Re: Politique : Mutations et Enjeux
10 Sep 2014, 21:55
Jean-Marie Le Guen se réjouit du retour de Nicolas Sarkozy
A la question : « Souhaitez-vous le retour de Nicolas Sarkozy ? » Jean-Marie le Guen répond… « Evidemment».
Invité mercredi de l'émission « Questions d'info » sur LCP en partenariat avec Le Monde, France Info et l'AFP, le secrétaire d'Etat aux relations avec le Parlement s'est dit pressé que le débat s'engage avec l'ancien président de la République. « Ça fait maintenant deux ans que nous sommes seuls sur le ring. On va écouter la différence », a-t-il lancé.
Jean-Marie Le Guen n'est pas mécontent de la confrontation qui s'annonce. « De toutes les solutions proposées par la droite, celles de Nicolas Sarkozy sont les plus inadaptées aux problèmes du pays. »
http://www.lemonde.fr/politique/article ... r=RSS-3208
Le mec est content que Sarkozy revienne comme ça les français verront qu'il ne propose rien et ça remontera le crédit du PS.
Non mais franchement, putain, en arriver à souhaiter ça. "Regardez comme en face ils sont nuls".
A croire que la gauche n'est bonne que dans l'opposition.
Il a pensé ce tromblon qu'avec la popularité de son président, "n'importe quel veau" passera en face. Cool que ce soit le pire pour le pays.
Re: Politique : Mutations et Enjeux
10 Sep 2014, 21:58
Jester a écrit:Tu veux dire que Valls et Bielsa... même combat ?
Sont aussi bien servis l' un que l' autre avec flamby et Laburne , deux imbus de leur nullité qu' il prennent pour du génie et qui ne songent même pas que le premier quidam venu pourrait facilement faire mieux
Re: Politique : Mutations et Enjeux
10 Sep 2014, 21:59
Cela sera pire son retour pour l'image des politiques. De nouvelle tête de nouveaux partis doivent émerger. Sinon on va vivre une sale période
Re: Politique : Mutations et Enjeux
10 Sep 2014, 22:13
jarlandine a écrit:Jester a écrit:Tu veux dire que Valls et Bielsa... même combat ?
Sont aussi bien servis l' un que l' autre avec flamby et Laburne , deux imbus de leur nullité qu' il prennent pour du génie et qui ne songent même pas que le premier quidam venu pourrait facilement faire mieux
Je vous (te) trouve vachement dur avec Labrune.
Il a au moins recruté Thauvin lui.
Re: Politique : Mutations et Enjeux
11 Sep 2014, 07:06
Nul ou pas nul, la politique économique mise en place reste dans les grandes lignes la même.
Re: Vs: Politique : Mutations et Enjeux
11 Sep 2014, 07:36
John a écrit:jarlandine a écrit:Jester a écrit:Tu veux dire que Valls et Bielsa... même combat ?
Sont aussi bien servis l' un que l' autre avec flamby et Laburne , deux imbus de leur nullité qu' il prennent pour du génie et qui ne songent même pas que le premier quidam venu pourrait facilement faire mieux
Je vous (te) trouve vachement dur avec Labrune.
Il a au moins recruté Thauvin lui.
Certes, mais il est tout de même un peu jeune pour être secrétaire d'état je trouve.
Re: Politique : Mutations et Enjeux
11 Sep 2014, 20:39
Bon, bah on continue la même politique, même en Europe...
http://www.bastamag.net/Anti-ecolos-et-pro-marches
http://www.bastamag.net/Anti-ecolos-et-pro-marches
Re: Politique : Mutations et Enjeux
15 Sep 2014, 23:22
Information
Sur son blog, l'ancienne ministre et députée Michèle Delaunay souligne la déconnexion des réalités de certains de ses collègues.
Après avoir brillamment réussi ses études à Sciences-Po, le jeune étudiant intègre la fonction publique, ou le cabinet d’un élu, avant d’être parachuté dans une circonscription facile, sous le regard bienveillant «d’un mentor», et d’y rester implanté pour plusieurs mandats, en les cumulant bien évidemment.
