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Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

30 Juin 2020, 19:30

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

03 Sep 2020, 09:33

On l'attendait, il est là :
Information
Plan de relance : ce que l'on sait du projet à 100 milliards d'euros du gouvernement

Un plan constitué de 70 mesures

Bon, après lecture, on en sait pas tellement sur les modalités de mise en oeuvre. Va falloir patienter.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

03 Sep 2020, 12:53

Si l'on veut vraiment relancer l'économie, il faut commencer par augmenter les profs. J'espère qu'en toute logique, cette mesure salutaire fait partie des annonces.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

03 Sep 2020, 12:53

gaby, en effet aucune vraie info à part des thèmes et des sommes

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

27 Jan 2021, 22:05

Information
C’est un de ces imbroglios dont la Bourse a le secret. Lundi 25 janvier, l’action de GameStop, entreprise américaine qui détient notamment la chaîne de magasins Micromania-Zing en France, a vu le cours de son action s’envoler sur le marché de New York.

Lundi matin, l’action GME (GameStop) sur la Bourse de New York a connu un pic avec une valeur de 158 dollars, avant de retomber entre 60 et 75 dollars, ce qui reste très haut par rapport au cours habituel de l’entreprise. La société, pourtant déclinante économiquement et souffrant de pertes financières, a été au centre d’une bataille se jouant notamment sur un simple forum de discussion.
Qu’est-ce que GameStop ?

GameStop est une entreprise née au début des années 1990 et l’un des principaux acteurs de la distribution de jeux vidéo au format physique. La société détient plusieurs chaînes de magasins de jeux vidéo et de matériel informatique dans le monde, dont la chaîne Micromania-Zing en France, rachetée en 2008. Mais depuis plusieurs années, en raison de désordres internes et de la montée du marché dématérialisé (les jeux vidéo sont de plus en plus vendus en téléchargement dans des boutiques en ligne), GameStop est une entreprise en crise.
Des investisseurs qui parient contre l’entreprise

Cette situation économique difficile a attiré des tradeurs que l’on appelle short sellers. En principe, quand un investisseur achète des actions en Bourse, il souhaite que leur valeur augmente pour les revendre plus cher et gagner de l’argent : la vente à découvert, ou short selling, fonctionne dans le sens contraire.

Ici, un investisseur va parier sur la baisse du cours d’une société cotée en Bourse. Le short seller va emprunter des actions pour les vendre au prix fort, puis attendre qu’elles baissent pour les racheter et les rendre à l’entité à qui il les a initialement empruntées.Plusieurs fonds d’investissements ont ainsi capitalisé, ces derniers mois, sur la chute des cours de GameStop. Mais les résultats financiers de l’entreprise, meilleurs qu’espéré, et le soutien d’investisseurs ont permis au cours de l’action de monter. Ce qui a mis en difficulté les short sellers. Ceux qui avaient emprunté des actions avant de les vendre en pariant sur la baisse de leur valeur se sont trouvés contraints de les racheter en panique pour limiter leurs pertes, ce qui a mené, mécaniquement, à une nouvelle hausse du cours de l’action GameStop, selon le site spécialisé MarketWatch.
Comment un forum de discussion a fait exploser l’action

L’histoire s’est accélérée ces dernières semaines avec la participation de la communauté r/wallstreetbets, qui s’organise sur Reddit : plus de deux millions de membres, tradeurs ou aspirants tradeurs, dont une partie au moins s’est coordonnée pour piéger ces fonds d’investissement. Ils « ont décidé de les embêter tout en se faisant de l’argent facile », explique l’analyste financier Michael Futter au site de jeux vidéo PC Gamer.

Sur ce forum, où s’échangent régulièrement mèmes, insultes et histoires tantôt drôles, tantôt dramatiques, les internautes ont décidé de donner tort aux investisseurs qui tablaient sur une chute de l’entreprise, « en partie pour le potentiel comique », estime le site TechRaptor. Ils ont ainsi appelé massivement les membres de la communauté à acheter des actions GameStop et à utiliser d’autres mécanismes pour faire grimper le cours de l’action. Accélérant d’autant sa hausse.

