MassaliaLive.com

[jarlandine]

Pas en état de répondre après avoir suivi, un grande partie de la nuit, le meurtre du policier en civil devant chez lui , ainsi que de sa compagne et devant leur enfant de 3 ans
Quand ils ne peuvent agir dans la foule, ils agissent en solitaire , ils frappent qui ils veulent, quand et ou ils veulent

Allez, bon, ça date un peu, la loi a peut être évolué, mais quand même, ce ne peut pas être que des inventions de journalistes
http://www.lefigaro.fr/societes/2013/05 ... s-unis.php

[Torben Frank]

http://www.metronews.fr/info/attentat-d ... bwvoFlekw/

Je reste fermement convaincu que quelques balles dans la nuque de manière préventive règlerai une partie du problème.

[jarlandine]

Chaque fois, déjà condamné, fiché, connu pour ses accointances au Djihad

[sonny]

Qu'est ce qu'il faut pas lire parfois. Arrête de croire tout ce que disent les médias.

Jamais aucun parent n'offirait une arme à un enfant.

Ah le fameux coup du "arrête de regarder [Insert your TV Channel]"

Crickett ça te parle ?



http://www.crickett.com/crickett_aboutus.php

The goal of KSA is to instill gun safety in the minds of youth shooters

C'est juste les spécialistes des armes à feu pour enfants (4-10 ans)

Information

Aujourd'hui, Crickett compte près de 70 personnes et conçoit 60.000 fusils pour enfants par an, selon les chiffres de 2008

60.000 par ans !!. C'est pas mal pour des produits que JAMAIS un parent ricain n'achèterait pour son enfant.


et le magazine numérique "InSights" de la NRA, ça ne te dit rien non plus ? Il est juste destiné à la famille et aux enfants.




Mais on peut parler aussi de l'invention des médias complotistes, Junior Shooter. Ah non, merde, c'est un vrai magazine destiné aux enfants.

Et ça c'est surement la nouvelle collection printemps-été de la Navy




Allez, pour finir:

http://www.vpc.org/publications/start-t ... of-colors/

[Gastibelza]

sonny, les gosses sur les photos n'ont pas l'air d'avoir 4 ans comme le dit Jarlandine mais bien 6 ou 8. En matière de maturité dans l'usage d'une arme à feu, ça change quand même beaucoup de choses.

Pour en revenir au débat sur le lien terrorisme/ accès aux armes, il est évident que Daesh n'a pas attendu de découvrir la législation US sur le sujet pour commettre des attentats. Mais je ne vois pas du tout en quoi ça remettrait en cause la responsabilité de la NRA et des pro-armes dans un contexte hyper-sensible en matière de sécurité.

Et au-delà de la dimension éthique et la morale de cette position, il y a une question très pragmatique dans la lutte contre le terrorisme qui est celle de la surveillance des réseaux de ventes d'armes. On en parle peu parce que chaque attentat est le résultat d'un échec mais en France, nombre de cellules terroristes ont été neutralisées grâce aux liens qui ont pu être avérés entre terroristes et trafiquants d'armes. Tout simplement parce que les trafiquants font l'objet de suivis et d'enquêtes depuis beaucoup plus longtemps.

[sonny]

Gastibelza, Tu sais, l'age, c'est fluctuant regarde les footballeurs africains

[dlb1664]

Gastibelza, si tu mates les photos que j'ai mis la page d'avant certains gamins doivent pas être bien loin des 4 ans

[peezee]

C'était surtout une boutade je crois, mais y'a quand même des aspects de ce pays qui donnent à vomir, faut être honnête.

Et c'est pas la montée en puissance d'un dégénéré comme Donald Trump qui risque d'améliorer cette face sombre des Zétazunis...

[dlb1664]

peezee, oui j'avais compris la boutade quand même, sinon le pire c'est les flingues des filles roses, on dirait vraiment des jouet alors que non ce sont bien des vrais armes qui peuvent tuer ...

[John]

Y'a pas besoin d'armes à feu pour commettre des actes odieux, hélas.

Qu'on en finisse une fois pour toute avec ces raclures.

[Bibpanda]

Information

Un élève de primaire en a poignardé un autre, ce mercredi matin devant leur école. La victime, âgée de 12 ans, a été hospitalisée.

Le pronostic vital d'un enfant de 12 ans n'est plus engagé ce mercredi, mais il l'était encore dans la matinée. Selon le journal Le Progrès, il a été poignardé par un camarade de 10 ou 11 ans vers 8h30, devant l'école primaire Anatole-France de Vénissieux, près de Lyon dans le Rhône. La victime aurait tenté de racketter son camarade et ce dernier se serait défendu en lui portant plusieurs coups avec un "objet pointu", probablement un couteau, le blessant grièvement.
Trop jeune pour la garde à vue

"Les fonctionnaires de police ont retrouvé la victime blessée dans l'enceinte de établissement" où elle avait été transportée, affirme une source proche de l'enquête.

