Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 09:25
C'est pas fini cette histoire d'alliance à gauche. Ça va être intéressant de regarder dans le détail le programme mais surtout les candidatures, qui obtient combien de candidats.
Ça m'étonnerait pas que Ruffin et consorts tentent une sorte de putsch interne contre Melenchon par l'intermédiaire de cette alliance.
Ça m'étonnerait pas que Ruffin et consorts tentent une sorte de putsch interne contre Melenchon par l'intermédiaire de cette alliance.
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 09:26
pbb35 a écrit:Du coup, il n'est plus antisémite?
tu parles de qui là ? Trouve-moi un post où je dis ça si cette remarque m'est adressée, sinon vaut mieux se taire.
En revanche oui ce connard utilise une rhétorique et des expressions dignes de Dieudonné à ses plus belles heures, pour flatter certains sentiments dans certaines "communautés" on va dire. Une attitude de pourriture arriviste si tu préfères.
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 09:38
Dimeco63 a écrit:Je pense que bcp se mettent le doigt dans l’œil sur le plafond de verre du RN, c'est fini, il suffit de regarder la sociologie des votes et la géographie électorale du scrutin de dimanche !
c'est possible vu le raz-de-marée effroyable qui vient de se produire , mais perso je n'y crois pas, ou du moins je préfère pas y croire... Y'aura pas 48% d'abstention aux législatives, on aura une photo plus représentative de l'état du pays au 1er tour je crois, après l'entre deux tours va être flippant à suivre et ouais on pourrait être surpris de certaines alliances pour aller chercher son strapontin à l'A.N.
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 09:39
Edit : pour eviter des soucis au forum
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 09:51
Information
Raphaël Glucksmann dit non au Front populaire aux conditions de LFI : « Il n’y a pas eu d’accord »
INFO L’OPINION. L’entourage de Raphaël Glucksmann annonce son intention de quitter les discussions sur la constitution d’un « Front populaire » dès ce mardi matin s’il y a un alignement total sur les positions de LFI. « Place publique a signé un texte comme quoi la totalité des partis de gauche ferait le maximum pour lutter contre l’extrême droite. Mais ce n’est pas aux dépens de nos principes fondamentaux », fait savoir l’entourage de l’eurodéputé Place publique
Peu avant 22h30, l’élan décisif. Des centaines de jeunes militants s’engouffrent dans la rue des Petits-Hôtels (Paris, Xe), habituellement si paisible. Une forêt de drapeaux aux couleurs des Jeunes écologistes, des Jeunes insoumis et de Générations, le micro-parti de Benoît Hamon. Ils sont venus tout droit de la place de la République, où l’on entend désormais jour et nuit que « la jeunesse emmerde le Front national ». Un détail qui n’en est pas un, les bataillons de PS et de Place publique n’ont pas pris part à la cavalcade des autres écuries de gauche. Ont-ils été échaudés d’entendre le refrain « Et non, Glucksmann n’est pas un camarade » ? Une brèche dans l’unité.
Après le souffle de la dissolution, la foule manifestante veut s’offrir un grand frisson aux dernières heures du jour, sous les fenêtres du siège des Verts où sont réunis en conclave les responsables de l’ex-Nupes. « Et la jeunesse exige le Front populaire ! Et la jeunesse exige le Front populaire ! », s’époumonnent-ils dans la rue. Avant de reprendre en chœur : « Trouvez un accord ! Ne nous trahissez pas ! » Leurs clameurs sont-elles arrivées jusqu’aux oreilles des grands chefs à plume ? La pression doit se faire entendre, dégripper les appareils politiques, bousculer les tambouilles internes. A l’intérieur, Marine Tondelier (Ecologistes), Manuel Bompard (LFI), Olivier Faure (PS) et Fabien Roussel (PCF) sont sommés de s’entendre pour faire barrage à la poussée prévisible du RN aux législatives des 30 juin et 7 juillet.