Voilà le parcours d’un certain type de politiques français, tel que décrit par l’ancienne ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’autonomie, la socialiste Michèle Delaunay, qui a voulu dénoncer cet itinéraire tout tracé de nombreux élus français, dans un billet publié sur son blog samedi, «Comment faire carrière sans mettre un pied dans la vraie vie».
Seul passeport
Elle appelle cela «le tunnel», une fois dedans, la carrière de ces jeunes élus va se dérouler sans accroc en dehors de toute réalité sociale ou économique. «Ces élus n’ont jamais connu la vie réelle. Entrés tôt dans le tunnel, ils n’en sont jamais ressortis, dénonce-t-elle. S’il est élu, le parachuté devient un conquérant. Nul, sur le terrain, ne le connaissait avant, ne sait vraiment quelles études il a fait ou s’il a eu jamais la moindre responsabilité. Son document électoral est son seul passeport.»
Son nom n’est jamais cité mais le parcours décrit rappelle évidemment le cas Thomas Thévenoud. Après avoir réussi Sciences-Po Paris, le nouveau paria de la gauche était entré en 2000, à l’âge de 26 ans, au cabinet de Laurent Fabius, alors ministre de l’Economie et des Finances. Avant d’être élu premier adjoint à Montceau-les-Mines en 2001, de devenir vice-président du conseil général de Saône et Loire en 2008, d’entrer à l’Assemblée nationale en 2012 et d’entrer au gouvernement Valls, pour neuf jours.
Dans son billet, Michèle Delaunay raille cet entre soi politique, d’élus tous originaires du même milieu social et fabriqués dans le même moule. Ce qui n’est pas son cas. La députée de Gironde a en effet une longue carrière en tant que médecin à Bordeaux avant d’entrer en politique en devenant conseillère municipale à Bordeaux à 2001, à l’âge de… 54 ans. Un parcours plutôt rare dans le paysage politique français.
Seulement deux ouvriers à l’Assemblée nationale
«J’ai pour voisin à l’Assemblée un des deux seuls exploitants agricoles qui y siègent. Il s’y sent sur une autre planète et raisonne d’une manière différente. Pour sûr, il sait ce que payer une facture veut dire ou répondre à une échéance», explique-t-elle toujours sur son blog.
Les statistiques des origines sociales des députés de l’actuelle législature viennent confirmer ce constat. Ainsi 81,5% des 577 députés appartiennent à la catégorie des cadres et des professions intellectuelles supérieures. Contre 6,6 % des artisans et seulement… deux ouvriers, selon l’Observatoire des inégalités.
Face à cette réalité, Michèle Delaunay tente de sensibiliser les électeurs : «Dans le choix que vous aurez à faire de l’un ou l’autre candidat à l’une ou l’autre élection, il peut n’être pas inutile de regarder s’il est passé par la case Réalité.»
Après avoir brillamment réussi ses études à Sciences-Po, le jeune étudiant intègre la fonction publique, ou le cabinet d’un élu, avant d’être parachuté dans une circonscription facile, sous le regard bienveillant «d’un mentor», et d’y rester implanté pour plusieurs mandats, en les cumulant bien évidemment.
Voilà le parcours d’un certain type de politiques français, tel que décrit par l’ancienne ministre déléguée aux Personnes âgées et à l’autonomie, la socialiste Michèle Delaunay, qui a voulu dénoncer cet itinéraire tout tracé de nombreux élus français, dans un billet publié sur son blog samedi, «Comment faire carrière sans mettre un pied dans la vraie vie».
Seul passeport
Elle appelle cela «le tunnel», une fois dedans, la carrière de ces jeunes élus va se dérouler sans accroc en dehors de toute réalité sociale ou économique. «Ces élus n’ont jamais connu la vie réelle. Entrés tôt dans le tunnel, ils n’en sont jamais ressortis, dénonce-t-elle. S’il est élu, le parachuté devient un conquérant. Nul, sur le terrain, ne le connaissait avant, ne sait vraiment quelles études il a fait ou s’il a eu jamais la moindre responsabilité. Son document électoral est son seul passeport.»