L'élève blessé a été transporté à l'hôpital de Bron et l'auteur des coups est entendu par la Brigade de protection des familles à Lyon. Âgé de moins de 13 ans, il ne peut être placé en garde à vue, mais en "retenue judiciaire", une mesure de 12 heures, prolongeable une fois. Une cellule psychologique a été ouverte ce mercredi dans l'établissement scolaire. Elle sera remise en place jeudi, selon le rectorat.

http://www.lexpress.fr/actualite/societ ... 02547.html

[320cds]

j'ai des souvenirs de collèges ou des petits caids terrorisaient tout le monde. Plusieurs fois j'ai pensé me défendre avec le gun de mon père si cela allait trop loin de leur part. Là un quatrième qui raquette un sixième, c'est compliqué pour le petit.

Les enfants sont souvent paralysés face à ces agressions quotidiennes, n'en parlent pas aux adultes et là, y'en a un, peut être plus fragile psychologiquement, qui a eu une réaction terrible.
C'est triste mais je pense que cela existe depuis que l'école existe.

[jarlandine]

Qui va prendre le plus, le racketté ou le racketteur ? Quelle tristesse, mais, oui, les brimades et autres ça existe depuis trop longtemps

[Bibpanda]

C'est pas le collège c'est le primaire...

[dlb1664]

12 ans en primaire ...

[Jester]

C'est le racketteur qui s'est fait poignardé par un gamin moins âgé... donc le racketté était au primaire (CM1/CM2). L'autre en 6e certainement, ou alors il a redoublé. C'est possible aussi.

[Bibpanda]

Information

Personne, il y a encore un mois, n’aurait imaginé que la Commission européenne choisirait pareille option. L’annonce, mercredi 15 juin, de sa proposition finale de réglementation des perturbateurs endocriniens a surpris tout le monde. Mais elle a surtout laissé abasourdis la plupart des acteurs impliqués dans cette saga politico-technique. Abasourdis voire accablés. Car en offrant un traitement d’exception à cette famille de polluants chimiques, la Commission exige un niveau de preuves d’effets nocifs très difficile à atteindre. Impossible, estiment même certains. Les promesses de restrictions et d’interdictions, prévues dans le règlement régissant la mise sur le marché des pesticides en Europe, ne seront peut-être tenues qu’au compte-gouttes.

Depuis plus de vingt-cinq ans, les éléments s’accumulent sur ces produits chimiques capables d’interférer avec le système hormonal (endocrinien) des êtres vivants, suscitant une sourde inquiétude dans la communauté scientifique. Constituants d’une multitude d’objets de consommation – plastiques, cosmétiques, peintures, etc. – et contaminant l’environnement, ils sont soupçonnés de contribuer à l’augmentation de nombreuses maladies : infertilité, certains cancers, développement du cerveau, etc. Tandis que l’on détecte 43 produits chimiques en moyenne dans le corps d’une femme enceinte, plusieurs études ont tenté de chiffrer le coût, pour la société, des maladies liées à une exposition aux perturbateurs endocriniens. Les estimations oscillent entre 157 et 288 milliards d’euros par an en Europe.
Personne, il y a encore un mois, n’aurait imaginé que la Commission européenne choisirait pareille option. L’annonce, mercredi 15 juin, de sa proposition finale de réglementation des perturbateurs endocriniens a surpris tout le monde. Mais elle a surtout laissé abasourdis la plupart des acteurs impliqués dans cette saga politico-technique. Abasourdis voire accablés. Car en offrant un traitement d’exception à cette famille de polluants chimiques, la Commission exige un niveau de preuves d’effets nocifs très difficile à atteindre. Impossible, estiment même certains. Les promesses de restrictions et d’interdictions, prévues dans le règlement régissant la mise sur le marché des pesticides en Europe, ne seront peut-être tenues qu’au compte-gouttes.

Depuis plus de vingt-cinq ans, les éléments s’accumulent sur ces produits chimiques capables d’interférer avec le système hormonal (endocrinien) des êtres vivants, suscitant une sourde inquiétude dans la communauté scientifique. Constituants d’une multitude d’objets de consommation – plastiques, cosmétiques, peintures, etc. – et contaminant l’environnement, ils sont soupçonnés de contribuer à l’augmentation de nombreuses maladies : infertilité, certains cancers, développement du cerveau, etc. Tandis que l’on détecte 43 produits chimiques en moyenne dans le corps d’une femme enceinte, plusieurs études ont tenté de chiffrer le coût, pour la société, des maladies liées à une exposition aux perturbateurs endocriniens. Les estimations oscillent entre 157 et 288 milliards d’euros par an en Europe.