Sur le forum, les internautes s’encourageaient encore mardi à tout faire pour maintenir la valeur de l’entreprise à un haut niveau. « GameStop a commencé comme un mème, mais ils ont élevé ça à un tout autre niveau », estime auprès de Wired Jaime Rogozinski, créateur du forum. Certains membres de la communauté ont assuré avoir gagné – virtuellement – plusieurs millions de dollars grâce à l’action du forum.
Quelles conséquences ?

Mardi 26 janvier, les membres de la communauté exprimaient leur joie devant la hausse spectaculaire de l’action et se félicitaient d’avoir semé la panique chez les investisseurs qui avaient parié contre GameStop.

Selon le Wall Street Journal, le fonds Melvin Capital Management, qui avait tenté de « shorter » des actions GameStop, a en effet subi de lourdes pertes en raison de la hausse du cours de l’entreprise. De son côté, un investisseur qui pariait sur une baisse de l’action a, par ailleurs, accusé plusieurs membres de r/wallstreetbets de harcèlement et de tentatives de piratage.

Le forum r/wallstreetbets n’est pas une petite communauté inconnue. Ses plus de deux millions de membres, qui se définissent eux-mêmes comme des « autistes » ou des « dégénérés », échangent souvent des blagues de très mauvais goût et se vantent régulièrement de perdre des sommes colossales dans de mauvais investissements, sont regardés de près par les observateurs de la finance.

Par le passé, d’autres actions ont déjà subi une hausse importante, bien que temporaire, en raison de l’attention portée par r/wallstreetbets. Mais la hausse stratosphérique de l’action GameStop a braqué de nouveaux regards sur le forum, si bien que plusieurs experts en droit se demandent, sur le site Market Watch, si ses membres n’ont pas manipulé le marché en se coordonnant et ainsi enfreint la loi.


https://www.lemonde.fr/pixels/article/2 ... 08996.html
:ptdr:

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

28 Jan 2021, 19:36

les redditeurs et les lefties s'étonnaient et se marraient d'être partenaires le temps d'une action contre un hedge fund. A voir si il y a plainte ou pas aussi.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

28 Jan 2021, 23:57

C'est rigolo de voir les hedge funds se retrouver pris à leurs propres jeux par des amateurs.
Melvin Capital Management qui est cité, aurait perdu plus de 3 Milliards de $ sur le coup.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

08 Avr 2021, 09:35


Très intéressant.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

14 Mar 2022, 09:56

Information
Le roman russe de la Société générale

« De l’eldorado au bourbier, l’aventure russe des grands groupes français » (1/5). La guerre en Ukraine est un scénario noir pour la seule banque française à détenir, à travers Rosbank, un établissement en Russie.

En cette fin d’été 2006, la Russie de Vladimir Poutine, portée par plusieurs années de forte croissance économique, attire les investisseurs tentés par la conquête de l’Est. Le 13 septembre, Daniel Bouton, alors patron de la Société générale, a rendez-vous à Moscou avec le numéro deux de la banque centrale russe. Il veut s’emparer d’un des principaux établissements financiers du pays, la Rosbank (« banque russe »). L’institution française en a déjà pris une part de 10 %, quelques semaines auparavant, et entend monter au capital.

Quelques heures après leur rendez-vous, le banquier central, Andreï Kozlov, est assassiné. « Il allait voir un match de football et il s’est fait abattre devant le stade, se rappelle Daniel Bouton. Selon la banque centrale, il voulait mettre de l’ordre dans la multitude de petites banques russes de l’époque et qui étaient autant de foyers de corruption. » Blanchiment d’argent sale issu du crime et de pots-de-vin, évasion fiscale, méthodes mafieuses… Le climat sulfureux qui entoure alors le système bancaire russe ne refroidit pourtant pas la Société générale. « On savait depuis le début que le pays était dangereux », reconnaît M. Bouton.

