Je n'ai malheureusement pas l'impression de caricaturer tes propos. Je me permet donc de te citer.
Peezee a écrit:Au
prochain attentat réussi, alors que le sang sera encore en train de couler, on verra ici certains venir défendre la "dignité" de
ces Femmes avec un "F" majuscule, ou nous expliquer que surtout "PAS D'AMALGAME !", sans se préoccuper le moins du monde du sort de ces innocentes familles entières dévastées, décimées...
Je t'en foutrais moi, de l'amalgame@mon dentiste.
Ces femmes, c'est qui ? Celles qui portent le niqab, non ? Tu insinues bien ici, dans cette phrase, qu'à la suite d'un attentat, il ne faudrait pas défendre la dignité de femmes portant le niqab.
J'ai peut-être mal compris, tu parlais peut-être des femmes extrémistes et non de celles portant le niqab ?
Si ce n'est pas les femmes portant la niqab que tu vises, va alors aussi falloir me dire à quoi tu fais référence quand tu dis "PAS D'AMALGAME'. Car il me semble que les 'PAS D'AMALGAME' entendu ici, ont été adressés pour dire qu'il ne fallait pas associer les musulmans aux terroristes.
Peezee a écrit:On a quand mm du bol, tu n'es pas ministre de l'Intérieur en cette période dramatique.
A mon niveau, heureusement déjà que je ne partage pas l'hypothèse de base.
Pour l'âme totalitaire, ça ne t'es pas destiné.
Une fois qu'on a mis dans la tête des gens que tels individus étaient nécessairement des ennemis, responsables de certains maux et crimes, sur la base d'un critère comme une origine ou le port d'un vêtement, le totalitaire n'a plus qu'à démontrer ce qui est efficace, où ce qui apparaît comme la solution au problème.
Au cas d'espèce, une fois mis dans la tête des gens que les femmes portant la nikab sont des terroristes ( - des complices, liés au point d'en perdre toute considération de dignité, ce que j'ai compris de ton post, à toi de clarifier), tôt ou tard, les gens s'apercevront que ce n'est pas en interdisant la burka qu'on résout la situation. Mais comme j'ai dit, je laisse le soin aux totalitaires d'apporter une solution à cette représentation du problème.
L'arbre est mort, impuissant mais lucides, nous regardons les feuilles tomber, les unes après les autres.