Bourse / Économie / Finance / Immobilier

Pearl, il ne faut pas raisonner comme ça.

Lors de mon De Robien en 2003, j'ai confié la gestion locative de ce bien à un très bon ami. Il s'est avéré que son associé était véreux et avait organisé une cavalerie. Il récupérait l'argent des appels de fond versé au syndic pour financer un train de vie dantesque. L'escroquerie a fini par se découvrir, le mec a fini en taule, insolvable et le syndic s'est retourné vers les proprios pour récupérer ce que l'autre escroc n'avait pas versé. Résultat: pendant un an j'ai versé le double d'appels de fond au Syndic pour renflouer. Un peu rude, mais au final j'ai fait une bonne opération.
Il faut partir du principe qu'il t'arrivera des avanies, c'est certain.

En ce qui concerne ta capacité d'endettement, la banque tient compte de tes loyers dans les revenus. L'investissement ne vient pas grever ta capacité tant que ça.

Il est vrai qu’à ma grande surprise la banque était prête à me laisser aller à 40% d’endettement au final, et hors assurance . Je pensais que les 33% étaient une règle d’or. C’est moi qui n’ai pas voulu, ça aurait vraiment été trop lourd je pense, avec en plus taxes foncière et habitation et charges de copropriété, plus toutes les dépenses d’emménagement.

J’y repenserai peut-être dans quelques années. Pour l’instant je n’ai pas envie d’avoir à faire face à de tels aléas, ni financièrement, ni en termes de temps à régler un problème de ce type.

Article sur la perception de la richesse, notamment des dividendes. Qu'on trouve ou non bien que 10% de la richesse créée par l'entreprise aille aux actionnaires n'est pas l'objet de mon post. L'étude factuelle a été faite par des libéraux donc l’interprétation et les conclusions vont dans leur sens. Ce qui est selon moi intéressant c'est le comparatif avec l'Allemagne

https://www.lepoint.fr/economie/salaires-impots-dividendes-la-veritable-contribution-des-entreprises-du-cac-40--13-05-2019-2312300_28.php

Information

1998: Yahoo declines to buy Google for $1 million.

2002: Yahoo realizes mistake, bids $3 billion for Google. Google asks for $5 billion, Yahoo declines.

2008: Microsoft bids $40 billion for Yahoo, Yahoo declines.

2016: Yahoo sells to Verizon for $5 billion.

Quand même un truc de fou

Des visionnaires chez yahoo

Faut vraiment être un tocard de dirigeant pour être autant à côté de la plaque plusieurs fois de suite, si je faisais autant d'erreurs stratégiques je quitterais de moi-même l'entreprise.

Il est vrai qu’à ma grande surprise la banque était prête à me laisser aller à 40% d’endettement au final, et hors assurance . Je pensais que les 33% étaient une règle d’or. C’est moi qui n’ai pas voulu, ça aurait vraiment été trop lourd je pense, avec en plus taxes foncière et habitation et charges de copropriété, plus toutes les dépenses d’emménagement.

J’y repenserai peut-être dans quelques années. Pour l’instant je n’ai pas envie d’avoir à faire face à de tels aléas, ni financièrement, ni en termes de temps à régler un problème de ce type.

La taxe d'habitation par définition c'est le locataire qui la paie et pas le proprio sauf si le proprio est également l'occupant des lieux évidemment.

Bon ben je pose ma question alors.

Je me pose des question sur la gestion d'une copropriété à laquelle j'appartiens. Je trouve en effet les charges excessives (plus de90 € mensuels pour un studio de 30 m² dans un immeuble ancien sans prestations particulières (pas de jardin, pas d'ascenseur, pas de gardien).

En regardant le CR de gestion annuel, nous avions voté un budget de 14.000 € (dont 2.700 € de frais de syndic) mais dépensé au final 11.000 €.

La différence a été mise au crédit de la copropriété qui possède apparemment 11 000 € de trésorerie créditrice (et qui est en augmentation constante. Elle était de 6.000 € il y a deux ans).

Ma question est : est ce que cette trésorerie créditrice correspond au fond de roulement ? Si oui celui excède énormément la limite légale d'1/6e du budget annuel. Que faut il faire avec le syndic ? Est-il normal de continuer à recevoir des appels de fonds alors que le syndic provisionne une somme toujours plus grande dont les intérêts ne profitent qu'à lui ?