Son nom n’est jamais cité mais le parcours décrit rappelle évidemment le cas Thomas Thévenoud. Après avoir réussi Sciences-Po Paris, le nouveau paria de la gauche était entré en 2000, à l’âge de 26 ans, au cabinet de Laurent Fabius, alors ministre de l’Economie et des Finances. Avant d’être élu premier adjoint à Montceau-les-Mines en 2001, de devenir vice-président du conseil général de Saône et Loire en 2008, d’entrer à l’Assemblée nationale en 2012 et d’entrer au gouvernement Valls, pour neuf jours.
Dans son billet, Michèle Delaunay raille cet entre soi politique, d’élus tous originaires du même milieu social et fabriqués dans le même moule. Ce qui n’est pas son cas. La députée de Gironde a en effet une longue carrière en tant que médecin à Bordeaux avant d’entrer en politique en devenant conseillère municipale à Bordeaux à 2001, à l’âge de… 54 ans. Un parcours plutôt rare dans le paysage politique français.
Seulement deux ouvriers à l’Assemblée nationale
«J’ai pour voisin à l’Assemblée un des deux seuls exploitants agricoles qui y siègent. Il s’y sent sur une autre planète et raisonne d’une manière différente. Pour sûr, il sait ce que payer une facture veut dire ou répondre à une échéance», explique-t-elle toujours sur son blog.
Les statistiques des origines sociales des députés de l’actuelle législature viennent confirmer ce constat. Ainsi 81,5% des 577 députés appartiennent à la catégorie des cadres et des professions intellectuelles supérieures. Contre 6,6 % des artisans et seulement… deux ouvriers, selon l’Observatoire des inégalités.
Face à cette réalité, Michèle Delaunay tente de sensibiliser les électeurs : «Dans le choix que vous aurez à faire de l’un ou l’autre candidat à l’une ou l’autre élection, il peut n’être pas inutile de regarder s’il est passé par la case Réalité.»
http://www.liberation.fr/politiques/201 ... el_1100789
Re: Politique : Mutations et Enjeux
16 Sep 2014, 18:36
Résumé du court article : les stades, une machine à pognon.
http://cqfd-journal.org/Stadium-piege-a-consomme
(Je ne sais pas où mettre ce genre d'article)
http://cqfd-journal.org/Stadium-piege-a-consomme
(Je ne sais pas où mettre ce genre d'article)
Re: Politique : Mutations et Enjeux
17 Sep 2014, 11:48
La gamelle du jour pour le Ps ...
Information
Le premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, aurait usurpé une partie de ses diplômes avant de présenter sa thèse, affirme le journaliste de Médiapart Laurent Mauduit dans un livre à paraître jeudi. «C'est du très grand n'importe quoi», a réagi auprès de l'AFP Jean-Christophe Cambadélis.
Selon ce livre, intitulé À tous ceux qui ne se résignent pas à la débâcle qui vient (Éditions Don Quichotte), Jean-Christophe Cambadélis aurait obtenu son doctorat de troisième cycle de sociologie à Jussieu et soutenu sa thèse alors même qu'il n'avait pas les diplômes antérieurs requis. Médiapart en publie les bonnes feuilles ce mercredi.
«Ni licence, ni maîtrise, ni, a fortiori, DEA»
«En 1984, il n'a ni licence, ni maîtrise, ni, a fortiori, DEA», affirme le journaliste. Selon lui, Jean-Christophe Cambadélis parvient alors à faire fabriquer un «faux» dans une université parisienne et à s'inscrire à l'université de Paris VII-Jussieu, en disposant «d'un allié dans la place», Pierre Fougeyrollas, résistant communiste, sociologue et anthropologue venu enseigner à Jussieu. Celui-ci a rejoint «en 1974 l'OCI et s'est lié d'amitié avec Pierre Lambert», dirigeant de l'organisation trotskiste. Jean-Christophe Cambadélis a milité au sein de l'Organisation communiste internationale dans les années 1970.