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/planete/article/2 ... EQertgy.99

Cette putain de commission de merde qui fait la pluie et le beau temps c'est elle qui faut faire péter...

[Rocca]

Moi je me suis déjà fait racketté par un 3ème et j'ai pas eu besoin d'un couteau pour le calmer



bon c'était y'a deux ans mais quand même

[Bibpanda]

Information

Dix-huit mois après le décès de son mari, abattu dans les locaux de Charlie Hebdo, Gala Renaud a décidé de poursuivre en justice la nouvelle direction du journal. Et parle de « trahison ».

Le courrier a été transmis en fin de semaine dernière au procureur de la République de Paris. Dans ce document de cinq pages, Gala Renaud et son conseil, Me Portejoie, contestent clairement l’affectation des millions d’euros amassés par Charlie Hebdo après la tuerie du 7 janvier 2015.

Leur démonstration s’appuie notamment sur les propos de Philippe Val, l’ex-directeur de l’hebdo satirique, qui s’était engagé à reverser l’intégralité des recettes du numéro dit « des survivants » aux familles des victimes. Un appel à la générosité était parallèlement lancé pour assurer l’avenir du journal.

D’après les chiffres avancés dans la plainte, les ventes historiques de la Une « Tout est pardonné » ont rapporté 12 millions d’euros. Contre 4,3 millions provenant des dons.

S’en suit alors, selon Gala Renaud et son avocat, une « volte-face » : la nouvelle direction de Charlie décide de conserver les bénéfices colossaux issus des ventes. « Quant aux dons, poursuit la plainte, tout ou partie de ceux-ci aurait été reversé sur le compte de l’association “Les Amis de Charlie” ». Celle-là même qui a fait une proposition d’indemnisation à Gala Renaud le 29 février (d’un montant de 141.000 euros pour elle et sa fille).

Conclusion, couchée noir sur blanc: « Les acheteurs du journal comme les victimes de l’attentat et leurs ayants droit ont été dupés par la direction […], qui est délibérément et unilatéralement revenue sur ses engagements […]. Ce revirement démontre en réalité une intention de détourner les fonds promis initialement aux familles ». Soit, en termes plus techniques, un « abus de confiance ».

« Cette procédure, complète Me Portejoie, c’est le choix de Gala. Je suis évidemment à ses côtés. Sa démarche est fondée sur le plan moral, mais surtout juridique. En tant que victime, elle a un droit de regard légitime sur l’affectation des sommes collectées après la tuerie. Son statut l’autorise à demander des comptes ».
« Inutile et déplacé »

La réponse du directeur général de Charlie est tombée hier soir, par mail.

« Nous sommes étonnés et choqués, réagit Éric Portheault. Nous avons toujours déclaré que le produit de la vente du journal serait consacré à assurer sa pérennité. Ce choix légitime ne saurait être remis en cause par cette initiative sans aucun fondement juridique ou moral. Nous ne comprenons pas la démarche de la plaignante […] et en déplorons le caractère inutile et déplacé ».


« La nouvelle direction a dupé les familles et les Français »

Il y a trois mois déjà, la veuve de Michel Renaud dénonçait dans nos colonnes « l’opacité » des aides financières prévues pour elle et sa fille de 11 ans. Une colère qu’elle a donc choisi de porter en justice.

« Je ne pouvais pas faire autrement, soutient-elle aujourd’hui. Fin février, après avoir reçu la proposition des Amis de Charlie, j’ai écrit un courrier à l’association pour demander une information transparente sur leurs calculs. Je n’ai jamais eu de réponse. J’en déduis que certains droits et règles n’ont pas été respectés ».

« En achetant le “numéro des survivants”, le peuple français a répondu en masse à l’appel à la solidarité. Mais les mois ont passé et les engagements initiaux n’ont pas été tenus. Les sommes qui devaient être distribuées sont restées sur les comptes du journal. La nouvelle direction a dupé, trahi les familles de victimes et les Français ».

« Je ne fais pas ça pour l’argent, mais pour la mémoire de mon mari, conclut Gala Renaud. Avant la tuerie, Charlie était dans une situation financière catastrophique. C’est désormais le journal le plus riche de France. Je ressens ce déséquilibre comme une injustice profonde. Michel n’est pas mort pour ça ».

Stéphane Barnoin

[jarlandine]

Encore un héritage qui va être pourri par les questions de pognon, comme 100 fois sur 100 quand il y en a ...