« Marqueur de rupture ». Plus de six heures après le début de la réunion, et alors que le PS et Place publique avaient boudé la première phase des négociations, les messagers de l’union se sont mis d’accord sur les termes d’un communiqué commun. « Faire Front populaire, ça, on est d’accord », annonce tout sourire la secrétaire nationale des écolos, Marine Tondelier, avouant tout de même qu’il « reste beaucoup de travail » pour formaliser ce cartel électoral. A son tour, le coordinateur de LFI Manuel Bompard confirme son intention de « travailler à des candidatures communes au premier tour pour défendre un programme de rupture ». Un « marqueur de rupture », porteur des acquis de la Nupes et donc, de la stratégie adoptée aux législatives de 2022, c’est la grande satisfaction du négociateur LFI, Paul Vannier. Et certainement, la condition sine qua non posée par le patriarche Jean-Luc Mélenchon, très actif bien que physiquement absent des conciliabules.
Comment les quatre composantes historiques de la gauche ont-elles réussi à acter en une demi-journée ce qu’elles n’ont pas su faire (ou voulu) faire aux européennes ? Un petit miracle se serait-il produit ? A croire que la diplomatie prime de nouveau entre ces gauches si souvent présentées comme étant « irréconciliables ». A quatre jours des élections européennes, dans un café place de la Bastille, Olivier Faure se montrait encore prudent sur l’ampleur du « feu d’artifices unitaire » à prévoir pour l’après 9 juin : « On ne répare pas tout en quelques heures d’un trait de plume après s’être battus comme des chiffonniers. Pour faire un pas de fourmis, il faut parfois des années de discussion et de confiance », confiait-il, tout en espérant que les dissidents insoumis sortent du bois, à commencer par François Ruffin et Clémentine Autain.
« Interruptions de séances ». De fait, la campagne des européennes aura laissé des séquelles. Pour Raphaël Glucksmann, il est aujourd’hui inconcevable de s’allier avec des insoumis, dont il dénonce « les outrances et les invectives », et réprouve les positions en matière internationale. En vérité, l’eurodéputée Aurore Lalucq, la négociatrice missionnée par Place publique est tombée dans un piège hier en fin de journée. « Aurore n’aurait jamais dû être seule à représenter Place publique, elle s’est retrouvée dans une situation intenable. En quelques minutes, elle a vu le capital politique de Raphaël partir en fumées. Elle sait qu’elle a fait une grosse erreur en signant le communiqué », rapporte un conseiller de Raphaël Glucksmann.
Tout juste 24 heures après avoir réalisé un score de 14 %, la tête de liste PS-Place publique voit lui échapper ce « cap clair », dont il espérait être « le garant et le gardien ». C'était sans compter l’expérience d’Olivier Faure et consorts. Le chantage est on ne peut plus simple : « quiconque fait échec à l’union sera tenu pour responsable de l’arrivée de Jordan Bardella à Matignon ». Haro, donc, sur les fossoyeurs du Front populaire, engoncés dans leur pudeur morale vis-à-vis de Jean-Luc Mélenchon et son « antisémitisme résiduel ».
« On a bien senti qu’il y avait du flottement dans l’air entre le PS et Place publique. Ils ont demandé de nombreuses interruptions de séances. Aurore Lalucq a essayé de créer des clivages artificiels, notamment sur l’Ukraine », relate un cadre insoumis en première ligne dans les discussions. « On l’a senti au bord du craquage », ajoute un autre.
Auprès de l’Opinion, ce mardi matin, l’entourage de Raphaël Glucksmann se montre très clair : « Il n’y a pas et n’y aura pas d’accord avec LFI. Place publique a signé un texte comme quoi la totalité des partis de gauche ferait le maximum pour lutter contre l’extrême droite. Mais ce n’est pas au dépens de nos principes fondamentaux. On a posé des conditions, s’ils ne sont pas d’accord, on ne fera pas partie de ce truc ». D’ailleurs, Aurore Lalucq n’avait même pas été conviée à la réunion programmatique ce mardi matin. Elle a l’instruction de quitter la table des négociations en cas d’alignement complet sur les troupes de Jean-Luc Mélenchon.
