23 Mai 2016, 08:41
iamaseb a écrit:gob a écrit:iamaseb a écrit:En tout cas, pour celui qui a une heure de transport pour se rendre sur son lieu de travail, et qui travaillerai à hauteur de 42 heures par semaine (soit 8 h et quelques par jours, loin de tes 22h et loin de la main d'oeuvre qu'il est sensé concurrencer...), avec une heure de déjeuner.
Cela fait :
1 + 1 + 1 + 8 = 11 h.
Soit 8h-19 h d'amplitude.
et encore tu ne comptes pas l'heure au bistrot avec les potes, les courses a faire, le chien a promener etc ...
C'est terrible.
Deux réponses de suite où tu es caricatural et tu réponds par la dérision. Alors qu'une heure de transport pour se rendre sur son lieu de travail, beaucoup le font, et 42 heures de travail par semaine, avec ce que permet cette loi notamment, c'est loin d'être une caricature.
Soit tu n'es pas du tout au fait du monde professionnel d'une bonne partie de la population, soit ce que je vois autour de moi et ce qui est remonté ici et là n'est pas représentatif, soit tu as décidé, pour une raison que j'ignore, de défendre une position contre toute réalité.
23 Mai 2016, 08:49
23 Mai 2016, 08:54
23 Mai 2016, 08:56
23 Mai 2016, 09:41
23 Mai 2016, 09:50
23 Mai 2016, 09:51
23 Mai 2016, 09:55
23 Mai 2016, 10:04
23 Mai 2016, 10:12
23 Mai 2016, 10:14
Prostrés, sourds à tout appel, le regard rivé, la pupille fixe, méconnaissables, comme statufiés devant le petit écran des heures durant : beaucoup d’enfants boivent la télé jusqu’à plus soif, et les parents trinquent. Ils se sentent à la fois coupables et inquiets : coupables de leur impuissance à arracher leurs bambins à la fascination qu’exercent ces flots d’images sur leur rétine ; inquiets d’un effet hypothétiquement dévastateur sur leur tendre cervelle.
Jusque-là, la crainte parentale était sans fondement, dans la mesure où les experts semblaient incapables de diagnostiquer avec certitude les méfaits de cette consommation à haute dose sur des consciences en herbe. Certes, chacun d’entre nous pouvait intuitivement pressentir sa nocivité, mais les thèses d’experts se contredisaient, et faute de certitudes, faute d’outils, les parents étaient plus enclins à céder à la tyrannie de l’étrange lucarne qu’à la combattre avec efficacité. Mais voilà désormais que sur ce front, les choses bougent. Y compris en France, pays que Claire Brisset, ex-défenseure des enfants, qualifiait encore en 2002 de « désert épidémiologique dans ce domaine (1) ». Les chercheurs du monde entier sont enfin unanimes : l’abus de télé nuit aux neurones en plein développement des enfants, et affecte leur comportement et leur santé. Le lien entre la télévision et les nouveaux troubles de l’enfance est désormais établi.
Si nos enfants restent scotchés devant la télé, c’est qu’elle les plonge dans un état proche de l’hypnose.Tout se passe au niveau du cerveau : aussitôt le poste allumé, des ondes lentes, dites « alpha », prennentle relais des ondes « bêta », celles de l’éveil. En temps normal, ce processus s’opère chez un individu en état de légère léthargie qui garde les yeux fermés, ou qui est en train de s’endormir. Les chercheurs ont également observé chez l’enfant gavé de télé une nette prédominance de l’activité cérébrale dans l’hémisphère droit, celui qui traite l’information de façon émotionnelle. Résultat : l’esprit critique est annihilé et la capacité d’apprendre diminue.
23 Mai 2016, 10:34
23 Mai 2016, 10:51
23 Mai 2016, 12:23
23 Mai 2016, 12:28
23 Mai 2016, 13:43
Je pense sincèrement que c’est toi qui est en dehors de la réalité.
Et tu t'accroches à des positions dogmatiques d'un autre temps.
Le monde en général évolue et n’est plus celui de l'après guerre et du plein emploi.
Je ne me prononcerai pas sur le fait de savoir si cette évolution mondiale est bonne ou pas, mais elle est une réalité à laquelle nous ne pouvons pas échapper.
Le facteur aggravant, c'est que la France est aujourd’hui un pays qui se noie dans son immobilisme, ses certitudes et son assistanat de masse.
C'est pourquoi il me parait fondamental que la loi sur le travail évolue drastiquement afin que l'emploi et la croissance redémarrent.
Il faut sans doute plus de libéralisme dans l'embauche et les contrats ( comme dans d'autres pays qui nous entourent et qui ont eux relancé leur croissance et leur emploi) mais aussi plus de protection des salariés quand cet emploi est stabilisé.
La loi actuelle avait sans doute de bonnes idées au départ mais elle n'a plus d’intérêt maintenant , ni pour les salariés ni pour les employeurs.
23 Mai 2016, 14:00
jarlandine a écrit:Voui, ben, les enarques n' ont pas encore eu l' idée, simple pourtant, de se concentrer sur les artisans et les petites entreprises et faire des lois spécifiques pour eux !
Il doit y avoir pas loin de 3 millions de microentreprises , si on leur simplifie la vie et que chacune peut embaucher une personne ....
23 Mai 2016, 14:00
23 Mai 2016, 14:04
23 Mai 2016, 14:20
Ce ne sont pas les patrons qui créent de l'emploi, mais l'adéquation entre ce qu'ils offrent comme produits/services, et ce que les masses réclament. On peut toujours offrir un gadget ultra sophistiqué, si dégun n'en veut, notre aimable patron ne va pas créer grand chose en termes d'emploi.