gob, pareil. Je trouve ça complètement con de s'entretuer pour cela. Ce sectarisme dans un sens ou dans l'autre, c'est gerbant. Et on en parle pas mal cependant sur le net et dans les journaux (cf. Nice Matin du jour).
Les cathos et orthodoxes, puis aussi les protestants se sont fait la guerre pendant plusieurs siècles. C'est histoire de savoir qui a la plus grosse ... croix.
C'est quand même chaud pepette ce qui est en train de se passer.
L'Arabie Saoudite est très clairement en train de perdre ses nerfs: Entre le fait de voir les US se rapprocher de leur ennemie iranien tout en leur reprochant leur soutient (officieux) aux groupes terroristes sunnites Daesh and Co. Et la crise économique qui couve avec un pétrole a un cours bas comme jamais.
Les puissants Saoudiens sont en train de tranquilement s'assoir sur une bombe qui ont eux meme contruite. Avec en plus les Iraniens qui doivent se faire un malin plaisir d'essayer d'allumer des étincelles en soutenants des soulèvements par ci par la...
Quitte à faire une mauvaise analyse, il me semble que la situation actuelle est juste cataclysmique. Si j'en ai bien compris, pour les occidentaux jusqu'à il y a peu, les sunnites étaient fréquentables et les chiites étaient de la merde (oh oh oh). Or, l'avantage de cette situation était le statu quo, puisque le pouvoir revenait toujours aux sunnites. Or, Saddam était sunnite, et à sa chute les chhites ont pris le pouvoir en Irak. Du coup le contre-pouvoir - sunnite, a cherché de la puissance, et l'a trouvé avec Daech. Résultat du point de vue occidentaliste démocrate; y'a tout qui pue.
Au final, Daesh permet de maintenir d'une certaine façon la paix. Puisqu'il y a une ennemi commun, ça évite de déraper totalement, mais une fois que Daesh sera mis hors d'état de nuit, il y'aura des dommage collatéraux qui risquent de déstabiliser les relations diplomatiques de certains pays (pas seulement Syrie Irak)
Je pense qu'on n'a pas encore atteint le pire
Tiens justement je demandais à Bets si Daesh s'était manifesté contre Israël, ils ont pas tardé
Un assez bon article du Monde. Les mélomanes se souviendront de sa direction hyper précise et métronymique, de ses Wagner mémorables et sa dilection pour la musique contemporaine. Il était aussi une figure de pouvoir (dans son domaine), donc controversée. Je l'ai entendu assez régulièrement en concert, en France, en Allemagne ou en Autriche ; c'était toujours impressionnant.