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Torben Frank a écrit:Si on pouvait en profiter pour foutre les britanniques dans le même sac ça serait pas du superflu.
EL MAGNIFICO a écrit:les allemands ils doivent combien de dette aux grecques du a la seconde guerre mondiale ?
Fennec a écrit:Rennes c'est quand même le summum de la lose.
Je pense que l'univers se venge du fait que Pinault ait le droit de se taper Salma Hayek.
Jester a écrit:Je trouverais normal qu'on leur accorde plus rien vu qu'ils ne souhaitent pas du plan proposé par l'UE. Skipass veut une réduction de 30% de leur dette. Ce sont les soldes en même temps actuellement, pourquoi pas hein. Donc les propositions ben elles sont connues. Krispass va leur proposer de s'asseoir sans vaseline sur les 30% qu'il souhaite.
Tiens je vais appeler ma banque demain pour demander -30%.
PS : j'espère que les taux des prêts particuliers vont pas remonter à cause des grecs par contre
Cette volonté de se dédouaner de ses propres fautes est renforcé par le fait que la recette appliquée à la Grèce, celle d'une austérité aveugle, n'a fait encore qu'aggraver le problème. Si les deux restructuration de la dette privée, de 2011 et 2012, n'ont pas permis de réduire le taux d'endettement du pays, c'est parce que la troïka a imposé (souvenons-nous que cette troïka envoyait des ordres par mail aux ministres) une politique hautement récessive à la Grèce. Le PIB s'est effondré, le taux d'endettement a mécaniquement gonflé. Et l'on se retrouve dans l'impasse. Une impasse qui, là encore, va coûter cher aux contribuables de la zone euro. Mais comme ni la chancelière, ni ses collègues ne veulent accepter leur responsabilité, ils se cachent derrière une pseudo-mauvaise volonté grecque. Sauf que, là encore, l'argument ne tient pas. La Grèce a réalisé un ajustement budgétaire quasiment unique dans l'histoire, ses « efforts » mesurés par la baisse du PIB ne sont égalés par aucun autre pays, ni l'Irlande, ni l'Espagne, ni la Lettonie. Mais cette médication n'a pas fonctionné parce qu'elle n'était pas adaptée aux structures économiques de la Grèce. Le remède a donc été pire que le mal et a conduit à l'insoutenabilité de la dette.
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