Gastibelza a écrit:On parle d'un parti dont militants et dirigeants ont été maintes fois condamnés pour racisme et qui propose un programme fondé sur la discrimination.
Tu parles de l'UMP ?
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Gastibelza a écrit:On parle d'un parti dont militants et dirigeants ont été maintes fois condamnés pour racisme et qui propose un programme fondé sur la discrimination.
jarlandine a écrit:L' a qu' à voter où il habite, c' est à dire à Paris, comme ça, en scooter, ça coûtera rien au contribuable
Garm a écrit:sonny a écrit:jarlandine a écrit:Hollande est bien allé voter en falcom, NKM peut bien aller jusqu" au métro en voiture
En même temps, le président en TER, niveau sécurité il y a mieux
Genre le président en tgv 1ere classe il court des risques.
Moundir33 a écrit:Garm a écrit:sonny a écrit:jarlandine a écrit:Hollande est bien allé voter en falcom, NKM peut bien aller jusqu" au métro en voiture
En même temps, le président en TER, niveau sécurité il y a mieux
Genre le président en tgv 1ere classe il court des risques.
Il pourrait être victime d'un Scud tiré par des indépendantistes Berrichons.
En fait ya pas de TGV pour la Corrèze, c'est train 4h30 de train corail.
richardB a écrit:Aucun politique ou journaliste pour casser les propositions points par point du FN, juste du front républicain et des conneries répétés 100 fois mais aucune opposition sur le fonds...
Garm a écrit:Moi je trouve ça très bien que le FN ait eu HB, je n'ai jamais entendu parler de cette ville autrement qu'en rapport avec le FN. En revanche j'espère que la médiatisation de la ville continuera et que l'impact de la gestion du FN sera largement relayé. Y'a pas meilleur contre-argumentaire.
gaby a écrit:Gastibelza, ça va être un gouffre financier énorme.
La gratuité entraîne, c’est évident, une modification de la structure de financement des transports en commun. D’un côté, les recettes de billetterie disparaissent – mais aussi les frais d’impression des billets et les salaires des contrôleurs ; de l’autre, les frais de fonctionnement liés à la hausse de la fréquentation (davantage de bus en circulation et de chauffeurs) augmentent. Alors, comment financer sans piocher dans la poche des usagers ? En mettant les entreprises de l’agglomération à contribution. Le versement transport auquel elles sont assujetties dès qu’elles ont plus de neuf salariés a été triplé au niveau de l’agglomération, passant de 0,6% à 1,8%. Suffisant pour se passer de recettes et investir dans de nouveaux bus. Et ce, avec l’adhésion des employeurs qui y trouvent, au final, leur compte : les salariés qui viennent au travail en transports en commun sont moins fatigués et donc plus efficaces.
Plusieurs études menées au pays d’Aubagne et de l’Etoile montrent que le trafic routier a baissé de 10% en trois ans. Un usager sur cinq ne prenait jamais le bus avant la gratuité, 63% des trajets qu’elle a générés auraient autrement été effectués en voiture ou en deux roues motorisé. Plus de la moitié des usagers déclarent prendre bien plus souvent le bus qu’avant, que ce soit pour faire leurs courses, aller au travail ou à l’école, rendre des visites de courtoisie, se déplacer pour ses loisirs, etc.
En plus d’Aubagne et de Châteauroux, 23 réseaux de transports urbains, sur 290, ont fait le choix de la gratuité totale pour les usagers (dont sept communes de plus de 40 000 habitants [4]). Et donc de se passer des recettes de billetterie. Les ventes de ticket couvrent en moyenne 20% des besoins de financement d’un réseau de transport urbain, rappelle le Groupement des autorités responsables de transport (GART), derrière les impôts locaux (30%), et les contributions des entreprises et des administrations (48%). Le GART, qui rassemble les villes et collectivités disposant d’un réseau de transport public, « n’encourage pas cette pratique » : la gratuité ne serait pertinente que pour les petits réseaux.
Pour remplacer les recettes de billetterie, Aubagne et Châteauroux ont décidé d’augmenter la contribution « versement transport » (VT). Celle-ci est payée par les entreprises privées ou publiques situées sur le territoire et employant plus de neuf salariés. Dans les deux villes, cette contribution a été portée respectivement à 1,8 et 0,6% de la masse salariale de l’entreprise [5]. S’y ajoute une ponction limitée au budget général de la collevctivité. Alors que la billetterie rapportait 710 000 euros, la hausse de la contribution des entreprises aux infrastructures de transports rapporte 5 millions d’euros supplémentaires.
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