INFO L’OPINION. L’entourage de Raphaël Glucksmann annonce son intention de quitter les discussions sur la constitution d’un « Front populaire » dès ce mardi matin s’il y a un alignement total sur les positions de LFI. « Place publique a signé un texte comme quoi la totalité des partis de gauche ferait le maximum pour lutter contre l’extrême droite. Mais ce n’est pas aux dépens de nos principes fondamentaux », fait savoir l’entourage de l’eurodéputé Place publique
Peu avant 22h30, l’élan décisif. Des centaines de jeunes militants s’engouffrent dans la rue des Petits-Hôtels (Paris, Xe), habituellement si paisible. Une forêt de drapeaux aux couleurs des Jeunes écologistes, des Jeunes insoumis et de Générations, le micro-parti de Benoît Hamon. Ils sont venus tout droit de la place de la République, où l’on entend désormais jour et nuit que « la jeunesse emmerde le Front national ». Un détail qui n’en est pas un, les bataillons de PS et de Place publique n’ont pas pris part à la cavalcade des autres écuries de gauche. Ont-ils été échaudés d’entendre le refrain « Et non, Glucksmann n’est pas un camarade » ? Une brèche dans l’unité.
Après le souffle de la dissolution, la foule manifestante veut s’offrir un grand frisson aux dernières heures du jour, sous les fenêtres du siège des Verts où sont réunis en conclave les responsables de l’ex-Nupes. « Et la jeunesse exige le Front populaire ! Et la jeunesse exige le Front populaire ! », s’époumonnent-ils dans la rue. Avant de reprendre en chœur : « Trouvez un accord ! Ne nous trahissez pas ! » Leurs clameurs sont-elles arrivées jusqu’aux oreilles des grands chefs à plume ? La pression doit se faire entendre, dégripper les appareils politiques, bousculer les tambouilles internes. A l’intérieur, Marine Tondelier (Ecologistes), Manuel Bompard (LFI), Olivier Faure (PS) et Fabien Roussel (PCF) sont sommés de s’entendre pour faire barrage à la poussée prévisible du RN aux législatives des 30 juin et 7 juillet.
« Marqueur de rupture ». Plus de six heures après le début de la réunion, et alors que le PS et Place publique avaient boudé la première phase des négociations, les messagers de l’union se sont mis d’accord sur les termes d’un communiqué commun. « Faire Front populaire, ça, on est d’accord », annonce tout sourire la secrétaire nationale des écolos, Marine Tondelier, avouant tout de même qu’il « reste beaucoup de travail » pour formaliser ce cartel électoral. A son tour, le coordinateur de LFI Manuel Bompard confirme son intention de « travailler à des candidatures communes au premier tour pour défendre un programme de rupture ». Un « marqueur de rupture », porteur des acquis de la Nupes et donc, de la stratégie adoptée aux législatives de 2022, c’est la grande satisfaction du négociateur LFI, Paul Vannier. Et certainement, la condition sine qua non posée par le patriarche Jean-Luc Mélenchon, très actif bien que physiquement absent des conciliabules.
Comment les quatre composantes historiques de la gauche ont-elles réussi à acter en une demi-journée ce qu’elles n’ont pas su faire (ou voulu) faire aux européennes ? Un petit miracle se serait-il produit ? A croire que la diplomatie prime de nouveau entre ces gauches si souvent présentées comme étant « irréconciliables ». A quatre jours des élections européennes, dans un café place de la Bastille, Olivier Faure se montrait encore prudent sur l’ampleur du « feu d’artifices unitaire » à prévoir pour l’après 9 juin : « On ne répare pas tout en quelques heures d’un trait de plume après s’être battus comme des chiffonniers. Pour faire un pas de fourmis, il faut parfois des années de discussion et de confiance », confiait-il, tout en espérant que les dissidents insoumis sortent du bois, à commencer par François Ruffin et Clémentine Autain.
« Interruptions de séances ». De fait, la campagne des européennes aura laissé des séquelles. Pour Raphaël Glucksmann, il est aujourd’hui inconcevable de s’allier avec des insoumis, dont il dénonce « les outrances et les invectives », et réprouve les positions en matière internationale. En vérité, l’eurodéputée Aurore Lalucq, la négociatrice missionnée par Place publique est tombée dans un piège hier en fin de journée. « Aurore n’aurait jamais dû être seule à représenter Place publique, elle s’est retrouvée dans une situation intenable. En quelques minutes, elle a vu le capital politique de Raphaël partir en fumées. Elle sait qu’elle a fait une grosse erreur en signant le communiqué », rapporte un conseiller de Raphaël Glucksmann.
