MassaliaLive.com

[Bibpanda]

Jessica jones cela m'a bien fait chier, luke cage c'est très esprit black power et Iron fist très basé sur l'honneur tout comme les comics, si on apprécie pas les matériaux de bases et que l'on ne les connaît pas on peut avoir du mal avec ses séries. Ensuite le format séries va mieux que le format films pour tout ce qui est comics.

[squall]

je viens de finir Iron Fist, c'est beaucoup plus rythmé que les 3 autres séries
il n'y a pas de patte graphique ou réalisation particulière sur cette série étrangement, c'est plus "tous publics"
je trouve l'intrigue assez prenante
bref, j'attends la saison 2 avec hâte

[Fennec]

J'ai maté 3 épisodes pour me faire une opinion j'ai trouvé ça cheap au possible, tout le monde joue mal, le héros est con comme ses pieds j'ai l'impression de mater une série pour ado dans les années 90. Pour moi c'est 20 crans en dessous de Daredevil et encore plus médiocre que Jessica Jones qui déjà cassait pas trois pattes à un canard.
Ils ont intérêt de tout miser sur Daredevil pour Defenders sinon ce sera sans moi.

[squall]

Fennec, je trouve que tu te contredis
comment se faire une opinion en 3 épisodes avec les séries actuelles qui sont très molles à démarrer dans les saisons en cours (Westworld, GOT, TWD, Vikings) ?
d'autant plus que le début sert à montrer le décalage entre Danny Rand qui a gardé son innocence et le monde de requins de Rand Enterprise géré par les Meachum, ca me semble assez logique de ne pas bacler ce qui va être le socle de la psychologie du personnage principal pour la suite et donc la logique de ses choix

[Fennec]

squall, en quoi ?

[Bibpanda]

J'en suis environ au numéro 10.

Spoiler: montrer

La descente aux enfers de ward, l'innocence de Danny et sa noirceur incarnée par son désir de vengeance, le fait de ne pas défendre Ku'lun, la rupture de son voeu de chasteté en tant que moine et iron fist. Le père de Ward qui revient d'entre les morts, Joy qui change petit à petit alors que c'est elle qui permet à Danny de revenir dans l'entreprise

Ensuite il y a des scènes de combats d'art martiaux, des thèmes qui ne sont pas abordés dans les autres séries Marvel.
Un hommage à Drunken Master lors du combat en Chine.
Cette série pour le moment me plaît, je m'en suis fait 10 en deux jours et je me réserve la fin pour mon lendemain de garde.
Ce ne sont pas des héros qui peuvent être adaptés en film, on l'a bien vu avec le Dardevil avec Ben Affleck et Elektra avec Jennifer Garner.
Sinon du côtés des séries de l'univers DC, je peux pas Supergirl, Arrow ou Flash, j'arrive juste à suivre Dc Legends of Tomorrow à cause de l'antagonisme des différents personnages de l'équipe.
Vivement le retour de Gotham et j'espère que ce sera renouvelé pour la rentrée prochaine plus que Walking Dead...

[squall]

Fennec, j'ai édité mon post

Spoiler: montrer

Un hommage à Drunken Master lors du combat en Chine.

j'ai surkiffé ce combat.
bel hommage à Jackie Chan

à contrario de ce que j'ai lu, je trouve le jeu d'acteur excellent (je ne précise pas que j'ai vu en vost bien sur )
mention spéciale au père et fils, Ward et Harold

[Kaveen]

Sinon encore une série adaptée de films après training day avec bill paxton (rip) et Taken, on a le droit à Snatch.
Premier épisode dispo.

Pas vu training day (des ST uniquement pour le pilote) mais j'ai vu le pilote de Taken et Snatch.
Ca se laisse regarder, a voir.

[Dragan]

Dragan, je vais essayer de m'y remettre. Je trouvais ça vraiment trooooooooop Judd Apatow, tous les clichés du genre sont remplis, je trouvais justement que ça manquait de décalage puisque c'est la norme de ce genre là d'être gentiement décalé. Par contre j'aime bien le cast.

Je viens de finir la saison 2 de LOVE sur Netflix et c'est vraiment un petit bijou cette série avec justement plein de niveaux de lectures.

Gillian Jacobs (Mickey) est EXCEPTIONELLE dans son rôle.

Un peu de mou au milieu de la saison quand même notamment l'épisode dans la grande maison de Gus, ou Atlanta, Mais pour le reste vraiment super.
Et tous ces personnages secondaires complètement fucked up des potes totalement allumes de Gus à Bertie, a Randy, au doc de la radio, aux parents de la petite de Wichita, le réal coréen ou la réal de Wichita, ils ont créé un microcosme qui fonctionne super bien aussi.

[Odd]

Enfin un gros épisode de TWD !

[boodream]

Dragan, je suis amoureux de Gillian Jacobs, c'est l'une raisons qui me donnent envie de m'y remettre .

