MassaliaLive.com

[Bibpanda]

Les passes droits qu'on eu certain clubs avec le manque de visibilité de la Pro A qui a pas arrêté de changer au niveau du nombre d'équipes.
On passe de 16 à 18 pendant trois ans puis on revient à 16 et cette saison on revient à 18.
Sciarra a fait pas mal de merde à Vichy et a aussi eu des problème extra sportif avec les albanais qui sont sur vichy.
Le copinage aussi a fait pas mal dans l'évolution du Basket .
Dans les derniers posts vous parliez de formation, dans ma région le pole espoir se situe au Creps à Vichy où il y aussi le centre de formation de la jav.
C'est là où vont les jeunes avant de soit intégrer un centre de formation de Pro A ou de rejoindre le pole France, six joueurs ont rejoint le centre fédérale de basket de l'insep ces 6 dernières années.

[Thor]

Bibpanda, Le pole de Vichy, belle exemple de déchéance depuis quelques années. On a beau dire, au basket, le basket tourne autour de quelques pôles qui arrivent à attirer des bons jeunes, quelques se résumant à 4....

[Bibpanda]

Si il n'y avait qu'en Basket que le pole de Vichy est en train de sombrer, il est loin le temps où des joueurs de Football pro sortait du creps comme Ettori ou JPP qui faisait partit de la promotion 1984, à l'époque c'était l'inf jusqu'à dans les années 1990.

[320cds]

J'ai pas lu les posts de Gaby. Mais le jour ou l'arrêt Bosman est passé puis le nombre d'américain par team explosé, j'ai arrêté la pro A. Après 96 c'est vite devenu de la merde.

1. Avant 1996 2 étrangers = 2 US max
2. 1996-1997 6 étrangers dont 2 hors UE = 2 US max
3. 2004-2005 6 étrangers dont 1 Cotonou (Afrique-Caraïbes-Pacifique) + 2 hors UE/Cotonou = 2 US max
4. 2005-2006 6 étrangers dont 4 hors UE/Cotonu = 4 US max
5. 2010-2011 5 étrangers = 5 US max

Aucune continuité dans les effectifs, des mercenaires.

Je me souviens de Limoges mais aussi d'Antibes (Monclar coach, Rivers à la mène), de Pau avec les Gadoux, Fauthoux, de l'Asvel de D.Rudd et Digbeu, du PSG Sciarra, Risacher.. Je me souviens de Mous Sonko.

Je faisais parti de ceux qui avait kiffé de voir skeeter Henry passer de Dijon aux ... Suns.
J'étais allé voir le PSG des décevants JR Reid et Sedale Threatt (surtout le dernier).

Tout ça me parait super vieux. Je suis cela maintenant de très loin.

[Nicodoc]

ça fait plus de 20 ans que je joue au basket, quasi non-stop, j'ai été président de mon club, ce qui m'a permis d'appréhender un peu plus le fonctionnement et le voir de l'intérieur, avoir accès à des colloques et des réunions (notamment avec Siutat).
Et pourtant, même si je pense quand même maîtriser pas mal d'apect du basket, je ne prétends pas le "connaître"...

Thør, justement quand j'étais président c'est un truc que j'ai pu voir et qui m'a profondément énervé, mes joueurs qui étaient appelés pour les détections de sélection régionale, c'était les plus grands (puisqu'on doit obligatoirement renseigner la taille à chaque saisie de licence).
J'avais tellement d'autres joueurs, meilleurs ou à meilleur potentiel, à leur proposer...
Pas fâché que ça change un peu...

[Thor]

Nicodoc, oui ça change. Il y a aussi un soucis c'est qu'on manque de personnes compétentes (j'entend la pas formées), pour s'occuper de la formation de nos jeunes. Certains entraineurs / responsables sportifs même de club genre cadet France n'ont pas de réelles formations.
Le truc qui change aussi mais qui met beaucoup de temps justement par manque de compétence : faire travailler les jeunes sur leur poste respectif afin de répéter les mouvements etc...

[gaby]

J'ai pas lu les posts de Gaby. Mais le jour ou l'arrêt Bosman est passé puis le nombre d'américain par team explosé, j'ai arrêté la pro A. Après 96 c'est vite devenu de la merde.

1. Avant 1996 2 étrangers = 2 US max

T'es sûr de ça ? En 93, Limoges comptait 3 étrangers dans son effectif: Redden (US), Zdovc (YOUG) et Young (US).

