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Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 09:53

dlb1664 a écrit:Ça part vraiment en couille en Ukraine :?

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d'ailleurs, Dark Vador a démissionné redaface2

Information
Ukraine: Le Premier ministre a démissionné

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 10:54

dlb1664, toi aussi ce gif t'as fait délirer ? :mrgreen:

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 10:56

sillicate, ouais énorme, moi qui fait 2 ou 3 gifs en amateur respect au gars Image

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 11:12

On voit quand mm 2 flics qui se font écraser et tabasser par la foule, c'est moyen.

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 11:14

peezee, ce sont des sith :capelo:

Sinon trêve de plaisanterie, y'a du carnage dans les 2 camps, ça va mal finir cette histoire ...

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 11:21

Après Star Wars, ils tentent un remake de la bataille du Gouffre de Helm :

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Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 12:25

Bientôt les mêmes scènes devant l'élysée ? :lol:

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 12:58

http://jssnews.com/2014/01/28/noel-gerard-aka-joelecorbeau-en-garde-a-vue-perquisition-chez-dieudonne/

:prosterne: :prosterne:

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 13:02

La relance dans l'axe en position de libéro :cretin:

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 13:02

Belle tête de vainqueur ce Joe le corbak, d'ailleurs y'a un trophée dans la photo, mais c'est pas fait exprès :

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EDITH : j'avais pas fait gaffe mais je suppose que le "trophée" en question est une sorte de quenelle d'or ? :cretin:

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 13:07

Mine de rien au vu des comms sur Fb et autres, ça va péter. On est à ça de voir un excité charger, on risque d'en entendre encore parler ...

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 13:42

http://www.bbc.co.uk/news/science-environment-25576718

Un clonage de porcs à l'échelle industrielle en Chine, ca fait froid dans le dos...

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 13:44

Converse34 a écrit:http://jssnews.com/2014/01/28/noel-gerard-aka-joelecorbeau-en-garde-a-vue-perquisition-chez-dieudonne/

:prosterne: :prosterne:


Une nouvelle rassurante qui contredit ceux qui pensent que le net est un repère où le racisme peut se déverser en toute impunité.

Un bémol toutefois quand à la source de l'article, ce fameux webzine qui revient souvent dans les posts. J'aimerais quand même que l'on s'interroge sur la qualité de ce site dont les thèses rejoignent celles de la droite dure israélienne avec des méthodes dignes carrément de l'extrême-droite.

D'abord, un rappel sur le CV de ce fameux J. Simon-Sellem qui a donné son nom au site ne me semble pas inutile. Le site La règle du jeu a mis en ligne assez un article assez éloquent sur le bonhomme et sa rigueur journalistique. Rigueur mise à mal également par Afrik.com.

Enfin, à noter qu'une sénatrice a carrément fait l'objet de menaces de mort dans les commentaires d'un article de JSS sans que cela n'ait été modéré par la rédaction. Le souhait d'un lecteur de voir la sénatrice égorgée figure encore.

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 14:30

Complètement d'accord...quand je vois Bets se référer à ce genre de site...bon dieu tu semble beaucoup plus futé que ces énergumènes...
Simon-Sellem, ce génie qui a lancé Julie Lescaut en politique..

Envoyé de mon GT-I9300 en utilisant Tapatalk

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 15:55

Jss news c'est clairement l'extrême droite israélienne (bon elle est plutôt bien acceptée là bas étant au pouvoir :lol: )

Un vrai torchon.

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 19:19

:ptdr:

En voila une façon décalée de traiter l'actu.

http://www.vice.com/fr/shorties/le-jour-de-colere-sous-acides?utm_source=vicefb

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 19:31

Enorme Fidel.

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 19:39

fourcroy a écrit:Bibpanda, j'avais compris le sens du message. En passant, je ne me souviens pas que la Boétie fasse partie des auteurs cités, ce qui serait étonnant. Ce que je dis, c'est que l'exposé est fait sans la moindre nuance et de manière plutôt approximative. C'est un réquisitoire à sens unique, qui n'est pas àmha sans pertinence, mais qui est à prendre comme tel et qui verse continuellement dans l'hyperbole.

Et c'est dommage car un tel exposé n'attirera pas l'attention de quelqu'un qui n'est pas déjà convaincu. Tu peux le voir sur ce forum : quand deux opinions s'affrontent, l'un va systématiquement chercher dans le discours de l'autre ce qu'il peut réfuter, sans prendre jamais en considération ce qui pourrait éventuellement infléchir sa propre position ou qui pourrait au moins être débattu.


