"Jamel m'a appris à m'en détacher"
"Je n'en ai pas dormi au début de notre mariage. Aujourd'hui, je fais moins attention", explique l'ancienne présentatrice de Zone Interdite. "Jamel m'a appris à m'en détacher. Lui dit que la France n'est pas raciste. Je ne suis pas de son avis. Je subis le racisme de celle qui a choisi cet homme. Et ce choix dérange", poursuit-elle.
"La France n'est pas raciste", s'exclamait en effet Jamel Debbouze lors de la sortie du film La marche en novembre. "En 1983, les immigrés ou en tout cas les Maghrébins surtout mouraient tous les deux-trois jours à cause de crimes racistes, ce n'est plus le cas aujourd'hui", déclarait-il alors, "il y a du racisme en France, c'est une vraie évidence, mais la France n'est pas raciste".
"La violence" du monde des médias
Dans son interview à Paris Match, Mélissa Theuriau revient aussi sur son licenciement du groupe TF1, en 2006, après avoir refusé de présenter le 20 heures. "On m'a alors virée de LCI où j'étais très heureuse. Je me suis retrouvée dehors avec mes cartons, et mon badge ne fonctionnait plus. J'ai découvert la violence de ce milieu."
Désormais productrice, son prochain documentaire, L'absente, qui s'intéresse à la vie des mères en prison, sera diffusé en février sur M6.