Attention sinon à la confusion, ce n'est pas un nombre d'étrangers qui est défini mais de JNFL: joueurs non formés localement. Par exemple, on a depuis plusieurs saisons un Burkinabé, né au Burkina Faso et qui joue pour son pays natal mais il ne nous ponctionne pas une place NJFL parce qu'il a été formé au Havre.

[320cds]

J'ai pas lu les posts de Gaby. Mais le jour ou l'arrêt Bosman est passé puis le nombre d'américain par team explosé, j'ai arrêté la pro A. Après 96 c'est vite devenu de la merde.

1. Avant 1996 2 étrangers = 2 US max

T'es sûr de ça ? En 93, Limoges comptait 3 étrangers dans son effectif: Redden (US), Zdovc (YOUG) et Young (US).

Attention sinon à la confusion, ce n'est pas un nombre d'étrangers qui est défini mais de JNFL: joueurs non formé localement. Par exemple, on a depuis plusieurs saisons un Burkinabé, né au Burkina Faso et qui joue pour son pays natal mais il ne nous ponctionne pas une place NJFL parce qu'il a été formé au Havre.

Je me souviens de ce bon vieux Willie. L'avantage de mon grand age. Il était naturalisé français pour moi. Il a fait toute sa carrière en France (Asvel, Limoges, Antibes)

Sinon le lien http://www.lequipe.fr/Basket/Actualites/Les-clubs-francais-a-l-ouest/506679 pour les infos sur les étrangers en Pro A.

[gaby]

320cds, tu as raison, Redden a été naturalisé français.

Merci pour cet article !

[Thor]

On est des brêles, tout le monde est devant nous.....

[gaby]

Les anciens se souviennent de Petrovic, premier Basketteur Européen à s'être fait une place dans un 5 de NBA et mort dans un accident de la route en 93 ?

Il aurait fêté ses 50 ans hier. Et demain on affronte Cedevita Zagreb, 20 ans jour pour jour après avoir défié l'autre club de Zagreb: le Cibona. C'était le club Petrovic et Zagreb c'était sa ville. C'est la-bas qu'il s'était forgé le surnom de "Petit Mozart du Basket". C'est aussi là-bas que Maljkovic et Dacoury s'était rendu sur sa sépulture, le 26 octobre 94, avant d'affronter son club de toujours - celui frappé par son estampille. Petrovic s'était par ailleurs, au début de sa carrière et des années 80, incliné lors des 2 première finales de Coupe d'Europe qu'il avait disputé...et c'était face à Limoges.

Il y a des coïncidences marrantes je trouve.

[Nicodoc]

Moi je m'en rappelle. Mais je me rappelle peut être plus de l'annonce de sa mort que de son jeu lui même.

Pourtant je commençais a suivre la NBA a ce moment là et j'ai pu le voir sur le terrain...

[Cecco]

Il y a un très bon documentaire sur la relation entre Divac et Petrovic, la NBA, la guerre des Balkans,... Fait par ESPN.
Avec Divac et la famille de Petrovic en intervenants. Je recommande fortement, ça doit être trouvable sur Youtube ou le net.

Reggie Miller a dit que Petrovic était le meilleur shooteur qu'il ait jamais vu. Reggie Miller qui parle de shoot, c'est quelque chose comme compliment.

Que de souvenirs la NBA du début des 90's, mes premiers amours de fan de basket.

[gaby]

Cecco, je vais essayer de regarder ton reportage. C'était quelque chose quand même le Basket de l'EST dans les années 80-90, les Petrovic, les Kukoc, les Đorđević, les Dino Rada, Slip, Zagreb, sous la houlette de coachs qui ne laissaient place au moindre détail. Je me souviens de cette phrase de Boja Maljković: "Chaque action doit faire sens". Le mec qui prenait un tir casse-croûte ne revoyait pas le parquet de la rencontre. C'était un autre monde.


Bon sinon, déjà le match de la mort pour nous ce soir contre Zagreb, équipe censée être à notre portée. Si on ne gagne pas, on dit adieu à l'Euroligue. Va falloir montrer un autre visage que lundi au Havre, mais je ne me fais pas spécialement de soucis sur la motivation des gars. C'est sur Bein Max 7 pour ceux qui veulent regarder, deux grands tifos recouvrant les 2 tribunes en prévision. Je serai au stade, 22€ la place, ça va. Lundi, il y avait déjà eu 15 000 demandes de places, ça fait rager.

Une centaine de supporters Croates attendus ce soir. Quand tu vois que lors des CSP - Poitiers, t'as pas un seul poitevin à Beaublanc alors qu'il y a que 90kms entre les deux villes, tu captes vite la différence entre un pays de culture Basket et un qui n'en a rien à foutre.