Pourtant, la guerre que la Russie mène en Ukraine depuis le 24 février, le groupe bancaire ne l’aurait jamais envisagée. Seule banque tricolore à détenir, à travers Rosbank, un établissement en Russie, Société générale affronte « une crise géopolitique hors norme », comme l’a confié, mardi 8 mars, son directeur général, Frédéric Oudéa, aux organisations syndicales du groupe. Quand, chaque jour depuis l’invasion de l’Ukraine, des multinationales annoncent quitter Moscou ou suspendre leur activité, la banque française fait le choix d’y rester. « C’est un peu plus facile de fermer temporairement une dizaine de magasins et d’arrêter de vendre des sacs de luxe que pour Société générale, qui a des milliers d’employés, d’arrêter l’activité », a argué le directeur général, devant les élus du personnel.

« Période de bordel administratif et d’expansion fantastique »

Pour la banque, il n’est pas question, à ce stade, de partir en laissant les clés de Rosbank, chèrement acquise (4 milliards d’euros au total), avec le risque de tout perdre. Sans aller jusqu’à évoquer des nationalisations, le président russe a en effet évoqué, ces derniers jours, la nomination d’administrateurs « externes » à la tête d’entreprises étrangères quittant la Russie, « pour les transférer à ceux qui veulent les faire fonctionner ».

Un scénario noir pour Société générale, dont l’appétit pour le marché russe remonte à la fin du XIXe siècle. Ses premières opérations dans le pays datent de 1872. Dans la foulée de l’alliance franco-russe, l’établissement fonde, à Saint-Pétersbourg, une filiale, la Banque du Nord, pour profiter du décollage industriel de l’empire. Cet héritage disparaît avec la révolution russe de 1917 et la nationalisation des banques.

Un demi-siècle plus tard, la banque française est prête à retenter sa chance dans ce qui est devenu l’URSS, lorsque la détente s’installe dans les relations Est-Ouest. Elle ouvre, en 1973, un bureau de représentation à Moscou, y finance des opérations portées par des capitaux russes, et surtout étrangers. La Société générale a donc un pied dans la place, lorsque l’URSS s’effondre. S’ensuit « une période de bordel administratif et d’expansion fantastique, un capitalisme débridé, complètement dérégulé, pas toujours très régulier », témoigne Daniel Bouton.

« Nous avions la pétoche »

La banque se développe en profitant de la libéralisation, dans un « marché à marges énormes ». « Nous avions la pétoche, dit l’ancien PDG, car, si la banque centrale de Russie exerçait bien sa mission de régulation, nous n’étions pas certains qu’il n’y avait pas de corruption ici ou ailleurs, c’était toujours très sportif. » Société générale devient propriétaire de plusieurs petits établissements dans le pays : DeltaCredit, Rusfinance, et surtout Bank Société générale Vostok, qui prospère, mais n’a pas accès aux dépôts des Russes pour se financer. Se dessine alors le projet d’acheter une banque dotée d’un réseau d’agences.

L’époque est aux acquisitions tous azimuts, dans l’effervescence et les excès qui précèdent la crise financière de 2008. Société générale court plusieurs lièvres à la fois. En 2006, elle se bat – en vain – pour s’emparer de la Guangdong Development Bank, en Chine, tout en s’intéressant à Rosbank, le deuxième réseau bancaire, privé, de Russie, avec plus de 700 agences sur près de 80 % du territoire. Daniel Bouton se rend à Saint-Pétersbourg visiter quelques agences. Ses banques conseil lui recommandent d’acheter ce qu’elles considèrent être le meilleur établissement du marché russe à la holding Interros, de l’oligarque Vladimir Potanine.

Cet homme d’affaires, placé régulièrement en tête de la liste des hommes les plus riches de Russie, selon le classement Forbes, compte parmi les proches de Vladimir Poutine. Il a amassé son énorme fortune dans les années 1990, en profitant des premières privatisations de l’ère Boris Eltsine. Avec son partenaire Mikhaïl Prokhorov, Vladimir Potanine fait l’acquisition de Norilsk Nickel (Nornickel), géant minier, dont il est le principal actionnaire.

En mai 2013, coup de tonnerre

« Je rencontre M. Potanine plusieurs fois, raconte Daniel Bouton. C’est toujours assez folklorique. Il se déplace dans un convoi de trois 4 × 4 blindés noirs, pour que le bandit qui voudrait le tuer ne sache pas dans laquelle il se trouve. » L’affaire est donc conclue. Fin septembre 2006, l’établissement français monte au capital de Rosbank et pose une option pour en prendre le contrôle. Dans un communiqué de presse, Daniel Bouton déclare voir « dans la Russie l’un des marchés les plus prometteurs de ces prochaines années ». Il s’agit à la fois de miser sur la bancarisation de la population et de financer les entreprises locales et les multinationales en Russie.