J'ai vu la moitié, ça m'a mis plus mal à l'aise qu'autre chose. Si je comprends le propos, et si je suis d'accord avec une certaine approche, je trouve que ça manquait de quelque chose. D'optimisme ? Peut-être que c'est une forme de vérité qui m'a dérangé ? Parce que là clairement, l'être humain n'en sort pas grandi dans ce documentaire.

De plus, on pourrait croire que tout ce qui est le fruit du collectif devient aliénation. Du moins c'est la sensation que ça me laisse, au final c'est presque une critique aussi de la vie... assez mitigé sur cette moitié de documentaire.

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 23:39

Information
"Jour de colère" : Sybille, Aymeric, Louis-Marie, des bien-nés révoltés.


Elle s'est assise dans le box et a commencé par essuyer quelques larmes avec la manche de sa parka. Sybille D., 18 ans, en terminale ES dans un lycée privé du Mans, a été interpellée avec sa petite sœur de 16 ans, dimanche soir, à Paris, après la manifestation anti-Hollande. Si sa cadette a vu sa garde à vue levée lundi – à l'instar de 226 des quelques 250 interpellés -, Sybille, elle, est jugée en comparution immédiate, ce mardi 28 janvier, devant la 23e chambre du tribunal correctionnel de Paris. Cinq autres majeurs et deux mineurs doivent l'être aussi, pour "violences volontaires sur policiers" ou "dégradation par incendie".

Lors des incidents qui ont opposé manifestants et forces de l'ordre à l'issue du rassemblement initié par le collectif "Jour de colère", les policiers ont essuyé des jets de divers projectiles –bouteilles, pétards, barres de fer, poubelles... - auxquels ils ont riposté à l'aide de gaz lacrymogène. Bilan : 19 policiers légèrement blessés, dont un sérieusement. Après un bref rappel des faits, Sybille, longs cheveux châtains, se lève.
"Je ne l'ai pas lancée. Je ne reconnais pas les faits"

Il lui est reproché d'avoir jeté une canette de bière sur un CRS. En garde à vue, elle a reconnu les faits, précisant même que la bière avait été bue par "un ami". "Mais la canette n'a touché personne, heurté personne, elle est tombée à côté". Face au tribunal pourtant, la jeune fille revient sur ses déclarations. "Je ne l'ai pas lancée. Je ne reconnais pas les faits. On m'a dit de dire ça, que je serai libérée après, que ça m'engageait à rien".

Elle explique s'être retrouvée avec sa sœur prise entre "d'un côté des matraques, de l'autre des fumigènes". Derrière ses fines lunettes, le président reprend quelques éléments de la personnalité de la jeune fille. Inconnue de la police et de la justice, elle est quatrième d'une fratrie de sept. "Scolarité tout à fait satisfaisante". Mère au foyer. Père militaire à la retraite. Ses parents sont là, d'ailleurs, dans la salle.

Lors de la suspension, ils ne rechignent pas à témoigner. Au contraire. Boucles d'oreille dorées et bottes marron, sa mère Emmanuelle veut confier sa "révolte". Si le père était aussi à la manifestation, elle n'y était pas cette fois. "On est adeptes des manifestations pro-vie, manif pour tous... Mais toujours très pacifique". Quand sa fille de 16 ans est sortie de garde à vue, elle s'est plaint du traitement policier dont elle a fait l'objet :
On lui a dit 'ah ouais t'es catho, ah ok', des choses comme ça. Ils ont remis en cause son éducation. Mais nous on élève bien nos enfants, on a surtout pas de leçon à recevoir d'eux."

"On veut en faire des exemples, nous en sommes conscients", assure calmement leur père Loïc, 55 ans. "Je suis un père catholique avec tous les défauts qui peuvent être identifiés aux yeux de Valls, mais j'assume". Pour lui, pas de doute : "Comme toutes les interpellations depuis plus d'un an, celles-là sont politiques." Et de pointer "la régression d'après la loi Taubira sur les libertés individuelles, liées à l'éducation, à la famille..." Sa femme l'interrompt :
Cet Etat, cette société et sa manière d'évoluer, on ne le supporte plus, il faudrait qu'on nous écoute un peu."
"On a été gazés. Je ne me contrôlais plus trop"

Dans la salle, le président a été on ne peut plus clair : il n'est pas là pour parler politique. Après la jeune fille, il invite Aymeric B. de S., Louis-Marie M. et Loïc R. à prendre la parole. Tous trois ont entre 18 et 20 ans et sont poursuivis, eux aussi, pour "violences sur policiers." On leur reproche d'avoir jeté une barrière de chantier en direction des policiers, sans les atteindre. Cheveux châtain bouclés, pull marron, Aymeric a expliqué en garde à vue qu'il était "en colère". "Pourquoi avez-vous lancé cette barrière ?", lui demande le président.
On a été gazés. Je ne me contrôlais plus trop. On a pris la barrière à plusieurs, et on s'est avancés vers les forces de l'ordre."