En tout cas, gros ambiance en perspective (jetez un oeil, ça vaut le coup), j'espère que nos simplets dans les KOP ne vont pas aller se latter avec les croates parce qu'on a déjà un sursis depuis des jets de projectiles sur le parquet. Mais j'ai craintes sur ce que j'ai vu hier sur les RS, enfin bref je m'en cague moi, ce soir ça sera ma première en Euroleague à Beaublanc, c'est pour moi la consécration après avoir enduré le purgatoire de 2004 à 2012.

ALLEZ LIMOGES !

[Cecco]

Après une recherche rapide:



(Ca aurait été mieux en VO mais je ne la trouve pas).

[gaby]

Cecco, merci bien !

Information

NBA: le bilan de la pré-saison des Français

1- Tony Parker (16 points, 6 passes, 3 rebonds en 30 minutes)

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Champion d’Europe puis champion NBA dans la foulée, Tony Parker a fait l’impasse sur la Coupe du monde cet été et le meneur tricolore est ainsi arrivé frais et dispo pour cette nouvelle présaison. Avec plusieurs arrêts en Europe qui lui ont permis de suivre son club de l’Asvel, Tony Parker et les Spurs ont connu une présaison compliquée avec une défaite à Berlin et un bilan bien faiblard de 2 victoires pour 5 défaites. Heureusement, TP a surnagé dans ce marasme avec 16 points et 6 passes de moyenne. En attendant que les champions se mettent en ordre de marche, Parker le général est déjà prêt à en découdre.

2- Kevin Séraphin (11 points, 6 rebonds en 23 minutes)

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C’est la bonne surprise de cette présaison. Partant pour rejoindre les Bleus cet été avant qu’une blessure au genou pas complètement résorbée ne l’en empêche, Kevin Séraphin a pris cette nouvelle saison NBA du bon pied. A l’orée de sa cinquième campagne, l’ancien choletais de 24 ans sait bien qu’il doit relever la tête après une saison ratée l’an passé (5 points, 2 rebonds de moyenne). Toujours aussi costaud et habile avec ses mains en or, Séraphin va néanmoins devoir s’imposer aux rebonds et en défense pour s’assurer un temps de jeu régulier pendant la saison.

3- Rudy Gobert (7 points, 9 rebonds, 1,5 contre en 21 minutes)

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Révélation de la dernière Coupe du monde avec les Bleus, Rudy Gobert n’a pas baissé de rythme en arrivant à Salt Lake City. Sur sa lancée d’une superbe médaille de bronze au niveau mondial (et une belle ligue d’été avant ça), le pivot du Jazz a réussi à transférer les leçons de maître Collet pendant les matchs de la présaison. Avec une pointe à 11 points et 20 rebonds en 22 minutes pour battre les Clippers, Gobert a démontré qu’il pouvait « dominer » au niveau NBA, ainsi qu’il le projetait avant son retour aux US cet été.

4- Joakim Noah (6 points, 8 rebonds, 4 passes en 24 minutes)

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6 points, 17 rebonds et 9 passes: voilà ce que Jooks nous a réservés pour son dernier match de présaison. Certes, la victoire n’a pas été au bout mais si le pivot des Bulls est quelque peu gêné par un problème au genou, le garçon a conservé toute son énergie et sa gnac. Avec Pau Gasol qui débarque et Derrick Rose qui revient, les Bulls sont encore en rôdage, avec un bilan tout juste équilibré (4 victoires – 4 défaites) et comme Joakim est particulièrement tributaire du jeu collectif, ses prestations en présaison en ont pâti. Pas de quoi s’inquiéter pour autant. Noah va vouloir défendre son statut de All Star cette saison.

5- Nicolas Batum (7 points, 5 rebonds, 4 passes en 26 minutes)

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Complètement transfiguré sur les deux derniers matchs de la Coupe du monde, Nicolas Batum a repris tranquillement avec ses Blazers. Tout en retenue et en contrôle d’énergie, Batman a encore été ultra-polyvalent comme à son habitude mais il n’a pas forcé. Alors que Portland vise à s’établir comme une puissance à l’Ouest, au même titre que Spurs, Thunder et Clippers, Batum aura du boulot toute la saison. Avec l’expérience qui rentre (et les médailles avec), l’ailier normand apprend à gérer son calendrier de ministre… et la présaison ne fait clairement pas partie des objectifs prioritaires !

