Ces petits riens qui NE vous font PAS plaisir

Moi j’aime mon boulot mais j’ai envie de gagner plus. J’ai 32 ans et j’ai envie de prendre un risque et de trouver quelque chose de nouveau et bien rémunéré

Numéro 9 à l'OM ? Je crois que y a un poste qui va bientôt se libérer

ruby, euphémisme quand tu nous tiens!

Et il te manque encore des clés de compréhension de la psychologie féminine. Quand une femme quitte un homme, bien souvent elle veut le marquer au fer rouge, et ne supporte pas qu’il refasse sa vie. C’est con, et ça ne signifie surtout pas qu’elle est encore amoureuse de toi, mais simplement qu’elle t’a encore sous sa coupe, même séparé. Surtout quand toi tu as été au fond du trou comme ce fut le cas.
Du coup le jour où tu passes à autre chose et qu’elle se rend compte qu’elle n’est plus rien pour toi, la pilule passe difficilement. A elle de construire son deuil maintenant.

Schéma classique en psychologie.

Et après c’est nous les hommes qui sommes qualifiés de pervers narcissiques ou de manipulateurs ?

Content pour toi ruby, tu nous a inquiété !;-)

Et comme vous pour le boulot, en plein burn out :
Trop de pression, trop peu payé pour ca, une fermeture à gérer, un nouveau projet à monter avec encore plus de pression, un nouveau diplôme ( comme si j'avais besoin d'aller faire le clampin à Paris , Bordeaux et Angers)... et pour couronner mon ex-femme me réclame encore et toujours plus d'argent.

Heureusement, jai enfin une vraie stabilité dans ma vie privée.

gob, Commence à nous les briser menus ces ex

J'y suis en plein Burn out à cause de ces putains de gonzesses...
Il y en a une qui m'a appelé à 05h30 car elle a planté un automate et c'était mon jour de repos...
Et cette conne, elle faisait comme si elle le savait pas alors qu'elle a les horaires affichées dans le labo.
Demain je vais être désagréable et ours comme jamais, ça va chier.

Les gonzesses c'est mon rayon

Dragan, parfaite l'image

Content pour toi ruby, tu nous a inquiété !;-)

Et comme vous pour le boulot, en plein burn out :
Trop de pression, trop peu payé pour ca, une fermeture à gérer, un nouveau projet à monter avec encore plus de pression, un nouveau diplôme ( comme si j'avais besoin d'aller faire le clampin à Paris , Bordeaux et Angers)... et pour couronner mon ex-femme me réclame encore et toujours plus d'argent.

Heureusement, jai enfin une vraie stabilité dans ma vie privée.

Super Bordeaux tu viens quand ?

on s'en lassera pas de leur clapping putain

Je sais pas si c'est l'age ou l'époque avec ses technos qui accélèrent tout et permettent l'hyper concurrence, mais plein de potes de mon age sont dans cette tendance du burnout.

En tout cas c'est très compliqué et très douloureux.

Je prendrai bien un soin M. Lannoy.

C'est la crise de la quarantaine....

320cds, je pense qu'on commence a peine a decouvrir les maladies pros dont notre generation va souffrir, le progres a toute vitesse c'est cool mais ca a ses victimes collaterales

Je me reconnais un peu dans vos témoignages (à part pour la relation avec vos ex-femmes, vu que je ne suis pas marié, et ne compte pas l'être de sitôt).

De mon côté, mes collègues (à 90% des femmes) m'ont mis la misère pendant plus d'une année entière. En gros, elles sont intransigeantes sur la moindre petite règle, sur la moindre petite erreur...
Le problème, c'est que toutes leurs règles à la con sont écrites dans des manuels en japonais et même si je parle leur langue, je ne comprends pas tout non plus.
En plus, on me reproche des attitudes qui ne sont pas assez japonaises, alors que bon... je ne suis pas japonais justement. Je leur ai deja dit que s'ils voulaient un japonais, il fallait prendre un japonais. Ils ne comprennent pas parce que les autres étrangers d'origines asiatiques n'ont pas du tout les mêmes problèmes que moi.

