Ces petits riens qui NE vous font PAS plaisir

Verbiage. Change le mot si tu veux, tu as compris ce que je voulais dire.
La lutte c'est pas une finalité. C'est juste un moyen.

Tu as utilisé le mot de casse, pas celui de lutte.

Dans une ère où toute personne qui lutte avec les moyens mis à sa disposition est assimilée de près ou de loin à un privilégié (lu à plusieurs reprises ici ou entendu de la bouche de nos gouvernants), à un casseur (le raccourci est fait pas de nombreux éditorialistes et politicards, coucou Gégé), permets moi de te reprendre là dessus.

Je lutte en faisant grève, en discutant avec autrui, parfois en bloquant (mes années étudiantes). Mais je n'ai jamais cassé. Les mots ont un sens.

Sillicate a il me semble résumé le propos de Iama. En tout cas c'est comme ça que je l'ai lu.

Je n'ai jamais cassé.

Oui, bon, un peu les c... quand même.

Et encore, ça c'est sans compter les mp's...

Verbiage. Change le mot si tu veux, tu as compris ce que je voulais dire.
La lutte c'est pas une finalité. C'est juste un moyen.

Tu as utilisé le mot de casse, pas celui de lutte.

Dans une ère où toute personne qui lutte avec les moyens mis à sa disposition est assimilée de près ou de loin à un privilégié (lu à plusieurs reprises ici ou entendu de la bouche de nos gouvernants), à un casseur (le raccourci est fait pas de nombreux éditorialistes et politicards, coucou Gégé), permets moi de te reprendre là dessus.

Je lutte en faisant grève, en discutant avec autrui, parfois en bloquant (mes années étudiantes). Mais je n'ai jamais cassé. Les mots ont un sens.

Mais dans l'absolu ça ne me choque pas que quelqu'un vivant une situation d'injustice puisse avoir envie de tout casser.
Ça n'est pas un jugement de valeur du tout de ma part.

L'histoire nous montre d'ailleurs dans notre propre pays que ceux qui naguère étaient considérés comme des casseurs ou des terroristes par un pouvoir injuste sont devenus ensuite des héros nationaux.

J'ai vu ça... D'habitude je m'en fous de tout, je suis cynique, mais là, ça m'a brisé le cœur.

Je n'ai jamais cassé.

Oui, bon, un peu les c... quand même.

Je n'oblige personne à me lire.

Passez votre chemin ou virez moi si mes messages vous défrisent.

Tu devrais surtout développer le sens de l’humour et le second degré.
Ce n’est pas obligatoire, certes, mais je pense que ça te ferait du bien.

Remind, le message de fourcroy était clairement au second degré.

Par contre, je ne pense pas que celui de peezee (peu après) l'était

Castor_Troy, bah donc j’ai bon, il a quoté celui de fourcroy!

Déconnez pas j'avais jamais trouvé fourcroy aussi sérieux et crédible sur le forum.

Tu devrais surtout développer le sens de l’humour et le second degré.
Ce n’est pas obligatoire, certes, mais je pense que ça te ferait du bien.

Le second degré permet de faire comprendre des choses par l'humour.
J'ai répondu à ce que j'avais compris par un message sérieux.

Je peux le faire aussi par du second degré, peut être eut-ce été d'ailleurs la meilleure réplique.

Foucroy,

Tu me casses un peu les c.... avec tes tacles gratuits.

Sauf que là, on sait tous que c’est pas du second degré

J'avais pourtant mis beaucoup de coeur à l'ouvrage...

Pour la deuxième fois, avoir perdu mon sang froid face aux pleurs de la petite en pleine nuit. Rien de grave, évidemment, mais le simple fait de hausser la voix face à un bébé est une défaite, et ça me mine.
J'ai vraiment du mal à encaisser les nuits fragmentées, le fait que mon travail soit physique ne m'aide pas non plus.
Les papas du forum, vous faisiez quoi vous quand ça devenait nerveusement compliqué?

Spoiler: montrer

IceCold, Déjà, cesse de culpabiliser. S'occuper d'un bébé n'a rien d'une sinécure et oui, c'est super éprouvant physiquement et nerveusement. Pour tout le monde sauf les gros blaireaux qui estiment que ce n'est pas leur rôle.

Ensuite, quand j'étais à ta place, je cherchais à identifier le problème. Couche ? Faim ? Soif ? Trop chaud ? Trop froid ? Plis gênants du drap ? Remontées acides ? Il faut procéder par élimination. Et si ce n'est pas identifié, se dire que ce n'est donc pas grave. Le principal est que ta petite est en sécurité. C'est important parce qu'on a tendance à suragir quand on ne trouve pas et à créer des problèmes où il y en a pas. Par exemple, après le bib de la nuit, quand je recouchais ma petite, je m'inquiétais qu'elle pleurait quand elle quittait mes bras et rejoignais son berceau. Du coup, je la reprenais aussitôt instinctivement. Et re-pleure au moment de la recoucher. Jusqu'à ce que la sage-femme me conseille de ne pas la reprendre au bras après l'avoir déposée, juste lui parler, lui dire que je suis là, un bisous pour la rassurer. Des fois, le bébé est juste perdu de s'être endormi sur son parent et se réveiller dans son lit.
Ca signifie aussi accepter que le bébé pleure, sans qu'on sache exactement pourquoi du moment que, je le répète, le bébé est en sécurité.

Enfin, pour tenir malgré tout, ce qui m'a aidé, c'est d'avoir des moments pour récupérer et évacuer la pression. Comme :

1) Gérer le truc à deux (alternance des levers quitte à se répartir la nuit)
2) Se faire aider et déposer le bébé si possible chez parents/ beaux-parents pour une nuit
2) vivre au rythme de l'enfant. Se coucher tôt et faire des siestes dès que possible (pas évident quand on bosse).

Coraggio cumpa' ! Ca ne dure qu'un moment les problèmes de sommeil en général. L'organisme régule les choses avec la croissance. En attendant, on fait comme on peut : normal de craquer parfois.

Pour la deuxième fois, avoir perdu mon sang froid face aux pleurs de la petite en pleine nuit. Rien de grave, évidemment, mais le simple fait de hausser la voix face à un bébé est une défaite, et ça me mine.
J'ai vraiment du mal à encaisser les nuits fragmentées, le fait que mon travail soit physique ne m'aide pas non plus.
Les papas du forum, vous faisiez quoi vous quand ça devenait nerveusement compliqué?

Si c'est nerveux pour toi, autant la laisser pleurer à ce moment là (tant que tu la sais en sécurité). Tu ne l'aidera pas en criant, et tu ne feras qu'empirer les choses vis à vis d'elle et de toi. Donc quand tu sens que ça va pas le faire, retourne au lit.

Ceci dit, c'est quand même normal, surtout au milieu de la nuit, de perdre patience, c'est j'imagine le cas de tout le monde ou presque.

Sinon, un peu de temps pour toi serait la meilleur chose. Si tu peux la laisser de temps en temps à la famille, te changer les idées et recharger les accus...

Conclusion : militer pour travailler mois, davantage de temps libre égale plus de monde disponible pour t'aider, plus de temps de repos, une meilleur éducation pour ta fille, et moins de remord pour toi. C'est ça le progrès ^^