MassaliaLive.com

[superolive]

John, la réponse est dans ta rquestion .. si il y a déjà 66 personnes interpellées , c'est que la police a fait son travail non ? d'autant qu'ils ne doivent pas être 500 ...

[John]

John, la réponse est dans ta rquestion .. si il y a déjà 66 personnes interpellées , c'est que la police a fait son travail non ? d'autant qu'ils ne doivent pas être 500 ...

300.
Simplement les moyens ne sont pas les mêmes qu'il y a quelques mois.

[jarlandine]

Et si on leur fait payer le montant des dégâts ou les heures des forces de l' ordre , ça va les calmer pour un moment !

[John]

Et si on leur fait payer le montant des dégâts ou les heures des forces de l' ordre , ça va les calmer pour un moment !

Non ça c'est seulement pour la manif pour tous

[Fennec]

John, c'est assez pathétique ta façon de constamment opposer deux situations qui n'ont rien à voir, mais bon on commence à avoir l'habitude.

[John]

John, c'est assez pathétique ta façon de constamment opposer deux situations qui n'ont rien à voir, mais bon on commence à avoir l'habitude.

Ah ? Tu trouves que toutes les manif depuis 3 ans ont été traitées de la même manière ?

ouais je commence aussi à en avoir l'habitude

[sonny]

John, la réponse est dans ta rquestion .. si il y a déjà 66 personnes interpellées , c'est que la police a fait son travail non ? d'autant qu'ils ne doivent pas être 500 ...

300.
Simplement les moyens ne sont pas les mêmes qu'il y a quelques mois.

un petit 1/4 de manifestants interpellé. C'est un gros score. Surtout si on compare à certaines manifs "interdite" qu'il y a eu il y a peu

Et si on leur fait payer le montant des dégâts ou les heures des forces de l' ordre , ça va les calmer pour un moment !

Voila. Ça en calmerait pas mal

[Kenshi]

Pour ceux qui sont abonnés, enquête de Mediapart sur la nuit ou Rémi Fraisse est mort :

http://www.mediapart.fr/journal/france/ ... mi-fraisse

Edit : Je veux pas entrer dans le débat gentil ou méchant flics vs gentils écolos ou méchants casseurs, mais faut admettre que récemment on voit des choses assez hallucinantes.

La manif de dimanche a Paris a été le théâtre de trucs stupéfiants, entre les flics qui fouillent dès la sortie du métro et t'embarquent sur la seule foi de ce que contient ton sac (y'a quand même un type qui s'est retrouvé au commissariat parce qu'un CRS se demandait si sa bouteille ne contenait pas de l'acide, ce qui n'était pas le cas du tout puisque le mec ne venait même pas a la manif), et ceux qui font lever les "sitteurs" (des types dont le cul est juste posé sur le sol quoi) a coup de lacrymo et tonfa, c'est des scènes relativement rares.

Je ne dédouane pas du tout les ZADistes dans l'ampleur prise par cette affaire et l'extrême violence qu'on y trouve, mais le fait est que dernièrement les flics ont durcit la répression d'une manière assez étonnante.

[Bibpanda]

Information

Inde
Un père torture à mort le violeur de sa fille

Craignant de dénoncer le viol de son enfant à la police, un Indien s'est fait justice en brûlant les parties génitales de l'agresseur avant de l'étrangler.

Bouleversé d'apprendre le viol de sa fille de 14 ans, un Indien âgé de 36 ans a préféré ne pas dénoncer l'agression à la police. Il craignait en effet pour la réputation de son enfant et pensait que le voisinage allait blâmer l'adolescente pour ce drame. Rongé par la colère, l'homme a décidé de se faire justice deux mois après les faits.

Le père de famille a appelé le violeur de sa fille, un fournisseur de médicaments âgé de 45 ans, pour l'inviter à manger chez lui, vendredi soir à Delhi. «Il lui a fait croire qu'il voulait lui parler de certaines choses», explique un policier à l'«Indian Express». Une fois l'homme âgé de 45 ans arrivé, son hôte l'a attaché à une chaise et s'est servi de pinces chauffantes pour brûler ses parties génitales avant de l'étrangler à mort.

Le père de famille s'est ensuite dénoncé à la police. Il a expliqué que son idée de vengeance était née le jour même où sa fille lui avait raconté son viol. L'homme a ajouté qu'il ne supportait pas de voir l'agresseur de son enfant couler des jours heureux avec sa famille pendant que l'adolescente était en souffrance.

source 20 minutes.
On dirait que Torben a de la famille en Inde.

