderole sur laquelle il est inscrit : « Racistes, Bling bling, Cagoles, Bienvenue à Félix Mayol ».





Coup de théâtre ! Tel un Deus Ex Machina, l’esprit de Wilkinson, désormais Saint parmi les saints, descend sur le Stade de France dans un halo de lumière blanche et accompagne le pied de Michalak. Le ballon passe entre les perches et les Rouge et Noir sont sacrés champions de France sur le score 31 à 30. Immédiatement, les supporters clermontois rédigent une pétition pour interdire les interventions divines défavorables. Toulon, champion de France avec des jeunes Français espoirs devient la nouvelle équipe coqueluche de tous les bistrots de France, pas peu fiers de supporter une équipe qui a fait la nique aux étrangers mercenaires ©. Toulon est au firmament.



La fin de saison 2013 est un tournant historique pour le rugby français. Dès la tournée d’été suivante, Philippe Saint-André révolutionne son XV de France en appelant essentiellement les espoirs toulonnais, chapeautés par Michalak, dont le pied incandescent et touché par la grâce doit servir de guide pour des Bleus plongés dans la nuit noire. Les résultats ne se font pas attendre, les jeunes Bleus rivalisent avec les All-Blacks, surpris par un tel enthousiasme juvénile.

La saison suivante, Clermont est en proie à une révolte populaire : personne n’achète le nouveau maillot jaune-bleu-rouge-vert-blanc à 130€. Le grand Toulouse, à force de recruter des Biarrots, a les mêmes résultats. Les deux clubs historiques plongent aux deux dernières places et d’un coup, le lobbying pour un Top 12 à la Ligue bat de l’aile. Toulon, le Stade Français et Bordeaux caracolent en tête et, pour récompenser leur initiative de jeu et de jeunesse, la Ligue leur décerne un Bouclier de Brennus ex-aequo. Le XV de France ne s’arrête plus d’étonner : emmené par un Michalak irradiant (sur plus de 24 minutes d’affilée), elle remporte le Tournoi des six Nations. Combinaisons, redoublements, contre-attaques, passes après contacts, festivals de gestes techniques et intelligence de jeu, la « French Chatte » est morte, vive le retour du « French Flair » ©.


Enfin une équipe FRANÇAISE, avec des joueurs FRANÇAIS et des valeurs FRANÇAISES !



Cette renaissance du rugby français fait du XV de France un des grands favoris pour la Coupe du monde 2015. Saint-André est élu sportif préféré des Français. L’Italie, le Canada, la Roumanie et l’Irlande ne peuvent riposter face à l’engouement des Bleus. En quart de finale, ils ne font qu’une bouchée de l’Argentine. En demi-finale, à Twickenham contre l’Angleterre, le match est une formalité. L’équipe de France enchaîne les essais devant un public de rouquins alcoolisés sidéré. La RFU avait pourtant tout prévu en nommant Wayne Barnes au sifflet.



Le rugby français humilié, le rugby français martyrisé, mais le rugby français… libéré !



En finale, c’est une nouvelle fois la Nouvelle-Zélande qui se dresse devant les joueurs frappés du coq ©. Une fois de plus, PSA innove en décidant de fluidifier son jeu à l’extrême afin de faire disparaitre les rucks. Perturbé, Richie McCaw passe le match à plonger dans le vide. Dans un match libéré de tout combat au sol, les Français et Néo-Zélandais se retrouvent à égalité, 112 partout, 16 essais de chaque côté. La sirène retentit, dernière action. Après une série de passes qui balayent le terrain, de combinaisons qui transpercent la défense, la balle arrive dans les bras de Michalak qui trompe Israël Dagg d’un petit lob astucieux avant de plonger dans l’en-b…



Photo de Clermont-Ferrand, le 18 mai 2013, au soir : “On est pas bien là ? A la fraîche, décontractés du gland ?”



… Les yeux engourdis, je me réveille. Je suis affalé dans le canapé, imbibé de bière, on est toujours le samedi 18 mai 2013. Alain Rolland est bel et bien revenu à l’avantage et n’a pas accordé l’essai de Delon Armitage. Mais cela n’a pas changé grand-chose. Les Clermontois ont continué d’attaquer comme des abrutis et se sont fait prendre en contre par ce diable© d’Alexis Palisson. Toulon est champion d’Europe 2013 et les Auvergnats, comme d’habitude, se sont sabordés. La finale de samedi prochain sera la bonne.

Re: Rugby Saison 2014-2015

01 Mai 2015, 22:35

Re: Rugby Saison 2014-2015

01 Mai 2015, 22:35

Le XV de départ de Toulon : Halfpenny ; Mitchell, Bastareaud, Hernandez, Habana ; (o) Giteau, (m) Tillous-Borde ; S. Armitage, Masoe, J. Smith ; Williams, Botha ; Hayman (cap), Guirado, Chiocci.

Les remplaçants de Toulon : Orioli, Menini, Chilachava, Fernandez Lobbe, Bruni, Wulf, Michalak, Taofifenua.

Re: Rugby Saison 2014-2015

01 Mai 2015, 22:36

l’équipe des mercenaires de Toulon n'ont pas encore donner leur compo ?

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 08:02

Très bon article sur Debaty dans l'équipe magazine.
Et sinon j'ai appris grâce à l'équipe que Denis Troch était devenu préparateur mental et que c'est celui de l'Asm.

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 12:41

Bibpanda, tu le sens comment ce match ?

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 12:43

En tout cas Clermont est le favori de tous les spécialistes.

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 14:37

Si les spécialistes nous voient favoris on va encore le perdre....

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 15:02

Toulon ne m'a jamais inspiré alors j'aimerais bien une victoire de nos voisins consanguins.

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 16:44

James forfait...

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:07

Gros début de match de Clermont.

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:11

3-0 pénalité après une grosse domination.

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:16

6 à 0

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:17

Cela ressemble à la dernière finale...

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:19

6 à 3

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:30

essai Fofana

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:31

11 à 3

Re: Rugby Saison 2014-2015

02 Mai 2015, 17:31

Toulon fait un match dégueulasse pour le moment.
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