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aristote2 a écrit:Pour une fois, je vais être d'accord avec JojoLaSaucisse, fait rare pour être souligné.
Néanmoins, un collègue "dysfonctionnant" a le droit d'être défendu comme tout à chacun, mais c'est également au syndicat après de l'accompagner dans une évolution de ses pratiques.
Je ne parle de ses pratiques sexuelles avec les élèves, évidemment.
aristote2 a écrit:Pour une fois, je vais être d'accord avec JojoLaSaucisse, fait rare pour être souligné.
Néanmoins, un collègue "dysfonctionnant" a le droit d'être défendu comme tout à chacun, mais c'est également au syndicat après de l'accompagner dans une évolution de ses pratiques.
Je ne parle de ses pratiques sexuelles avec les élèves, évidemment.
Gastibelza a écrit:aristote2 a écrit:Pour une fois, je vais être d'accord avec JojoLaSaucisse, fait rare pour être souligné.
Néanmoins, un collègue "dysfonctionnant" a le droit d'être défendu comme tout à chacun, mais c'est également au syndicat après de l'accompagner dans une évolution de ses pratiques.
Je ne parle de ses pratiques sexuelles avec les élèves, évidemment.
+1. Défendre quelqu'un ou quelque chose, c'est pas forcément donner un blanc-seing ou affirmer une innocence. C'est souvent donner des éléments qui permettent de prendre la juste mesure des choses pour assurer qu'une éventuelle sanction soit proportionnée. D'ailleurs, la justice repose sur ce principe et c'est très bien comme ça.
Jester a écrit:Les syndicats (normalement) ne sont pas là pour défendre les branleurs, mais faire valoir les droits des personnels... ou leur donner des infos pratiques.
John a écrit:Typiquement j'ai le cas dans mon bahut cette année. Un collègue a eu son stage validé malgré avis négatifs de tuteur + chef + inspection, il a été plus que soutenu par un syndicat. Le mec est un putain d'incapable (en plus d'être complétement con). Pour donner une idée, on lui a retiré des classes cette année parce qu'il avait pas le niveau pour y enseigner et a raconté de la merde. Le gars était content d'avoir moins d'heures...
En tant que parent d'élève je serai plus que vénère qu'il enseigne à mes gosses. En tant que collègue je suis désespéré de voir qu'il aura des classes (potentiellement à examen) l'an prochain. Enfin, je sais très bien dans quel type d'établissement on va le caser.
fourcroy a écrit:Peux-tu préciser, stp ? Qui décide in fine de la titularisation ? Si les personnes scientifiquement compétentes (tuteur, inspection) témoignent que l'impétrant n'est pas compétent, même si le syndicat le défend, comment se fait-il qu'il soit titularisé ? Analogiquement, en matière pénale, l'avocat défend son client, mais ce n'est pas lui qui fixe la peine. Ouais, je sais, je devrais savoir, mais le monde des prépas est un peu à part...
Cela me semble important car je trouve intéressante cette discussion sur ce que doit être le rôle d'un syndicaliste.
Pearl a écrit:Ça me semble un bon résumé.
http://www.academie-francaise.fr/actualites/declaration-de-lacademie-francaise-sur-lecriture-dite-inclusive
A l’unanimité des membres.
Y a-t-il encore besoin d’un débat?
Sinon pour resumer, pour jester c’est une plaie, pour Rocca c’est drôle ou risible, pour moi c’est grotesque, illisible et dangereux pour la langue française comme l’ont dit les académiciens.
Cette écriture étant donc rejetée par les instances en charge, elle n’a pas plus de respectabilité que l’écriture SMS. L’utilisation à titre privé n’engage que la crédibilité de son auteur, par contre il me semble clair à la lecture du texte ci dessus qu’une utilisation dans le cadre de l’enseignement relève d’une insubordination à l’orthographe se devant d’être enseignée, qui mérite une sanction appropriée, blâme, radiation en cas de récidive.
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