Les deux autres, Louis-Marie et Loïc, il ne "les connaît pas". "On était tous cagoulés, enfin capuchés". A côté de lui dans le box, Louis-Marie, pull noir, "admet avoir jeté la barrière, mais n'admet pas l'intention". Il explique alors qu'il a trébuché en portant la barrière et que celle-ci est alors "partie en avant". Et s'il s'est au départ emparé de cette barrière, c'était "pour faire une sorte de barricade pour empêcher le rideau de CRS d'avancer."

Le procureur s'agace. "Vous dites aujourd'hui que vous avez trébuché et n'aviez pas d'intention violente alors que lors de la confrontation vous avez dit l'inverse, que c'est quand vous avez jeté la grille que vous êtes tombé..." Réponse du jeune homme : "J'ai pas relu le contenu. Les autres ont signé, j'ai signé". Loïc, sweat-shirt gris, affirme quant à lui avoir "soulevé la barrière par mesure de protection." Mais, jure-t-il, il ne l'a "pas jetée."

Portaient-ils tous les trois la même barrière ? "J'ai dit que c'était possible que ça soit eux", répond Loïc en parlant des deux autres. "Mais on m'a mis la pression." Tous les trois vivent chez leurs parents et sont eux aussi inconnus des services. Aymeric, troisième d'une famille de cinq enfants, est en BTS transport et logistique à Paris. Louis-Marie vit en Gironde et est en licence de médecine. Loïc, père pompier et mère médecin, fait un bac pro mécanique moto en Saône-et-Loire.
Deux mois avec sursis

Quatre jeunes jeunes gens ont été condamnés en fin de journée mardi par le tribunal correctionnel de Paris à des peines de deux mois avec sursis. Un autre prévenu, Hughes R., a également été condamné pour avoir lancé des pétards en direction des forces de l'ordre. Le procureur avait requis pour les trois premiers deux mois ferme, insistant sur leur immaturité et les risques encourus. Le tribunal a en revanche annulé pour vice de forme la procédure engagée contre la jeune Sybille, à l'encontre de laquelle le procureur avait dans un premier temps requis un mois avec sursis. Les avocats des quatre jeunes avaient avant cela plaidé la relaxe, estimant entre autres que le dossier était "vide" et n'apportait pas la preuve de l'infraction reprochée.

"Ces peines ne sont pas satisfaisantes même si elles sont assorties du sursis. On a le sentiment d'une instrumentalisation de la procédure judiciaire à des fins politiques", a notamment déclaré l'avocat du jeune Loïc R., Antoine Vey face à la presse. Celui de Sybille D. a quant à lui ironisé devant le tribunal sur la "terreur" que sa cliente, "une crevette", pouvait provoquer chez les policiers avec "sa canette vide" : "Avec des procédures aussi ridicules, on alimente les thèses complotistes".

Fini les manifs ? Que nenni ! La mère de Sybille a elle confié que cette comparution immédiate n'allait "pas du tout dissuader" sa famille de continuer à manifester. "Au contraire". L'examen du cas d'un autre prévenu a été reporté en raison de l'heure tardive.

Céline Rastello - Le Nouvel Observateur

Re: Actu France et Monde

28 Jan 2014, 23:43

Information
Plus d'un tiers d'absentéisme constaté dans une école strasbourgeoise de zone d'éducation prioritaire, et un mouvement qui gagne de nombreuses académies. Farida Belghoul, proche d'Alain Soral, a lancé un boycott contre la théorie du genre à l'école, que certains parents, issus des communautés turque, maghrébine et gitane, ont suivi.

«Est-ce que des associations gay et lesbiennes vont venir à l'école parler de sexualité? Allez-vous montrer des films porno? Est-il vrai que des juifs vont venir à l'école pour savoir si nos enfants sont des garçons ou des filles? C'est quoi la théorie de genre?»