Par ailleurs le syndic propose un budget de 13.000 € pour l'an prochain. Cette somme est-elle contestable et peut on la ramener à une plus juste taille (11.000 €), considérant qu'il s'agit d'une petite copropriété de 10 lots.

Enfin, les frais de gestion du syndic ne sont ils pas trop élevés ? Il me semblait que le montant moyen est de l'ordre de 10 % du budget annuel. Hors là, on est bien au dessus.

Merci d'avance pour vos réponses et éclaircissements

Tout dépned de l'état de ta corpo, si de gros travaux sont à prévoir à court terme (toiture vieillissante, ravalement de façade, colonne montante, parties communes en mauvais état, etc...) ou non . Suivant le cas, il est bienvenu de préparer de la trésorerie pour faire face plutôt que de se retrouver à faire des appels de fond en urgence en cas de pépin.

Dans le cas contraire le syndic fait un peu de gras sur votre dos.

C'est le jeu si vous ne voulais plus de ça vous virez le syndic et vous montez un syndic bénévole.

Bon courage à celui qui va s'en occuper.

koudy, je crois que tout le monde l'a bien compris çà

superolive, certes mais toute vérité est toujours bonne à dire

Bon ben je pose ma question alors.

Je me pose des question sur la gestion d'une copropriété à laquelle j'appartiens. Je trouve en effet les charges excessives (plus de90 € mensuels pour un studio de 30 m² dans un immeuble ancien sans prestations particulières (pas de jardin, pas d'ascenseur, pas de gardien).

En regardant le CR de gestion annuel, nous avions voté un budget de 14.000 € (dont 2.700 € de frais de syndic) mais dépensé au final 11.000 €.

La différence a été mise au crédit de la copropriété qui possède apparemment 11 000 € de trésorerie créditrice (et qui est en augmentation constante. Elle était de 6.000 € il y a deux ans).

Ma question est : est ce que cette trésorerie créditrice correspond au fond de roulement ? Si oui celui excède énormément la limite légale d'1/6e du budget annuel. Que faut il faire avec le syndic ? Est-il normal de continuer à recevoir des appels de fonds alors que le syndic provisionne une somme toujours plus grande dont les intérêts ne profitent qu'à lui ?

Par ailleurs le syndic propose un budget de 13.000 € pour l'an prochain. Cette somme est-elle contestable et peut on la ramener à une plus juste taille (11.000 €), considérant qu'il s'agit d'une petite copropriété de 10 lots.

Enfin, les frais de gestion du syndic ne sont ils pas trop élevés ? Il me semblait que le montant moyen est de l'ordre de 10 % du budget annuel. Hors là, on est bien au dessus.

Merci d'avance pour vos réponses et éclaircissements

Tout dépned de l'état de ta corpo, si de gros travaux sont à prévoir à court terme (toiture vieillissante, ravalement de façade, colonne montante, parties communes en mauvais état, etc...) ou non . Suivant le cas, il est bienvenu de préparer de la trésorerie pour faire face plutôt que de se retrouver à faire des appels de fond en urgence en cas de pépin.

Dans le cas contraire le syndic fait un peu de gras sur votre dos.

C'est le jeu si vous ne voulais plus de ça vous virez le syndic et vous montez un syndic bénévole.

Bon courage à celui qui va s'en occuper.

Je suis le syndic bénévole de ma copro (10 copropriétaires différents pour plus 19 lots).
Ça me prend environ 1h par mois sauf à l'approche de l'AG où j'ai dû y passer 2 ou 3h.
Je fais financer pour 600€ annuels l'application Illicopro. C'est une super plateforme avec des conseillers dans divers domaines (assurances, travaux...) et une communauté bien active avec un forum Massalialive-like. Tout est automatisé ou presque.
Je ne regrette absolument pas et ça évite de d'avoir à graisser un syndic professionnel qui, la plupart du temps, ne fait pas le taf, ou pas à temps, fait travailler ses copains, surfacture les prestations.

Pour la trésorerie, depuis l'an dernier la création et l'alimentation d'un fonds de travaux sont obligatoires. Et c'est utile en cas de gros pépin non prévu ou pour permettre de réduire la facture finale si gros travaux.

Aussi, si vous souhaitez continuer à payer un syndic pro, il y a une AG tous les ans durant laquelle TOUT doit être voté.

