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Jean-Pierre Raffarin, membre du triumvirat qui dirige provisoirement l'UMP, a dit mardi déceler dans ce parti un «anti-sarkozysme nouveau», même si le «leadership» de l'ex-président y reste dominant. Sur Europe 1, l'ancien Premier ministre a «tiré la sonnette d'alarme» face aux «règlements de comptes qui quelquefois s'installent à l'UMP», jugeant que «tout ceci peut conduire à l'éclatement». «Je veux que tout le monde reste ensemble», s'est exclamé l'élu de la Vienne.
«Ma mission, c'est de mettre de la sagesse»
Comme on lui faisait observer qu'un favori devait émerger, il a tranché: «Ca, c'est le rôle du Congrès», prévu par le mouvement à l'automne. «Que le meilleur gagne!», a-t-il lancé. «Je pense que Nicolas Sarkozy a une forte probabilité d'être en piste», a poursuivi Raffarin. «Mais je suis très attentif à tout ça, parce que je vois dans le parti, pour la première fois, avec tout ce climat de règlements de comptes, quelquefois un anti-sarkozysme nouveau».
«Il y a un leadership de Nicolas Sarkozy qui reste dominant dans le parti», a affirmé l'ancien chef de gouvernement, ajoutant: «Je ne veux pas que les gens se prononcent en fonction de positions anti, je souhaite que les militants choisissent celui qui sera le meilleur». Est-il personnellement favorable au retour de l'ancien chef de l'Etat? «J'ai une fonction de neutralité», a-t-il éludé. «Je ne vais pas commencer à entrer dans les bagarres entre les uns et les autres puisque ma mission, c'est de mettre de la sagesse».
«Ma mission, c'est de mettre de la sagesse»
Comme on lui faisait observer qu'un favori devait émerger, il a tranché: «Ca, c'est le rôle du Congrès», prévu par le mouvement à l'automne. «Que le meilleur gagne!», a-t-il lancé. «Je pense que Nicolas Sarkozy a une forte probabilité d'être en piste», a poursuivi Raffarin. «Mais je suis très attentif à tout ça, parce que je vois dans le parti, pour la première fois, avec tout ce climat de règlements de comptes, quelquefois un anti-sarkozysme nouveau».
«Il y a un leadership de Nicolas Sarkozy qui reste dominant dans le parti», a affirmé l'ancien chef de gouvernement, ajoutant: «Je ne veux pas que les gens se prononcent en fonction de positions anti, je souhaite que les militants choisissent celui qui sera le meilleur». Est-il personnellement favorable au retour de l'ancien chef de l'Etat? «J'ai une fonction de neutralité», a-t-il éludé. «Je ne vais pas commencer à entrer dans les bagarres entre les uns et les autres puisque ma mission, c'est de mettre de la sagesse».
D'accord avec lui, on a l'impression que même à L'ump aujourd'hui pour bien se faire voir il faut se démarquer de Sarkozy
, un Juppé qui est là depuis presque aussi longtemps que Chirac, et les exemples sont encore nombreux pour être tous cités 