[Dragan]

boodream, dans cette saison elle est encore plus le personnage central de la serie que dans la 1ere saison

[Dragan]

boodream, article de ton deteste Liberation sur la derniere saison (y a pas vraiment de spoilers donc je peux le laisser tel quel):

Information

«LOVE» MI-DOUX, MI-DUR

La deuxième saison de la géniale production de Judd Apatow pour Netflix reprend les hésitations amoureuses de Gus et Mickey là où on les avait laissées.



La fiction à épisodes et les histoires d’amour ont au moins cela en commun de s’écrire sans pouvoir deviner quelle longévité leur sera accordée - souvent, lorsque le couperet tombe, il est déjà trop tard pour conclure proprement. Les unes comme les autres carburent, s’épuisent et, à terme, se disloquent, au gré d’une course après cette même denrée rare qui peut leur être retirée du jour au lendemain avec fracas : le temps. Le temps de se perdre et de se retrouver, d’avancer à tâtons ou de revenir sur ses pas pour mieux départir, au sein du magma des expériences menées, les triomphes des erreurs - les mûrir alors et éventuellement les convertir en puissances.

Il est sans doute trop tôt pour dire quelle lame de fond opère sur les relations humaines l’essor récent de la VOD sur abonnement, dont Netflix serait le plus emblématique représentant. Dans le champ des séries, en revanche, cet environnement de production et de diffusion favorise une profonde mutation des impératifs de narration d’une histoire au long cours. Commandés et livrés par saisons entières, les épisodes ne se trouvent plus soumis chacun à une logique d’audience et de rendement immédiats, censés exonérer la suite d’une annulation intempestive faute de suiveurs. Et ainsi peuvent y éclore des récits délestés du chantage à boucler leurs intrigues ou à les suspendre aux artifices court-termistes du cliffhanger, pour se déployer désormais avec une ampleur et une prodigalité de détails dont le précurseur et mètre-étalon serait la révolution The Wire - projet alors couvé par HBO malgré ses audiences faméliques.

Ellipses.
La calme et limpide radicalité de Love, dont les douze épisodes de la deuxième saison viennent de paraître sur Netflix, a quelque chose à voir avec celle de cet écrasant modèle, à cette différence qu’elle s’exerce ici non pas sur les rapports de force à l’œuvre au sein d’une ville, mais sur un rapport amoureux. L’histoire d’un couple de trentenaires angelenos, Gus et Mickey, a priori mal assortis et pleins de travers, de sa naissance à - selon la promesse de ses producteurs - son enlisement dans la routine. Ce que le chef-d’œuvre de David Simon faisait à la fiction d’enquête, Love l’opère ainsi sur le squelette archétypal de toute comédie romantique, ici ventilé, ou plutôt comme anamorphosé, pour mieux ausculter minutieusement, de la chair des vies qui s’y jouent, tout ce que l’ordinaire du genre engloutit dans des ellipses ou recouvre de péripéties téléphonées.

Toujours sous la houlette mi-tendre, mi-crue du maître de la comédie naturaliste Judd Apatow, dont la patte apparaît à nouveau très sensible, et du couple d’auteurs Lesley Arfin-Paul Rust (ce dernier endossant lui-même avec mille nuances le rôle ingrat de Gus face à la merveilleuse Gillian Jacobs), la saison 2 reconduit la cadence et les prodiges empathiques de la première. Soit ce miracle et ce geste fou qui revenaient à étirer l’instant d’une rencontre amoureuse sur dix épisodes, à s’enliser dans le laps de sa temporalité propre, à en scruter les détours, les impasses, les diversions sur écran de smartphone et les rendez-vous manqués, décrits dans leur intime et complexe vulnérabilité.

Cela, avec une générosité ménageant espace et attentions à toutes les antithèses, tous les points de vue sur la plus triviale situation, y compris celui d’une figure secondaire a priori dévolue à l’antipathie - on n’a rien vu de plus beau depuis longtemps dans une série que la manière dont l’épisode conclusif de la dernière salve colore ce qui ne serait ailleurs que happy end du déchirement ressenti par l’un de ces personnages tiers.

Tremblements.
Rien ne permet de soupçonner encore à quel genre d’issue, noces débonnaires ou dévoration d’un des partenaires, ces tremblements mènent les deux protagonistes in fine. Tout juste se prend-on à rêver encore, alors que la troisième saison vient d’entrer en tournage, à ce que, pour nous y conduire, Love continue de prendre tout, tout son temps.

http://next.liberation.fr/images/2017/0 ... ur_1556555

[boodream]

Dragan, ca donne envie. Vais me refaire la saison 1 en entier avant parce que j’avais laché genre à l'épisode 5.

[randoulou]

Odd, j'ai failli tomber dans ton piège. J'avais commencé à m'énerver en lisant ton post

[Remind]

C'est pas loin d'être une belle escroquerie cette saison 7 de TWD.

De loin, la pire saison de toutes.

[squall]

Remind, je ne peux que plussoyer

[The Flankeur]

squall, Remind, TWD c’était LA série que je matais des que c’était en ligne.
là j'avais deja fais une longue pause après l’épisode 7.
j'ai repris ensuite jusque l’épisode 11 et la je n'arrive pas a m'y remettre, vos commentaire n'aidant pas des masses...

[Dragan]

[boodream]

Dragan, non.