28 Nov 2021, 11:55
28 Nov 2021, 13:25
28 Nov 2021, 15:35
28 Nov 2021, 15:39
28 Nov 2021, 16:03
29 Nov 2021, 22:32
superolive a écrit:jarlandine, il chronique la vie politique depuis 20 ans, donc le qualifier de trop tendre vu son expérience et ses propos c'est abusé
30 Nov 2021, 06:28
30 Nov 2021, 10:49
30 Nov 2021, 10:53
30 Nov 2021, 11:23
30 Nov 2021, 13:04
30 Nov 2021, 13:48
30 Nov 2021, 14:22
30 Nov 2021, 22:00
30 Nov 2021, 22:03
30 Nov 2021, 22:51
gob a écrit:Vous avez vu la vidéo d’annonce de candidature de Zemmour ?
Juste vu quelques images mais qui lui a conseillé cette diction et ce décor ?
Ça fait peur.
30 Nov 2021, 23:11
Le tout nouveau candidat à la présidentielle Eric Zemmour a fustigé ce soir une "interview de procureur" sur TF1, une "escroquerie intellectuelle", reprochant au journaliste Gilles Bouleau d'avoir "voulu faire son malin" durant le JT de 20h.
"C'était une interview d'un procureur. Devant les autres, il (Gilles Bouleau) s'efface, poliment, humblement, parfois de façon larvaire. Avec moi, il s'est révélé un procureur pugnace, de mauvaise foi, me sortant des phrases de mon livre hors de leur contexte", s'est exaspéré le polémiste d'extrême droite après avoir quitté la chaîne, selon des images diffusées par CNews et BFMTV.
"Il y a eu maldonne, il y a eu même escroquerie intellectuelle, M. Bouleau n'a pas fait son travail, il a voulu faire son malin devant ses confrères", a-t-il poursuivi.
À peine déclaré, Eric Zemmour est apparu tendu lors du JT de TF1 reprochant en toute fin d'entretien à Gilles Bouleau de ne pas l'avoir interrogé sur son programme.
"Le journaliste a la liberté de ses questions, l’invité de ses réponses", a réagi TF1 auprès de l'AFP: "Gilles Bouleau a mené cette interview sans complaisance ni animosité comme avec chacun de ses invités".
Selon un photographe de l'AFP, témoin de la scène, Eric Zemmour s'était emporté contre M. Bouleau à la sortie du plateau.
"Eric se trompe de faire ce procès à ce présentateur de télévision, qui aurait pu être beaucoup plus agressif qu'il ne l'était", a réagi de son côté sur BFMTV le maire de Béziers Robert Ménard, proche du polémiste d'extrême droite : "Eric, tu ne te souviens pas de comment on parlait à Marine Le Pen sur un certain nombre de plateaux de télévision. Tu n'es pas le seul à être bousculé".
"Le rôle des journalistes - et j'en suis victime souvent -, c'est de vous bousculer, c'est très désagréable, mais c'est comme ça", a ajouté M. Ménard. "Venant de lui, qui ne se gêne pas pour bousculer les autres. Je trouve que là, il se trompe de cible."
01 Déc 2021, 07:23
01 Déc 2021, 10:14