Rien ne se passe comme prévu. En mai 2013, coup de tonnerre : devant les caméras de télévision, les policiers d’une unité spéciale du ministère de l’intérieur russe viennent interpeller en flagrant délit le patron de Rosbank, Vladimir Golubkov, au siège de la banque à Moscou. Il aurait reçu un pot-de-vin de 5 millions de roubles (125 000 euros) de la part d’un entrepreneur russe, en échange d’un prêt à des conditions avantageuses. Les images fournies par la police – toujours disponibles sur YouTube – montrent les petites coupures qui s’étalent sur son bureau. Le dirigeant se dit innocent, et ses soutiens évoquent une manipulation. « L’arrestation a été spectaculaire, mise en scène, c’était très impressionnant d’un point de vue médiatique », raconte un membre de l’état-major du groupe à l’époque.

A Paris, on annonce, dans les jours qui suivent, le licenciement de Vladimir Golubkov. « Lors de l’arrestation, notre priorité a été de veiller à la continuité des opérations de Rosbank. Nous avons effectué un changement immédiat de gouvernance », indique le groupe. M. Golubkov, après un court passage en prison, est, un temps, assigné à résidence. Il n’a jamais été jugé, et la justice russe a finalement abandonné les poursuites à son encontre, début 2016. L’affaire, qui témoigne du climat dans lequel agissent les milieux économiques, commence à faire douter certains investisseurs. Selon eux, il est peut-être temps pour la maison mère de céder Rosbank. « Ça aurait pu être un “wake-up call” [une prise de conscience] », admet aujourd’hui un ancien dirigeant de Société générale.

« Rosbank, c’est une machine à perdre »

D’autant que, sur le plan financier, l’aventure russe ne tient pas ses promesses. Rosbank tarde à devenir le relais de croissance espéré, quand, début 2014, Vladimir Poutine entreprend un coup de force en Ukraine et annexe la Crimée. En réponse, l’Union européenne impose une vague de sanctions économiques à la Russie. Les taux d’intérêt s’envolent, le rouble et le pouvoir d’achat des ménages chutent, et le coût du risque (les provisions pour pertes potentielles sur des crédits non remboursés) de Rosbank flambe. Société générale perd beaucoup d’argent en Russie et les analystes financiers considèrent désormais cet investissement comme une vulnérabilité. « Rosbank, c’est une machine à perdre », assène David Benamou, associé gérant chez Axiom.

A force de restructurations, la banque parvient finalement à redresser sa filiale. En 2016, dix ans après l’entrée de Société générale à son capital, Rosbank finit par repasser dans le vert, en dégageant un petit bénéfice de 8 millions d’euros. La rentabilité se confirme. L’établissement affiche, en 2021, un profit de 115 millions d’euros.

Pendant ces années difficiles, « il n’était pas question de quitter la Russie », affirme un ancien de Société générale. Une fois l’entité russe remise à flot, en revanche, le sujet émerge. Le 16 janvier 2020, le conseil d’administration de Société générale se déplace en Russie. Pour la banque, il s’agit de faire « un focus sur la Russie et sa trajectoire stratégique ».

Gérard Mestrallet, administrateur de la banque française et ancien PDG d’Engie, qui a financé à hauteur de près de 1 milliard d’euros le gazoduc Nord Stream 2, a contacté son ami Maurice Leroy, ministre de la ville du gouvernement François Fillon, qui travaille désormais sur le projet du Grand Moscou, pour qu’il organise une rencontre avec le maire de Moscou.