Selon l'auteur, qui fut aussi militant à l'OCI et dirigeant de l'Unef au milieu des années 1970, contrairement à ce qu'affirmait la biographie de l'actuel patron du PS sur Wikipédia (jusqu'à ce mercredi, celle-ci ayant été modifiée ce jour), sa thèse n'a pas été soutenue en 1987 mais en 1985 et le sujet de sa thèse ne porte pas sur «les mouvement sociaux sous la Ve République» mais s'intitule «Bonapartisme et néocorporatisme sous la Ve République».
Laurent Mauduit ajoute qu'«en juin 1985, Cambadélis soutient sa thèse et obtient haut la main son doctorat». Le jury qui le lui accorde «présente cette singularité» de compter parmi ses membres Pierre Fougeyrollas mais aussi Gérard Namer, professeur de sociologie et universitaire socialiste avec lequel Cambadélis (...) a créé peu avant des sections Force ouvrière dans l'enseignement supérieur», soutient l'auteur, qui relève que sur son site Internet propre, Jean-Christophe Cambadélis ne fait aucune allusion à ce diplôme.
Selon ce livre, intitulé À tous ceux qui ne se résignent pas à la débâcle qui vient (Éditions Don Quichotte), Jean-Christophe Cambadélis aurait obtenu son doctorat de troisième cycle de sociologie à Jussieu et soutenu sa thèse alors même qu'il n'avait pas les diplômes antérieurs requis. Médiapart en publie les bonnes feuilles ce mercredi.
«Ni licence, ni maîtrise, ni, a fortiori, DEA»
«En 1984, il n'a ni licence, ni maîtrise, ni, a fortiori, DEA», affirme le journaliste. Selon lui, Jean-Christophe Cambadélis parvient alors à faire fabriquer un «faux» dans une université parisienne et à s'inscrire à l'université de Paris VII-Jussieu, en disposant «d'un allié dans la place», Pierre Fougeyrollas, résistant communiste, sociologue et anthropologue venu enseigner à Jussieu. Celui-ci a rejoint «en 1974 l'OCI et s'est lié d'amitié avec Pierre Lambert», dirigeant de l'organisation trotskiste. Jean-Christophe Cambadélis a milité au sein de l'Organisation communiste internationale dans les années 1970.
Selon l'auteur, qui fut aussi militant à l'OCI et dirigeant de l'Unef au milieu des années 1970, contrairement à ce qu'affirmait la biographie de l'actuel patron du PS sur Wikipédia (jusqu'à ce mercredi, celle-ci ayant été modifiée ce jour), sa thèse n'a pas été soutenue en 1987 mais en 1985 et le sujet de sa thèse ne porte pas sur «les mouvement sociaux sous la Ve République» mais s'intitule «Bonapartisme et néocorporatisme sous la Ve République».
Laurent Mauduit ajoute qu'«en juin 1985, Cambadélis soutient sa thèse et obtient haut la main son doctorat». Le jury qui le lui accorde «présente cette singularité» de compter parmi ses membres Pierre Fougeyrollas mais aussi Gérard Namer, professeur de sociologie et universitaire socialiste avec lequel Cambadélis (...) a créé peu avant des sections Force ouvrière dans l'enseignement supérieur», soutient l'auteur, qui relève que sur son site Internet propre, Jean-Christophe Cambadélis ne fait aucune allusion à ce diplôme.
Re: Politique : Mutations et Enjeux
17 Sep 2014, 16:18
Ou il va dénicher tout ça, le moustachu de Médiapart ??? Aller farfouiller dans les diplômes ou pas des gens, ce n' est pas ce qui intéresse le plus à priori 
Il y a multitude de pèlerins qui n' ont aucun certificat mais qui comprennent et gèrent mieux la vie de tous les jours .
Je suis d' accord qu' il faudrait obliger les sciences-po, ENA et autre de ce genre à travailler minimum 5 ans dans le privé, en commençant en bas de l' échelle , au smic , qu' ils se fassent une idée des fins de mois !