Tout juste 24 heures après avoir réalisé un score de 14 %, la tête de liste PS-Place publique voit lui échapper ce « cap clair », dont il espérait être « le garant et le gardien ». C'était sans compter l’expérience d’Olivier Faure et consorts. Le chantage est on ne peut plus simple : « quiconque fait échec à l’union sera tenu pour responsable de l’arrivée de Jordan Bardella à Matignon ». Haro, donc, sur les fossoyeurs du Front populaire, engoncés dans leur pudeur morale vis-à-vis de Jean-Luc Mélenchon et son « antisémitisme résiduel ».
« On a bien senti qu’il y avait du flottement dans l’air entre le PS et Place publique. Ils ont demandé de nombreuses interruptions de séances. Aurore Lalucq a essayé de créer des clivages artificiels, notamment sur l’Ukraine », relate un cadre insoumis en première ligne dans les discussions. « On l’a senti au bord du craquage », ajoute un autre.
Auprès de l’Opinion, ce mardi matin, l’entourage de Raphaël Glucksmann se montre très clair : « Il n’y a pas et n’y aura pas d’accord avec LFI. Place publique a signé un texte comme quoi la totalité des partis de gauche ferait le maximum pour lutter contre l’extrême droite. Mais ce n’est pas au dépens de nos principes fondamentaux. On a posé des conditions, s’ils ne sont pas d’accord, on ne fera pas partie de ce truc ». D’ailleurs, Aurore Lalucq n’avait même pas été conviée à la réunion programmatique ce mardi matin. Elle a l’instruction de quitter la table des négociations en cas d’alignement complet sur les troupes de Jean-Luc Mélenchon.
https://www.lopinion.fr/politique/rapha ... d-avec-lfi
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 09:55
Dragan, ça tombe bien pour lui "le Front populaire se fait sans JLM" viens justement de dire Fabien Roussel.
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 09:57
Les patrons du PS et de LR ont perdu la tête. C'est à vomir ces aparatchiks qui cherchent à sécuriser des sièges sans aucune conviction, ou si peut être que ça révèlent leurs vraies convictions respectives. Mais ça fait sans foi ni loi
Information
Législatives : Éric Ciotti envisage un accord avec le Rassemblement national
NFO LE FIGARO - A l'heure où Jordan Bardella tend la main aux Républicains, le patron de la droite doit prendre la parole ce soir, à un JT de 20h.
À l’heure où Jordan Bardella tend la main aux Républicains , en vue d’un accord dans le cadre des élections législatives, Éric Ciotti s’apprête à prendre la parole ce soir.
Selon nos informations, le patron de la droite est l’invité d’un JT de 20 heures pour faire une annonce qui pourrait bien déchirer la droite. Des alliances locales avec le RN, selon les circonscriptions ? «Je sais qu’il y réfléchit sérieusement», affirme un haut cadre du parti. Un autre renchérit : «Cela ne me plaît pas...».
Depuis lundi, des noms de députés sortants qui pourraient trouver un terrain d’entente pour conserver leurs sièges circulent. Lors de la réunion de groupe LR hier, en visioconférence, le chef de la droite a été la cible des critiques, certains l’accusant de ne pas faire preuve d’assez de clarté sur la ligne stratégique et sa proximité avec le RN.
L’intervention médiatique du président LR a lieu le même jour que l’annonce de la candidature de Laurent Wauquiez aux législatives , en Haute-Loire. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes devrait prendre la parole ce mardi après-midi pour en faire l’annonce.
NFO LE FIGARO - A l'heure où Jordan Bardella tend la main aux Républicains, le patron de la droite doit prendre la parole ce soir, à un JT de 20h.
À l’heure où Jordan Bardella tend la main aux Républicains , en vue d’un accord dans le cadre des élections législatives, Éric Ciotti s’apprête à prendre la parole ce soir.
Selon nos informations, le patron de la droite est l’invité d’un JT de 20 heures pour faire une annonce qui pourrait bien déchirer la droite. Des alliances locales avec le RN, selon les circonscriptions ? «Je sais qu’il y réfléchit sérieusement», affirme un haut cadre du parti. Un autre renchérit : «Cela ne me plaît pas...».