Le 23 janvier, un raz-de-marée de questions émanant de mamans de la communauté turque ont déferlé sur le directeur d'une école de Strasbourg située en zone prioritaire. «Elles sont venues me montrer les SMS les alertant à la fois sur la théorie du genre et l'éducation à la sexualité, et les appelant à boycotter l'école. C'est l'aspect sexuel, très tabou dans cette communauté, qui les a le plus touché», explique le directeur. La rumeur se répand comme une traînée de poudre dans le quartier. Le lendemain, l'école élémentaire où sont inscrits 240 élèves dénombre 86 absents, turcs, gitans et maghrébins. «Nous nous sommes employés, via les mamans présentes au conseil d'école et issues de ces communautés à désamorcer cette situation explosive, en expliquant qu'il s'agissait de désinformation et de manipulation. Elles ont fait du porte-à-porte. Mais une fois que la rumeur est partie…», lâche le directeur qui, en 12 ans à la tête de l'école, n'a jamais été confronté à une telle fronde, y compris sur les questions de port du voile. «Cette suspicion des parents n'est pas dirigée contre nous, les personnels de l'école, mais contre l'institution scolaire».
Dans le mille. Car c'est précisément l'objectif du mouvement «Journée de retrait de l'école», lancé par une certaine Farida Belghoul, 55 ans, militante passée en 30 ans de l'extrême gauche à l'extrême droite. Initiatrice en 1984 de la seconde marche des beurs, aujourd'hui proche de l'essayiste Alain Soral (lui-même lié à Dieudonné) et de son association «Égalité et Réconciliation», Farida Belghoul est partie en croisade contre l'avènement d'une théorie du genre à l'école depuis la rentrée 2013-2014. Elle est passée à l'action le 24 janvier en appelant à un boycott de l'école une fois par mois, via les réseaux sociaux et des sms diffusés en chaîne. «Vous justifierez l'absence de votre enfant le lendemain par le motif: «journée de retrait de l'école pour l'interdiction de la théorie du genre dans tous les établissements scolaires», est-il expliqué sur le site internet du mouvement baptisé «JRE2014» pour «Journée de retrait de l'école». Il s'agit d'«une action nationale inédite pour sauver nos enfants», explique le tract diffusé que l'on retrouve sur ce site internet sous le titre «Protégeons la pudeur et l'intégrité de nos enfants». «Le ministre de l'Éducation nationale, Vincent Peillon, sur les traces de son prédécesseur Luc Chatel veut généraliser et officialiser l'enseignement de la théorie du genre (…) à la rentrée 2014 (…) Des centaines d'écoliers sont déjà victimes de ces programmes à titre expérimental», développe le tract en référence aux ABCD de l'égalité, lancés conjointement par Vincent Peillon et Najat Vallaud-Belkacem, dans dix académies. «D'ores et déjà, des militants du lobby LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transexuels, NDLR) s'invitent en classe», explique-t-il. «L'éducation de nos enfants nous appartient», martèle le tract qui milite pour le retour d'«un ministère de l'instruction publique». Sur le site, une soixantaine de contacts locaux assurent le relais du message en régions.
Étonnante force de frappe. Au quatre coins de France, de l'Oise à l'académie de Lyon en passant par Paris, de nombreux enseignants et directeurs d'école ont alerté leur hiérarchie. Laquelle a adressé un message à ses inspecteurs. «Ce mouvement d'inquiétude (JRE, NDLR) n'est pas fondé ; il s'appuie sur une rumeur», écrit ainsi un recteur. Aussi, en réponse à celle-ci, je vous recommande d'agir avec bon sens et réactivité et de communiquer clairement un message rassurant à destination des familles, coupant court aux tentatives de manipulation et de désinformation. «Les programmes en vigueur ne font aucune référence aux théories évoquées».

«De gentils courriers qui ne mangent pas de pain et ne répondent en rien à l'état d'émoi,» selon Anne-Marie Haller, secrétaire départementale de l'Unsa dans le Bas-Rhin. «Comment éteindre l'incendie? Cette campagne a touché un public crédule et peu éduqué. Les dégâts sont déjà faits», poursuit-elle, avant d'ajouter: «Difficile de prouver les choses: les programmes scolaires sont opaques et l'enseignant jouit d'une liberté pédagogique».

De son côté, le ministère parle d'un mouvement «mineur», suivi cependant «avec attention». Mardi, Vincent Peillon a cherché à rassurer les parents, les invitant à ne pas écouter «ceux qui veulent semer la division et la haine dans les écoles». «Ce que nous faisons, ce n'est pas la théorie du genre -je la refuse-, c'est promouvoir les valeurs de la République et l'égalité entre les hommes et le femmes», a-t-il déclaré à l'Assemblée nationale.

Jointe par le Figaro, Farida Belghoul n'a pas souhaité s'exprimer sur la question. «Elle est formidablement courageuse», commente Béatrice Bourges, figure du Printemps Français et signataire du «Manifeste des intellectuels du peuple destiné au parents d'élèves» initiée par la militante. Les deux femmes tiendront prochainement une conférence à Marseille sur le «Gender».
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