« Il a pris le temps de recevoir le conseil pendant une heure et demie, tout le monde était très content », témoigne l’ancien ministre. Un participant raconte que « la question de vendre se posait », et qu’à la suite de ce séminaire, « le choix a été fait de rester en Russie ». « Pour ma part, j’ai été séduit par les progrès que faisait Rosbank, j’ai contribué à cet aveuglement, alors qu’à l’époque, cette filiale avait de la valeur. »

Après un demi-siècle d’effort pour reprendre pied en Russie, Société générale se prépare aujourd’hui à être expropriée. Dans un communiqué publié le 3 mars, elle s’est dit « tout à fait en mesure d’absorber les conséquences d’un éventuel scénario extrême, qui affecterait les droits de propriété sur ses actifs bancaires en Russie ».

Le Monde

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

14 Mar 2022, 10:18

Article intéressant merci qui montre que la géopolitique est par défaut pas anticipable.
Bon la SG a les épaules solides (fonds propres) pour combler cette probable perte

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 05:40

Ca vous inspire quoi Elon Musk qui rachete Twitter ?
Quel est son ou ses interets là-dedans ?

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 08:02

Un caprice ?

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 08:48

En théorie il veut changer l'histoire des réseaux sociaux et algorithme. A t'il des raisons financière, perso je le crois

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 10:09

Je suis sûr qu’il n’a pas fait ça que par caprice ou ego mais qu’il a une vraie raison de l’avoir fait.
Sauf que je ne vois pas laquelle.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 10:22

gob, Elon Musk a souvent utilisé Twitter pour influencer le cours de la bourse. La SEC, la COB américaine, le gendarme de la bourse, a d'ailleurs imposé aux avocats des sociétés de Musk de valider ses tweets quand ils concernent ses entreprises. En 2018, il avait twitté une fausse info qui avait artificiellement gonflé le cours de Tesla --> https://www.lesechos.fr/industrie-servi ... sk-1320070

Et donc depuis, il était en bise-bille avec le réseau social qui le bannissait régulièrement ce qui entrainaît des clashs entre lui et la plate-forme.

C'est donc sans doute les raisons pour lesquelles il a racheté le réseau.
Autre paramètre: Musk a déja communiqué sur ses troubles autistiques. C'est un génie avec un côté impulsif.

En tout cas quelle qu'en soit la raison, je partage un article pourquoi cette acquisition est potentiellement un danger:
https://www.numerama.com/tech/935427-le ... itter.html

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 11:46

Remind a écrit:https://www.numerama.com/tech/935427-le-compte-delon-musk-devrait-etre-banni-de-twitter.html

Intéressant.

Bon, après, pour moi, Touitteur, c'est l'antéchrist. :mrgreen:

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 12:44

Merci beaucoup pour le lien.
Très instructif pour moi qui me fourcroyse progressivement ( je n’ai jamais eu Twitter).

En lisant ça, j’ai l’impression que son ambition pourrait être politique : il a l’argent, des idées très arrêtées, presque 100 millions de followers et un réseau social qui ne le bannira plus.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 20:09

De mon point de vue Musk est entre autre un gros mégalo. Pas impossible que la présidence Trump lui ait donné envie de devenir lui aussi président. Et vu qu'il est malin, il peut utiliser un RS là où trump a utilisé la tv(tout ceci est pure spéculation de ma part. Je n'y crois d'ailleurs que peu. Avec le bonhomme, ça peut aussi juste être pour pouvoir supprimer les images le caricaturant ou un plan pour contrer meta de facebook, ou autre chose).

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

26 Avr 2022, 20:35

Musk n'a pas d'ambitions politiques. Il a dépassé ce stade. Pourquoi ce faire chier à diriger un pays pendant 4 ans ?

Il est tellement megalo que son but c'est désormais de transformer l'humanité, et de devenir le premier mec à pré-coloniser Mars.

Re: Bourse / Économie / Finance / Immobilier

27 Avr 2022, 19:44

C'est tout à fait possible et même probable qu'il n'ait aucune ambition présidentielle. Par contre, pour le coup des voyages vers Mars, j'ai du mal à le croire honnête, ça me semble plus un effet d'annonce pour attirer les investisseurs et faire mouiller sa fanbase : a moins de trouver un isolant au radiations cosmiques assez léger pour remplacer l'acier de qlq millimètres d'épaisseur de son starship, les humains n'arriveront pas intact sur Mars, et leur espérance de vie sur place ne dépassera pas 10 ans.
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