[Bibpanda]

http://tempsreel.nouvelobs.com/topnews/ ... acres.html

S'exprimant sur un écran géant, Hassan Nasrallah, chef du Hezbollah, a promis la défaite des jihadistes en Syrie, que son parti combat aux côtés du régime de Bachar el-Assad. "Nous entrons dans la quatrième année" de la guerre "et les extrémistes ont échoué à contrôler la Syrie, c'est une grande victoire".

Ces dernières années, les fiefs du Hezbollah ont été visés par des attentats de groupuscules sunnites opposés à son implication en Syrie où l'EI a profité de la guerre pour s'emparer de vastes régions.

C'est quand même dingue ce qui se passe en Irak et en syrie.
Sinon je ne sais pas si les médias à la télé on parlé de ses français qui allaient cassé du barbus.

Information

Un Auvergnat d'origine kurde parti combattre l'Etat islamique
Après dix-neuf ans passés dans le Puy-de-Dôme, Beshdar Khosrow est retourné dans son pays d’origine, le Kurdistan irakien, en 2010. Il a rejoint l’armée kurde il y a cinq mois pour combattre l’État islamique.

La peur, la mort, il les a connues dès sa plus jeune enfance en Irak, avant de fuir le régime de Saddam Hussein. Aujourd'hui, Beshdar Khosrow revit l'horreur de la guerre dans son pays d'origine, le Kurdistan irakien.
Fils de martyr kurde

En 1991, Beshdar a huit ans. Avec sa famille, il quitte l'Irak et s'installe près de Vic-le-Comte, où ils vivent pendant sept ans, avant de déménager à Clermont-Ferrand. Ils obtiennent la nationalité française, intègrent le système scolaire, puis la vie active.

Après ses études, Beshdar vit de petits boulots dans la capitale auvergnate : il devient commercial, agent des services hospitaliers, videur en boîte de nuit… Jusqu'en 2010, où il décide de retourner au Kurdistan irakien. « À ce moment-là, les entreprises françaises et francophones commençaient à s'installer », explique-t-il. Il veut alors profiter des opportunités, lui qui parle à la fois français et kurde.

Il y a quelques mois, la police locale le contacte : on lui demande de traduire des conversations téléphoniques et des vidéos enregistrées par des Français voulant rejoindre l'État islamique en Irak. « On sentait que quelque chose se préparait ».

Mais alors que le danger est imminent, Beshdar ne veut pas rentrer en France et intègre l'armée kurde. « Je reste ici pour continuer ce qu'avaient commencé mes parents et mes grands-parents. Je suis fils de martyr : mon père faisait partie de la résistance kurde persécutée par le régime de Saddam Hussein ».

Il est au front pendant la première attaque de l'État islamique sur le Kurdistan, il y a cinq mois. « Puis on m'a demandé de me retirer car on avait besoin de moi, vu que je parle français, anglais et kurde ». Beshdar reste donc à Duhok, avec les autorités militaires.

Mais c'est un conflit asymétrique qui l'attend. « Un combat inégal », dénonce-t-il. L'armée kurde, loin d'être structurée, attend toujours des moyens des pays extérieurs. « Nous n'avons que des armes livrées par Bagdad, et ce sont des petites, des kalachnikovs ». Face à elle, l'État islamique, renforcé et riche, possède des armes lourdes permettant des attaques de grande envergure. « Et ils sont très bien entraînés, ils ont des stratégies élaborées ».
« Si tu as peur de mourir, tu ne peux pas avancer »

Beshdar méprise cette organisation terroriste. « Ils n'ont aucun respect de l'Islam, de l'humanité. Tu n'as pas le droit de tuer des gens car ils ne sont pas musulmans. Ici, on ne les appelle pas État islamique, car ils ne représentent pas l'Islam. On les appelle Daech, et ils n'aiment pas ça ».

Loin de sa vie clermontoise, sereine et paisible, Beshdar a dû apprendre à maîtriser sa peur de la mort. « Quelqu'un qui te dit "je n'ai pas peur", c'est quelqu'un qui n'est jamais allé au front. Mais si tu as peur de mourir, tu ne peux pas avancer », ajoute-t-il. La mort, justement, est partout. « Tu la vois tous les jours, il y a beaucoup de décès. Les noms sont affichés sur de grandes banderoles ».
Entouré de sa famille

Il n'est heureusement pas seul sur place : il a de la famille, des oncles et des cousins de son père, de son grand-père et de sa mère. « Un de mes cousins qui vient aussi de France s'est engagé ».