On m'a par exemple reproché de ne pas dire bonjour d'une voix suffisamment forte, de ne pas m'écraser devant mes collègues sous prétexte qu'elles ont quelques mois d'ancienneté de plus que moi, de ne pas connaître par coeur les slogans de la boite, de ne pas être à fond investi dans l'esprit de la boite, d'avoir croisé mes bras lors d'une réunion, d'aller souvent aux toilettes, de prendre des pauses de plus de 5 minutes pour m'aérer la tête, de ne pas répondre au téléphone en japonais (je l'ai fait une fois et je me suis fait pourrir par le mec à l'autre bout du fil parce que je n'étais pas natif et ne comprenais pas tout), et de ne pas faire d'heures supplémentaires le soir etc.

Elles ont réussi à retourner la tête de mes managers qui ont d'abord accedé aux demandes de ces vipères et m'obliger à suivre toutes leurs règles à la lettre, ce qui n'a pas marché pour des raisons évidentes. Ils ont alors essayé de me faire démissionner, mais j'ai tenu bon parce que ce serait une grave erreur pour moi, puisque ça équivaudrait à la perte de mon visa et surtout a aucune indemnité de chômage.

J'ai donc fermé ma gueule, baissé la tête, construit un mur autour de moi pour me protéger, et j'ai cherché un autre boulot pendant quelques mois.

C'est au cours de ma recherche d'emploi que via mon network en France et au Japon, j'ai apporté à ma boite un partenariat en or.
Pour le mener à bien, il est question de créer une équipe spéciale consulting pour les collectivités locales japonaises. J'ai hâte que ce soit le cas, en plus ce serait une expérience formidable pour ma carrière. En revanche, ce n'est pas encore officiel, et je dois encore me taper mes collègues actuels, et rester à un poste qui me les brise le tout en travaillant sur le gros projet en question.

En ce moment, je mène de front deux boulots à plein temps et ca commence a être difficile à gérer...

C'est un peu l'enfer de bosser dans un tel environnement, et je ne le souhaite vraiment à personne.

Désolé pour toi, ça me fait penser au film avec Sylvie Testud basé sur un livre d'Amelie Nothomb, l'expérience du boulot au Japon et les problèmes culturels...

Cecco, Cecco, Stupeur et tremblements est très romancé, mais il y a beaucoup de vrai.
J'ai une amie qui bossait dans une structure japonaise aussi, et elle a fini en dépression puis par rentrer en France.

Une fois mon projet fini, si jamais je veux rester au Japon, je chercherai un boulot dans une boite étrangère avec des étrangers comme moi.

Cecco, Stupeur et tremblements est très romancé, mais il y a beaucoup de vrai.
J'ai une amie qui bossait dans une structure japonaise aussi, et elle a fini en dépression puis par rentrer en France.

Une fois mon projet fini, si jamais je veux rester au Japon, je chercherai un boulot dans une boite étrangère avec des étrangers comme moi.

Flippant de voir comme vous êtes nombreux à ne pas être épanouis au travail Je vous souhaite du courage à tous.
Ces dans ces moments-là que je mesure ma chance d'avoir un boulot que me plaît beaucoup, dans un grand groupe (donc confort au travail)

AHAHAH ! Pression du patron pour faire plus tout en nous diminuant les moyens alloués, en ne remplaçant pas les départs (actuellement 15% des effectifs) et en nous foutant en l'air l'informatique sur un coup de tête (du jour au lendemain, on découvre qu'on vient de changer de logiciel d'agenda, de logiciel de gestion des encaissements/tiers-payants, et on change aussi de serveurs). Deux dirigeants de chaines d'optiques nationales qui font du lobbying pour détruire notre profession en faisant supprimer notre diplôme, une ministre à la rue qui nous impose un devis "simplifié" à destinations de la patientèle en 4 pages, qu'on met en place, pour décider la veille du déploiement de revenir à un devis "moins simplifié" de 2 pages. Plus un dégâts des eaux dans mon immeuble, avec des locataires qui essaient de faire retomber la responsabilité sur tout le monde et ne font pas réparer leur douche qui inonde mes voisins du dessus et moi (100% de taux d'humidité chez les voisins, 80% chez moi). Et deux mamies qui décèdent dans la famille proche. Et ça c'est juste le mois écoulé.(et Tatcher est toujours président).