Il y a multitude de pèlerins qui n' ont aucun certificat mais qui comprennent et gèrent mieux la vie de tous les jours .
Je suis d' accord qu' il faudrait obliger les sciences-po, ENA et autre de ce genre à travailler minimum 5 ans dans le privé, en commençant en bas de l' échelle , au smic , qu' ils se fassent une idée des fins de mois !
Re: Politique : Mutations et Enjeux
17 Sep 2014, 16:36
jarlandine a écrit:Ou il va dénicher tout ça, le moustachu de Médiapart ??? Aller farfouiller dans les diplômes ou pas des gens, ce n' est pas ce qui intéresse le plus à priori
Il y a multitude de pèlerins qui n' ont aucun certificat mais qui comprennent et gèrent mieux la vie de tous les jours .
Quand quelqu'un dit qu'il a un diplôme alors qu'en fait il ne l'a pas, ça s'appelle un mensonge. C'est intéressant de savoir quel politique ment.
Re: Politique : Mutations et Enjeux
17 Sep 2014, 20:07
sillicate,
Perso, je pense qu' il serait plus vite fait de chercher ceux qui ne mentent pas , de quelques bords qu' ils soient
Perso, je pense qu' il serait plus vite fait de chercher ceux qui ne mentent pas , de quelques bords qu' ils soient
Re: Politique : Mutations et Enjeux
17 Sep 2014, 22:28
jarlandine, ah bon, donc valait mieux pas sortir cette info ? (si elle se confirme, mais entre Médiapart et un politicard je pense savoir de quel côté se trouve la vérité, comme tjours concernant ce média d'ailleurs)
Il FAUT dénoncer TOUS les tricheurs, voleurs, menteurs qui nous gouvernent, ce beau ramassis d'ordures et d'incapables.
Il FAUT dénoncer TOUS les tricheurs, voleurs, menteurs qui nous gouvernent, ce beau ramassis d'ordures et d'incapables.
Re: Politique : Mutations et Enjeux
17 Sep 2014, 23:22
heureusement qu'il y a encore Mediapart et le Canard pour rétablir les choses ..
Ici on ne parle plus de droite ou de gauche ( sujet à mon sens qui est périmé ) mais on parle de vérité .
J'adore.
Ici on ne parle plus de droite ou de gauche ( sujet à mon sens qui est périmé ) mais on parle de vérité .
J'adore.
Re: Politique : Mutations et Enjeux
18 Sep 2014, 09:47
peezee,
Non, je ne dis pas ça, mais bon, ce n' est pas un truc auquel j' aurai pensé
Et l' autre ex ministre nommé sais pas quoi à l' Europe et qui se serait servi de l' argent du ministère pour son livre et sa promo , c' est encore plus grave
En ce moment, ça tombe tous les jours à gauche , eux qui se gaussaient haut et fort des affaires de la droite, on les entend moins .
Va falloir ressortir la guillotine ou supprimer les politiques, quoique, l' une aboutirait à l' autre
Pendant ce temps, ils causent, ils causent, beaucoup, beaucoup, mais ça n' avance pas , rien ne démarre !!!
Tin, avec l' autre qui passe son temps dans l' avion de Sarkosy, qu' il a agonit pour ça, y a jamais un missile perdu qui croise sa route ????
Tiens, les ukrainiens ont trouvé, eux
https://fr.news.yahoo.com/video-d%C3%A9 ... .html?vp=1
Non, je ne dis pas ça, mais bon, ce n' est pas un truc auquel j' aurai pensé
Et l' autre ex ministre nommé sais pas quoi à l' Europe et qui se serait servi de l' argent du ministère pour son livre et sa promo , c' est encore plus grave
En ce moment, ça tombe tous les jours à gauche , eux qui se gaussaient haut et fort des affaires de la droite, on les entend moins .