C'est parti

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C'est une ancienne icône de la mode britannique qui met la clé sous la porte. Connue pour ses motifs à fleurs souvent surchargés et toujours « so British », la chaîne de vêtements et d'ameublement Laura Ashley, qui emploie 2.700 personnes et compte 150 magasins outre-Manche, a expliqué mardi que l'épidémie de Coronavirus lui avait porté le coup de grâce, en précipitant sa faillite.

Le virus « a eu un impact immédiat et important sur l'activité et les développements en cours montrent que cette situation va durer », a reconnu la société, qui a dû se résoudre à se placer en dépôt de bilan. A charge désormais pour les administrateurs du cabinet PwC de lui trouver un repreneur, ou de la vendre par appartements.

Manque de liquidités
Si le coronavirus a accéléré la chute de Laura Ashley, c'est bien le manque de liquidités qui l'a progressivement asphyxiée. La société cherchait ces derniers jours à obtenir un prêt d'urgence de 15 millions de livres , avant la fin du mois, pour assurer sa survie. Mais elle a reconnu qu'elle n'était pas en position d'obtenir l'aide de ses créanciers.


Son actionnaire majoritaire, le groupe malaisien MUI Asia, « a confirmé qu'il était incapable d'apporter son soutien financier dans le calendrier requis », a-t-elle ajouté. La chaîne avait réussi à échapper de peu à la faillite il y a à peine un mois, grâce à un accord entre MUI et la banque américaine Wells Fargo , son principal prêteur, pour lui apporter de l'argent frais.

Baisse des ventes
L'image de la marque avait pris un coup de vieux, depuis son heure de gloire dans les années 1970-80. Elle avait aussi eu du mal à prendre le virage du numérique, la refonte de son site marchand ayant selon elle contribué à une baisse des ventes par Internet de 14,2 % l'an dernier.

Après avoir fermé 22 concessions dans le réseau du distributeur Homebase en 2016, elle avait dû se résoudre à lancer en 2018 un plan prévoyant la fermeture de 40 de ses magasins au Royaume-Uni, plus celle de 80 boutiques franchisées à l'étranger.

Expansion ratée
Les ventes avaient encore baissé de 3,5 % sur l'exercice achevé en juin dernier, et même de 11 % sur les six premiers mois de l'exercice en cours. La marque avait ainsi essuyé une perte avant impôts de 9,8 millions de livres sur le dernier exercice écoulé.

La chaîne créée en 1954 par la designer galloise Laura Ashley s'était introduite en Bourse en 1985, deux mois après la mort accidentelle de sa fondatrice, tombée en descendant à 60 ans un escalier. Son titre avait alors été sur-souscrit 34 fois, signe de son apogée. MUI était devenu son actionnaire principal en 1998, venant à sa rescousse après une expansion ratée sur le marché américain.

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La pandémie de coronavirus provoquera un «coup d'arrêt puissant, massif, brutal à notre économie» et transformera «nos habitudes de vie», a prédit jeudi Edouard Philippe devant le Sénat.

«Nous sommes entrés dans une crise sanitaire jamais vue, jamais connue en France depuis un siècle et cette crise sanitaire va imposer un coup d'arrêt puissant, massif, brutal, à notre économie», a déclaré le Premier ministre lors d'une séance de questions au gouvernement en format restreint.

Cette épidémie engendrera aussi «une transformation puissante, massive et brutale à nos habitudes collectives de vie et elle fait courir le risque d'un impact puissant massif et brutal sur les structures collectives, pas simplement nationales, mais aussi européennes et internationales», a-t-il insisté. Edouard Philippe était notamment interpellé par le patron des sénateurs Les Républicains Bruno Retailleau, qui l'interrogeait notamment sur «le décalage» entre les annonces de distribution de masques de protection et «le terrain».

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Cette épidémie engendrera aussi «une transformation puissante, massive et brutale à nos habitudes collectives de vie et elle fait courir le risque d'un impact puissant massif et brutal sur les structures collectives, pas simplement nationales, mais aussi européennes et internationales», a-t-il insisté.

Il manque un morceau de l'interview, il a ajouté :

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Mais nous pouvons écarter tout risque d'un impact puissant, massif et brutal en repoussant l'âge pivot à 67 ans.

Et le trophée de la grosse conne du jour est décerné à...

Jester, pourquoi?