Depuis lundi, des noms de députés sortants qui pourraient trouver un terrain d’entente pour conserver leurs sièges circulent. Lors de la réunion de groupe LR hier, en visioconférence, le chef de la droite a été la cible des critiques, certains l’accusant de ne pas faire preuve d’assez de clarté sur la ligne stratégique et sa proximité avec le RN.
L’intervention médiatique du président LR a lieu le même jour que l’annonce de la candidature de Laurent Wauquiez aux législatives , en Haute-Loire. Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes devrait prendre la parole ce mardi après-midi pour en faire l’annonce.
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 10:01
Le PS est trop con, c'est pas possible. Ils font leur meilleur score grâce à Glucksmann, ils doivent choisir entre lui et LFI qui veut les tuer et ils choisissent LFI.
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 10:03
peezee a écrit:pbb35 a écrit:Du coup, il n'est plus antisémite?
tu parles de qui là ? Trouve-moi un post où je dis ça si cette remarque m'est adressée, sinon vaut mieux se taire.
En revanche oui ce connard utilise une rhétorique et des expressions dignes de Dieudonné à ses plus belles heures, pour flatter certains sentiments dans certaines "communautés" on va dire. Une attitude de pourriture arriviste si tu préfères.
Pour rebondir la dessus, pas contre toi en particulier peezee, j'ai toujours été mal à l'aise avec cette attaque sur ceux qui votent ou on voté pour JLM, c'est un discours qu'on entend énormément sur Cnews notamment.
Pour rappel les gens qui votent pour une liste qui prend part aux scrutins en France, doivent tous respecter les mêmes règles du Code, avoir 18 ans révolu, etc ... avoir la nationalité Française !
Vouloir combattre le communautarisme (une bonne chose) en essentialisant tous les "Arabes" de France cela me semble être aussi du communautarisme en fait
Ceux qui votent aux élections en France sont tous des Français, et j'imagine que ceux issus de l'immigration votent qui pour LR, qui pour Macron, qui pour les Verts ou s'abstiennent (majoritairement), comme tous les Français.
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 10:06
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 10:07
[quote="Cecco"]Le PS est trop con, c'est pas possible. Ils font leur meilleur score grâce à Glucksmann, ils doivent choisir entre lui et LFI qui veut les tuer et ils choisissent LFI.[/quote]
Je sais pas qui est le PS mais en tout cas son patron actuel, Olivier Faure est nul et est un gros c.. ça c’est sûr
Je sais pas qui est le PS mais en tout cas son patron actuel, Olivier Faure est nul et est un gros c.. ça c’est sûr
Re: Actu politico-politique
11 Juin 2024, 10:07
Dimeco63 a écrit:boodream a écrit:
Laurent Berger
Mais quel troll de merde
Je crois que j'ai moins d'antipathie pour Macron que pour lui...
Pas d'accord, perso je n'ai pas voté pour lui dimanche je n'ai même pas voté j'avoue
mais lui il vient de remettre le PS et les sociaux dém en tête de la gauche il a fait le job, je pense qu'il veut rester au Parlement € et il ne sera pas candidat aux législatives, on lui pose la question d'un éventuel PM il donne un nom hors partis de la coalition qui est le plus susceptible d’être le moins clivant hein.La gauche n'est déjà pas majoritaire, le but c'est de construire pour l'avenir et ça commence par un simple accord de désistement mutuel entres partis de Gauche (comme en 74), il va dire "ouais je pense que Louis BOYARD est une bonne idée"
Si l'alternative se résume à choisir entre Laurent Berger et Louis Boyard la gauche est morte et enterrée.
Si c'est pour revenir à François Hollande, autant voter Macron que glucksman c'est mieux. Lui aussi il trouve que le fédéralisme européen qui baise continuellement les classes populaires depuis des décennies c'est une condition préalable à toute érection, c'est formidable tout le monde sera content.
On a besoin ni des débiles du type Louis Boyard, ni des salopards du type David Giraud. Ni des escrocs de place publique. Si on est à gauche, je veux dire.
Sinon on peut appeler Yannick Jadot aussi, il a fait un très gros score aux européennes lui aussi, ça veut sûrement dire que c'est le sauveur de la gauche.