6- Evan Fournier (9 points, 2 rebonds, 2 passes en 26 minutes)

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Transfuge de Denver à Orlando, Evan Fournier a eu du temps de jeu sur cette présaison. Malheureusement, le Francilien n’a pas réussi à forcément en tirer le profit maximal avec des pourcentages de réussite assez faiblards (37 % à deux points et 28% à trois points). Maintenant, dans la rotation de coach Vaughn, l’arrière médaillé de bronze cet été a une belle opportunité de s’inscrire pour de bon en NBA comme un scoreur/ slasher/ playmaker. Avec son jeu complet, Fournier peut apporter beaucoup dans la jeune troupe du Magic.

7- Boris Diaw (6 points, 3 rebonds, 2 passes en 21 minutes)

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Ce n’est pas souvent le cas mais Boris Diaw a fait mieux que son copain Tony Parker cet été en amenant les Bleus à une nouvelle breloque. Toujours sur le pont malgré un calendrier chargé, Babac a néanmoins eu droit à quelques jours de récupération supplémentaires gracieusement offerts par Popovich. De retour avec les Spurs, Diaw a repris en douceur. Mais à l’image de son équipe qui a mangé grave en présaison, Boris doit encore retrouver une condition physique décente avant de pouvoir donner sa pleine mesure.

8- Ian Mahinmi (4 points, 4 rebonds en 15 minutes)

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Absent de dernière minute de l’Equipe de France après une blessure à l’épaule, Ian Mahinmi a retrouvé les Pacers pour la présaison. Evidemment, sans Paul George ou encore Lance Stephenson, Indiana ne présente plus du tout le même visage (et les mêmes ambitions) que l’an passé mais le pivot normand a toujours son rôle à jouer au relais de Roy Hibbert. Et Ian ne bronche pas, il continue de faire son boulot proprement. Peut-être aura-t-il plus de responsabilités offensives dans cette saison de transition ?

9- Alexis Ajinça (5 points, 4 rebonds en 11 minutes)

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Ayant choisi de rester aux Etats-Unis, auprès de sa compagne enceinte, Alexis Ajinça a raté l’occasion d’enfiler une nouvelle médaille mais le pivot de la Nouvelle Orléans est fixé sur son prochain objectif: s’installer en NBA ! Après une carrière relancée par Vincent Collet à Strasbourg, Ajinça a renoué avec son destin mais il faut désormais pérenniser le tout. Et ça veut dire concrètement que l’immense Alexis se fasse sa place comme remplaçant d’Omer Asik, le dernier arrivé en Louisiane. Bien plus doué offensivement, Ajinça a un profil intéressant pour Monty Williams.

10- Ronny Turiaf (2 points en 12 minutes)

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Dans la jeunesse ambiante de Minny, où Andrew Wiggins et Zach LaVine arrivent notamment, Ronny Turiaf va jouer les vétérans qui rassurent et distillent les bons conseils aux minots. Pivot dur au mal et spécialiste des tâches obscures comme le rebond et les contres, Turiaf sera une solide rotation intérieure pour Flip Saunders… en espérant qu’il puisse évoluer sans ses sempiternels pépins physiques.

11- Damien Inglis

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C’est le petit dernier de la classe tricolore en NBA. A Milwaukee, Damien Inglis n’a pas encore pu jouer le moindre match officiel, lui qui soigne encore une cheville meurtrie mais en attendant son retour, l’ancien espoir de la Chorale de Roanne continue son apprentissage de la Grande Ligue auprès du staff de Jason Kidd ou de Jabari Parker, un candidat annoncé au titre de rookie de l’année.

[EL MAGNIFICO]

gaby, pour certain joueurs il y a pas leur club tu pourrais les mettre s'il te plait

[Fennec]

Chaque club est précisé dans la description, ou alors il faut connaître un peu le basket.

1- Tony Parker : San Antonio
2- Kevin Séraphin : Washington
3- Rudy Gobert : Utah
4- Joakim Noah : Chicago
5- Nicolas Batum : Portland
6- Evan Fournier : Orlando
7- Boris Diaw : San Antonio
8- Ian Mahinmi : Indiana
9- Alexis Ajinça : New Orleans
10- Ronny Turiaf : Minnesota
11- Damien Inglis : Milwaukee

[Benzo]

En vue de l'Euro, ce qui est bien c'est que 6 d'entre eux devraient être en vacances le 15 avril prochain

[Fennec]

Benzo, toi non plus tu ne vois pas Indiana en play-off ?
Attention à Minnesota à l'Ouest. Ils se retrouvent avec 2 premiers choix de la Draft, si la mayonnaise prend ils pourraient être sympa à suivre, et pourquoi pas viser la 8ème place.