Va falloir ressortir la guillotine ou supprimer les politiques, quoique, l' une aboutirait à l' autre
Pendant ce temps, ils causent, ils causent, beaucoup, beaucoup, mais ça n' avance pas , rien ne démarre !!!
Tin, avec l' autre qui passe son temps dans l' avion de Sarkosy, qu' il a agonit pour ça, y a jamais un missile perdu qui croise sa route ????
Tiens, les ukrainiens ont trouvé, eux
https://fr.news.yahoo.com/video-d%C3%A9 ... .html?vp=1
Re: Politique : Mutations et Enjeux
18 Sep 2014, 10:52
Hou putain lui je crois qu'il s'est vu lynché par la foule il a dû se ch*er dans son froc, et àma ça n'est pas passé loin, les effets de foule comme ça on sait jamais quand ça s'arrête... 
Re: Politique : Mutations et Enjeux
19 Sep 2014, 06:57
superolive a écrit:heureusement qu'il y a encore Mediapart et le Canard pour rétablir les choses ..
Ici on ne parle plus de droite ou de gauche ( sujet à mon sens qui est périmé ) mais on parle de vérité .
J'adore.
Encore une fois, tout dépend de ce que tu entends par là.
Toujours est-il qu'hier, sur le plateau des paroles et des actes de France 2, il y avait un réel clivage entre d'un coté Michel Onfray, et de l'autre coté, les 5 autres invités.
A ce sujet, le dernier Manière de voir peut être intéressant à lire, y compris son introduction visible en ligne :
http://www.monde-diplomatique.fr/mav/137/PIEILLER/50830
Re: Politique : Mutations et Enjeux
19 Sep 2014, 08:28
Clivage sur quoi ? La théorie du genre ? Internet ? La programmation informatique ? Freud ?
Re: Politique : Mutations et Enjeux
19 Sep 2014, 09:22
Fidel Cienaga a écrit:Clivage sur quoi ? La théorie du genre ? Internet ? La programmation informatique ? Freud ?
Tant de question alors qu'une seule suffisait... C'est moi ou tu es un peu agressif ?
Pour répondre à ta question, commençons par présenter le plateau. Onfray d'un côté, et de l'autre, un politologue libéral, deux éditorialistes libéraux, un économiste libéral et enfin un philosophe libéral (Finkielkraut).
Le sujet portait sur la conférence de presse quelques heures plus tôt de Hollande, et donc des différents sujets d'actualités, économiques, sociales...
Si sur certains sujets spécifiques le clivage entre les uns et les autres n'étaient pas évident (le livre de l'ex première dame, la ferme des mille vaches, la place du numérique à l'école...), pour le reste (j'y viens), le clivage était évident.
Déjà, sur le rôle des politiciens. Pour Onfray, c'est devenu que de la communication depuis 1983 où la gauche s'est convertie au libéralisme, et où les réelles prises de décisions ont été extériorisées. Il dénonce aussi la déconnexion des élites et pense que le vrai débat, les vrais idées sont dans le monde civil, portés par les travailleurs et entreprises qui vivent dans la réalité.
Pour les éditorialistes et politologues, qui commentent "ce cirque" à longueur de journée, évidement les propos de Onfray paraissent caricaturaux. Pour Finkielkraut, il n'est pas rentré explicitement dans ce débat, mais affirme que les politiciens sont parfois supérieurs au peuple et se doivent de dire les quatre vérités au peuple.
Il y avait peut-être consensus sur le fait que les grands hommes de la 5ème république appartiennent au passé.
Pour le reste, le clivage porte bien entendu sur la politique et le modèle économique. D'inspiration libérale, les divers invités ont dénoncé le trop d'état, les contraintes économique, le code du travail (tant sur la forme que sur le fond, où plutôt sur le fond via l'alibi de la forme), le manque de compétitivité... Onfray lui, était moins étroit d'esprit, et questionnait plus globalement la société.
Le prisme, la perception (et je rajouterai la finalité recherché) de Onfray est totalement différente de celles de ses camarades du soir. Il en est donc de même pour le raisonnement et les prises de positions.
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