Marié depuis 2012, Beshdar vit avec sa femme à Duhok, où ils sont en sécurité. « Si un jour je sens que ma femme est en danger, elle rentrera en France et ira chez une de mes s'urs », confie-t-il.

Quant à l'avenir, il ne le voit pas ailleurs qu'au Kurdistan irakien, même s'il sait que la guerre sera longue et douloureuse. « J'ai eu des coups de fil du consulat français, du ministère des Affaires étrangères, pour savoir si je voulais rentrer en France. Pour l'instant, j'ai pris la décision de rester ».

[Torben Frank]

On dirait que Torben a de la famille en Inde.

C'est exactement ce que je ferai si ça arrivait à ma fille

[jeanfred]

Torben Frank,
Faut lui dépecer la peau des couilles, les faire cuire, lui faire manger et ensuite le laisser rentrer chez lui pour qu'il explique à sa femme pourquoi il ne pourra plus jamais violer.

[John]

C'est là où le gars a raté son coup... pourquoi avoir tué le violeur ?

J'aime l'idée du tatouage façon Millenium plutôt

[Jester]

Torben Frank,
Faut lui dépecer la peau des couilles, les faire cuire, lui faire manger et ensuite le laisser rentrer chez lui pour qu'il explique à sa femme pourquoi il ne pourra plus jamais violer.

C'est bien mieux. Et si possible l'estropier pour ne plus qu'il puisse courir derrière les petites filles.

[Torben Frank]

Faut pas le laisser en vie, si tu fais ça en France il ira chialer auprès d'une association des pédophiles nécessiteux, ils feront une campagne médiatique pour récolter des dons afin de lui rafistoler une prothèse et derrière il serait suffisamment confiant pour te coller un procès pour "préjudice morale et physique", pour le viol un avocat invoquera un vice de forme ou bien une jurisprudence qui expliquerai qu'il n'avait pas conscience que ce qu'il faisait était mal et qu'il devait être "aidé" par la société. Dans le meilleur des cas il prendrai 15 ans ferme et n'en ferai pas la moitié grâce aux remises de peines et pour libérer de la place, 2 ans après sa sortie il violera et tuera un(e) autre gamin(e) et tout le monde se demandera comment il soit possible que cette personne ait pu se retrouver en liberté.

[EL MAGNIFICO]

Torben Frank, +1

[sonny]

Faut pas le laisser en vie, si tu fais ça en France il ira chialer auprès d'une association des pédophiles nécessiteux, ils feront une campagne médiatique pour récolter des dons afin de lui rafistoler une prothèse et derrière il serait suffisamment confiant pour te coller un procès pour "préjudice morale et physique", pour le viol un avocat invoquera un vice de forme ou bien une jurisprudence qui expliquerai qu'il n'avait pas conscience que ce qu'il faisait était mal et qu'il devait être "aidé" par la société. Dans le meilleur des cas il prendrai 15 ans ferme et n'en ferai pas la moitié grâce aux remises de peines et pour libérer de la place, 2 ans après sa sortie il violera et tuera un(e) autre gamin(e) et tout le monde se demandera comment il soit possible que cette personne ait pu se retrouver en liberté. :cretin:

Ça me rappel un violeur récidiviste. Qui était sorti après 1 an et qq mois après il avait tenté de violer une gamine de 10 ans. Et tout le monde s'étonnait qu'un récidiviste puisse sortir si vite sas aucun contrôle.

Un cas pas isolé

Information

Dimanche 19 octobre 2014, l'enfant de 5 ans rentre chez sa mère, à Planoise. Sous le choc, il raconte qu'un habitant du quartier l'a accosté et entrainé à l'écart pour lui infliger des caresses très appuyées sur le sexe et les fesses.

La mère alerte la police qui identifie rapidement un suspect : un ouvrier du bâtiment de 41 ans déjà condamné à deux reprises pour des agressions sexuelles sur des enfants. Le quadragénaire est toujours sous le coup d'un suivi socio-judiciaire qui lui interdit d'approcher des mineurs, suite à sa dernière condamnation qui remonte à 2007.

Placé en garde à vue, le suspect reconnaît avoir approché le petit garçon, mais il réfute toute agression. Le juge d'instruction, peu convaincu par cette version, a mis l'homme en examen pour "viol sur mineur de 15 ans" mercredi 22 octobre 2014. Le juge des libertés et de la détention a ensuite ordonné son placement en détention provisoire.

[jarlandine]

Tiens, 2 ans et demi demain, paraît qu' on va fêter la mi-mollette

[Jester]

[Jester]

http://www.metronews.fr/culture/phil-ru ... x67EWqC02/